Les parlementaires travaillistes 'rebelles' qui souhaitaient le départ du premier ministre, et la nomination d'un nouveau candidat du Labour pour les prochaines élections législatives prévues d'ici à un an, ont dû renoncer à leur projet. Lire la suite l'article
Lors de la réunion hebdomadaire des députés travaillistes, qui s'est tenue à Westminster lundi 8 juin en fin de journée, et à laquelle assistait M. Brown, ils n'ont pas été en mesure de rassembler suffisamment de soutiens à leur cause. Il aurait fallu qu'ils représentent au moins 20 % des élus travaillistes, soit 72 députés, pour que le parti remette le poste de leader aux enchères.
La débâcle du Labour aux élections européennes a, d'une certaine manière, aidé Gordon Brown. Le parti travailliste a certes subi une terrible humiliation en arrivant en troisième position avec 15,8 % des voix sur l'ensemble du Royaume-Uni, derrière les conservateurs (27,5 %) et l'UK Independence Party (UKip, 16,6 %) qui veut sortir son pays de l'Union européenne.
Mais cette déroute électorale, qui a ouvert les portes du Parlement de Strasbourg au British National Party d'extrême droite, a plus fait peur aux députés qu'elle ne les a incités au changement. Comme le leur ont martelé les lieutenants de M. Brown ces dernières heures, le choix d'un nouveau candidat travailliste se serait accompagné d'une élection anticipée. Et, dans le contexte actuel, celle-ci avait de fortes chances d'être désastreuse...
Ce n'est pas le seul argument que Downing Street a utilisé pour calmer des parlementaires à cran. Les 'whips' - chargés de faire respecter la discipline du parti à Westminster ont su trouver les mots qui calment, notamment en menaçant les plus contestataires de ne pas avoir de soutien du Cabinet lors de la campagne des prochaines législatives. Et parmi les plus hésitants, certains se sont vu offrir un poste de junior dans le gouvernement de M. Brown, ce qui a eu pour effet immédiat de lever leurs doutes.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Lors de la réunion hebdomadaire des députés travaillistes, qui s'est tenue à Westminster lundi 8 juin en fin de journée, et à laquelle assistait M. Brown, ils n'ont pas été en mesure de rassembler suffisamment de soutiens à leur cause. Il aurait fallu qu'ils représentent au moins 20 % des élus travaillistes, soit 72 députés, pour que le parti remette le poste de leader aux enchères.
La débâcle du Labour aux élections européennes a, d'une certaine manière, aidé Gordon Brown. Le parti travailliste a certes subi une terrible humiliation en arrivant en troisième position avec 15,8 % des voix sur l'ensemble du Royaume-Uni, derrière les conservateurs (27,5 %) et l'UK Independence Party (UKip, 16,6 %) qui veut sortir son pays de l'Union européenne.
Mais cette déroute électorale, qui a ouvert les portes du Parlement de Strasbourg au British National Party d'extrême droite, a plus fait peur aux députés qu'elle ne les a incités au changement. Comme le leur ont martelé les lieutenants de M. Brown ces dernières heures, le choix d'un nouveau candidat travailliste se serait accompagné d'une élection anticipée. Et, dans le contexte actuel, celle-ci avait de fortes chances d'être désastreuse...
Ce n'est pas le seul argument que Downing Street a utilisé pour calmer des parlementaires à cran. Les 'whips' - chargés de faire respecter la discipline du parti à Westminster ont su trouver les mots qui calment, notamment en menaçant les plus contestataires de ne pas avoir de soutien du Cabinet lors de la campagne des prochaines législatives. Et parmi les plus hésitants, certains se sont vu offrir un poste de junior dans le gouvernement de M. Brown, ce qui a eu pour effet immédiat de lever leurs doutes.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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