Il s'agit d'une solution "provisoire" pour un an, a indiqué à l'AFP François Sauvadet, chef de file des députés du NC (ex-UDF ralliés à Nicolas Sarkozy).
Malgré le récent échec de sa proposition de loi pour modifier les règles du financement public, le NC compte en effet reprendre son combat "pour la défense du pluralisme", dans le prolongement de la réforme des institutions au printemps prochain, a réaffirmé le député de Côte d'Or.
Le NC ne s'est pas qualifié pour le financement public, car il n'a pas atteint aux dernières législatives le seuil d'au moins 50 candidats ayant obtenu 1% des voix. Le Fetia Api en revanche y a accès, car les règles sont moins contraignantes outre-mer. Le NC devrait toucher "entre 880.000 et 1,3 million d'euros", selon son trésorier, Charles de Courson.
Grâce à cet accord, il aura en effet accès à la "deuxième enveloppe" du financement public, qui est calculée sur le nombre de parlementaires.
Pour cela les parlementaires NC (21 députés et quelques sénateurs) devront se rattacher avant le 30 novembre au Fetia Api, qui leur reversera les fonds. Une situation "ubuesque" qui montre bien "la nécessité de réformer le système", selon M. Sauvadet.
Le Fetia Api, qui a actuellement "13.000 euros de financement public", se réserve une commission de 20.000 euros "pour aider à développer leur mouvement en Polynésie", a précisé M. de Courson.
Les dirigeants des deux partis, qui avaient défini l'été dernier les principes d'un accord politique, se sont rencontrés il y a deux semaines à Paris, à l'occasion d'une visite du président du Fetia Api, Philip Schyle.
Les députés du NC doivent être reçus mercredi à l'Elysée par Nicolas Sarkozy, qui souhaite avoir des "relations directes" avec ce parti de la majorité, a indiqué M. Sauvadet. Ils devraient selon lui évoquer "la situation générale du pays" et réaffirmer leur "engagement pour la réforme".
Malgré le récent échec de sa proposition de loi pour modifier les règles du financement public, le NC compte en effet reprendre son combat "pour la défense du pluralisme", dans le prolongement de la réforme des institutions au printemps prochain, a réaffirmé le député de Côte d'Or.
Le NC ne s'est pas qualifié pour le financement public, car il n'a pas atteint aux dernières législatives le seuil d'au moins 50 candidats ayant obtenu 1% des voix. Le Fetia Api en revanche y a accès, car les règles sont moins contraignantes outre-mer. Le NC devrait toucher "entre 880.000 et 1,3 million d'euros", selon son trésorier, Charles de Courson.
Grâce à cet accord, il aura en effet accès à la "deuxième enveloppe" du financement public, qui est calculée sur le nombre de parlementaires.
Pour cela les parlementaires NC (21 députés et quelques sénateurs) devront se rattacher avant le 30 novembre au Fetia Api, qui leur reversera les fonds. Une situation "ubuesque" qui montre bien "la nécessité de réformer le système", selon M. Sauvadet.
Le Fetia Api, qui a actuellement "13.000 euros de financement public", se réserve une commission de 20.000 euros "pour aider à développer leur mouvement en Polynésie", a précisé M. de Courson.
Les dirigeants des deux partis, qui avaient défini l'été dernier les principes d'un accord politique, se sont rencontrés il y a deux semaines à Paris, à l'occasion d'une visite du président du Fetia Api, Philip Schyle.
Les députés du NC doivent être reçus mercredi à l'Elysée par Nicolas Sarkozy, qui souhaite avoir des "relations directes" avec ce parti de la majorité, a indiqué M. Sauvadet. Ils devraient selon lui évoquer "la situation générale du pays" et réaffirmer leur "engagement pour la réforme".
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