Synagogue Hekhal Haness
Les hypothèses telles qu’un court-circuit dans l’armoire électrique ou une bougie laissée allumée sont abandonnées. «Les traces de calcination auraient été différentes», souligne une source proche de l’enquête, ajoutant que «de l’essence a pu être utilisée».
Ces derniers jours, les inspecteurs ont entendu plusieurs témoins. Mais pas de suspect en vue. En revanche, la police scientifique a retrouvé un mégot de cigarette à proximité du foyer. Reste à prélever l’ADN sur l’objet, mais l’eau et le feu ont compromis la qualité de l’empreinte génétique. «Faute d’ADN, ça sera plus difficile, souligne une source. Mais on fera comme il y a dix ans, lorsque cette technique n’était pas développée.»
Si l’ADN est lisible, la partie n’est pas gagnée pour autant: il faut que le profil figure dans les fichiers de police, donc que l’individu soit connu des forces de l’ordre.
Le communiqué précise que «toutes les pistes sont exploitées, celle d’un acte de mouvances extrémistes n’étant toutefois pas privilégiée».
Pas de revendication
«Lors d’actes antisémites, on retrouve fréquemment des emblèmes racistes sur les murs, précise une source. Des déprédations sont commises dans le lieu de culte, ces événements surviennent à l’occasion de certaines dates symboliques et des groupes extrémistes revendiquent parfois leur geste.»
Source: "la Tribune de Genève:
Ces derniers jours, les inspecteurs ont entendu plusieurs témoins. Mais pas de suspect en vue. En revanche, la police scientifique a retrouvé un mégot de cigarette à proximité du foyer. Reste à prélever l’ADN sur l’objet, mais l’eau et le feu ont compromis la qualité de l’empreinte génétique. «Faute d’ADN, ça sera plus difficile, souligne une source. Mais on fera comme il y a dix ans, lorsque cette technique n’était pas développée.»
Si l’ADN est lisible, la partie n’est pas gagnée pour autant: il faut que le profil figure dans les fichiers de police, donc que l’individu soit connu des forces de l’ordre.
Le communiqué précise que «toutes les pistes sont exploitées, celle d’un acte de mouvances extrémistes n’étant toutefois pas privilégiée».
Pas de revendication
«Lors d’actes antisémites, on retrouve fréquemment des emblèmes racistes sur les murs, précise une source. Des déprédations sont commises dans le lieu de culte, ces événements surviennent à l’occasion de certaines dates symboliques et des groupes extrémistes revendiquent parfois leur geste.»
Source: "la Tribune de Genève: