Avec toujours le même leitmotiv : « L'intérêt est d'abord financier, puisque des comptes Google Premier ou Education ne coûtent qu'un fragment des licences de Lotus Domino et Notes. Mais les clients y gagnent aussi l'accès universel à leurs données. Puisque dès lors que celles-ci sont en ligne sur un compte Google, un utilisateur peut les récupérer depuis n'importe quelle connexion Internet et n'importe quel terminal, de l'ordinateur de bureau au téléphone mobile », argumente le directeur technique de Google France, Laurent Guiraud.
Une migration pas si transparente
Reste que l'opération est moins simple qu'avec les serveurs Microsoft Exchange, que Google sait court-circuiter depuis un mois avec un simple plug-in Outlook à installer sur les postes de travail. Ici, les données migrées ne sont plus accessibles depuis le client Lotus, mais seulement depuis les interfaces en ligne des Google Apps. La procédure de migration elle-même demande quelques petites acrobaties.
Une fois l'outil Google Apps Migration installé sur un serveur Lotus Domino - forcément sous Windows - l'administrateur doit procéder à plusieurs étapes de configuration, ménager de l'espace en local pour convertir les données, et réaliser des conversions dans quelques cas exceptionnels. Par exemple, il faudra définir des bases de données temporaires soit pour récupérer les fichiers joints dans les contacts et les calendriers, soit pour convertir les e-mails chiffrés ou pour avoir la bonne heure sur les données d'un utilisateur situé dans un autre fuseau horaire. Au final, les données converties ne le sont pas toujours complètement.
Les sections déroulantes, les boutons, les zones interactives, les notes invisibles, le formatage des tableaux, les images de fond, les dossiers de plus de 40 caractères, les fichiers joints de plus de 25 Mo ou les exécutables seront perdus. Signalons enfin la présence d'une petite vidéo mise en ligne par Google pour expliquer le processus de migration.
Sourec; Yahoo News
Une migration pas si transparente
Reste que l'opération est moins simple qu'avec les serveurs Microsoft Exchange, que Google sait court-circuiter depuis un mois avec un simple plug-in Outlook à installer sur les postes de travail. Ici, les données migrées ne sont plus accessibles depuis le client Lotus, mais seulement depuis les interfaces en ligne des Google Apps. La procédure de migration elle-même demande quelques petites acrobaties.
Une fois l'outil Google Apps Migration installé sur un serveur Lotus Domino - forcément sous Windows - l'administrateur doit procéder à plusieurs étapes de configuration, ménager de l'espace en local pour convertir les données, et réaliser des conversions dans quelques cas exceptionnels. Par exemple, il faudra définir des bases de données temporaires soit pour récupérer les fichiers joints dans les contacts et les calendriers, soit pour convertir les e-mails chiffrés ou pour avoir la bonne heure sur les données d'un utilisateur situé dans un autre fuseau horaire. Au final, les données converties ne le sont pas toujours complètement.
Les sections déroulantes, les boutons, les zones interactives, les notes invisibles, le formatage des tableaux, les images de fond, les dossiers de plus de 40 caractères, les fichiers joints de plus de 25 Mo ou les exécutables seront perdus. Signalons enfin la présence d'une petite vidéo mise en ligne par Google pour expliquer le processus de migration.
Sourec; Yahoo News
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