Au premier plan dans les négociations, le gouvernement allemand a confirmé cette décision en pleine nuit, samedi 30 mai, au terme d'un sommet marathon.
L'offre de Magna est soutenue par la banque russe à capitaux publics Sberbank et par un partenariat industriel avec le constructeur russe GAZ. Malgré sa traditionnelle méfiance, le gouvernement allemand se montre disposé à faire appel à des capitaux venus de Russie pour éviter la faillite d'un de ses gros employeurs. La décision est sans précédent. Mais Opel fait travailler 50 000 personnes en Europe, dont près de 26 000 en Allemagne, et sa survie semblait cruciale à quatre mois des législatives.
'Le point central est que nous avons un intérêt très fort à maintenir les emplois sur les quatre usines' d'Opel en Allemagne, a d'ailleurs reconnu le ministre des finances, Peer Steinbrück. Au plan social, un rapprochement avec Magna n'est pourtant pas sans risques. Le chiffre de 10 000 suppressions d'emplois en Europe, dont 2 500 en Allemagne, a été évoqué.
Les négociations menées dans la nuit de vendredi à samedi ont aussi permis de finaliser le cadre visant à protéger Opel du dépôt de bilan de sa maison mère, qui semble imminent : une société fiduciaire sera mise sur pied pour gérer temporairement le constructeur, en attendant la montée au capital du nouvel investisseur et l'Etat allemand lui délivrera un crédit-relais de 1,5 milliard d'euros. Aucun financement n'est attendu de General Motors. Magna envisage d'injecter entre 500 millions et 700 millions d'euros dans Opel.
Au sein du nouvel ensemble, GM devrait se voir accorder une place confortable d'actionnaire minoritaire à hauteur de 35 %, selon les plans dévoilés par le repreneur. Magna prendrait 20 % du capital, Sberbank 35 % et... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
L'offre de Magna est soutenue par la banque russe à capitaux publics Sberbank et par un partenariat industriel avec le constructeur russe GAZ. Malgré sa traditionnelle méfiance, le gouvernement allemand se montre disposé à faire appel à des capitaux venus de Russie pour éviter la faillite d'un de ses gros employeurs. La décision est sans précédent. Mais Opel fait travailler 50 000 personnes en Europe, dont près de 26 000 en Allemagne, et sa survie semblait cruciale à quatre mois des législatives.
'Le point central est que nous avons un intérêt très fort à maintenir les emplois sur les quatre usines' d'Opel en Allemagne, a d'ailleurs reconnu le ministre des finances, Peer Steinbrück. Au plan social, un rapprochement avec Magna n'est pourtant pas sans risques. Le chiffre de 10 000 suppressions d'emplois en Europe, dont 2 500 en Allemagne, a été évoqué.
Les négociations menées dans la nuit de vendredi à samedi ont aussi permis de finaliser le cadre visant à protéger Opel du dépôt de bilan de sa maison mère, qui semble imminent : une société fiduciaire sera mise sur pied pour gérer temporairement le constructeur, en attendant la montée au capital du nouvel investisseur et l'Etat allemand lui délivrera un crédit-relais de 1,5 milliard d'euros. Aucun financement n'est attendu de General Motors. Magna envisage d'injecter entre 500 millions et 700 millions d'euros dans Opel.
Au sein du nouvel ensemble, GM devrait se voir accorder une place confortable d'actionnaire minoritaire à hauteur de 35 %, selon les plans dévoilés par le repreneur. Magna prendrait 20 % du capital, Sberbank 35 % et... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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