Stéphane Richard, directeur général délégué en charge de l'international du groupe, et appelé à succéder à Didier Lombard en 2011, a affirmé sa «totale solidarité» avec son supérieur. «Je pense qu'aujourd'hui on a un état d'urgence auquel il faut qu'on s'attaque ensemble», a estimé l'ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde à Bercy, précisant : «Je suis au milieu de l'entreprise aussi et donc je vis les difficultés actuelles avec toute l'équipe». Interrogé sur l'éventualité d'une transition plus rapide, le dirigeant, arrivé chez France Télécom il y a seulement un mois, a assuré que «le planning qui a été fixé reste tout à fait valable» mais qu'il participerait aux négociations futures sur le stress au travail.
Du côté des politiques, la démission de Didier Lombard et la création d'une commission d'enquête parlementaire est pour les députés de gauche mardi, «la seule issue possible, en tout cas immédiatement, à cette affaire», au lieu de «faire de la communication à bon compte», a estimé Benoît Hamon (PS).
(La suite de l'article sur lefigaro.fr)
Question de «responsabilité sociale», estime le socialiste, Benoît Hamon. «Je ne dis pas que la situation relève de sa responsabilité personnelle mais, à un moment donné, il faut aussi prendre sur soi, au sein d’une société dont l’organisation est telle que les syndicats disent qu’il est devenu insupportable d’y travailler», poursuit Hamon, guère convaincu par la «communication à bon compte» du PDG. «Le sujet le plus important est évidemment de remettre sur la table l’organisation du travail à France Telecom et que les syndicats soient à nouveau associés à sa mise en oeuvre.»
(La suite de l'article sur liberation.fr)
Sources: Le Figaro & Libération via Yahoo News
Du côté des politiques, la démission de Didier Lombard et la création d'une commission d'enquête parlementaire est pour les députés de gauche mardi, «la seule issue possible, en tout cas immédiatement, à cette affaire», au lieu de «faire de la communication à bon compte», a estimé Benoît Hamon (PS).
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Question de «responsabilité sociale», estime le socialiste, Benoît Hamon. «Je ne dis pas que la situation relève de sa responsabilité personnelle mais, à un moment donné, il faut aussi prendre sur soi, au sein d’une société dont l’organisation est telle que les syndicats disent qu’il est devenu insupportable d’y travailler», poursuit Hamon, guère convaincu par la «communication à bon compte» du PDG. «Le sujet le plus important est évidemment de remettre sur la table l’organisation du travail à France Telecom et que les syndicats soient à nouveau associés à sa mise en oeuvre.»
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Sources: Le Figaro & Libération via Yahoo News