Croma SW
Dans un communiqué, Fiat a démenti le lancement d'une éventuelle augmentation de capital mais n'a pas évoqué l'hypothèse PSA.
"Les informations publiées aujourd'hui par un quotidien italien à propos d'une possible augmentation de capital de Fiat n'ont aucun fondement", a assuré le groupe.
"Avant même que n'arrive l'accord non engageant avec l'une des Big Three de Detroit, (le patron de Fiat) Sergio Marchionne et la famille Agnelli étaient en train d'étudier une opération qui aurait comme objectif final un mariage avec Peugeot-Citroën", écrit la Repubblica, citant des sources proches du dossier.
Dans l'optique d'un rapprochement avec le français, Fiat travaillerait donc, selon le journal, au lancement d'une augmentation de capital d'un montant de deux milliards d'euros, qui prévoit la conversion des actions privilégiées en actions ordinaires.
La famille Agnelli, qui détient le tiers du capital de Fiat, y participerait à hauteur d'au moins 600 millions d'euros, afin que sa part ne soit pas trop diluée, dans le cadre d'un mariage avec PSA.
Par ailleurs, selon le quotidien économique Il Sole 24 Ore, le groupe italien serait en négociations avec un consortium de banques à propos d'une ligne de crédit de 5 milliards d'euros, qui pourrait être destinée à financer des opérations de rapprochement.
"A la base de cette opération (...) figurerait la volonté de conserver les moteurs allumés en vue de possible nouvelles occasions", d'alliances ou de rapprochements, écrit le journal, sans citer l'hypothèse PSA.
Interrogé, Fiat s'est refusé à tout commentaire sur ces informations de presse.
Un porte-parole de PSA Peugeot Citroën a également indiqué que le groupe ne faisait "pas de commentaire" sur ces informations.
Dans un entretien mardi au Figaro, le président de PSA Peugeot Citroën Christian Streiff avait déclaré: "nous sommes ouverts à toutes sortes d'alliances, mais notre priorité absolue est gérer cette crise".
Fiat et Chrysler ont annoncé mardi un accord en vue de la formation d'une alliance stratégique, à travers laquelle l'italien prendrait 35% de l'américain en difficulté, en échange de l'accès à sa technologie mais sans rien débourser.
L'italien dispose en outre d'une option pour monter à 55% de l'américain dans un délai de trois ans, selon une source financière italienne.
Source: Yahoo News
"Les informations publiées aujourd'hui par un quotidien italien à propos d'une possible augmentation de capital de Fiat n'ont aucun fondement", a assuré le groupe.
"Avant même que n'arrive l'accord non engageant avec l'une des Big Three de Detroit, (le patron de Fiat) Sergio Marchionne et la famille Agnelli étaient en train d'étudier une opération qui aurait comme objectif final un mariage avec Peugeot-Citroën", écrit la Repubblica, citant des sources proches du dossier.
Dans l'optique d'un rapprochement avec le français, Fiat travaillerait donc, selon le journal, au lancement d'une augmentation de capital d'un montant de deux milliards d'euros, qui prévoit la conversion des actions privilégiées en actions ordinaires.
La famille Agnelli, qui détient le tiers du capital de Fiat, y participerait à hauteur d'au moins 600 millions d'euros, afin que sa part ne soit pas trop diluée, dans le cadre d'un mariage avec PSA.
Par ailleurs, selon le quotidien économique Il Sole 24 Ore, le groupe italien serait en négociations avec un consortium de banques à propos d'une ligne de crédit de 5 milliards d'euros, qui pourrait être destinée à financer des opérations de rapprochement.
"A la base de cette opération (...) figurerait la volonté de conserver les moteurs allumés en vue de possible nouvelles occasions", d'alliances ou de rapprochements, écrit le journal, sans citer l'hypothèse PSA.
Interrogé, Fiat s'est refusé à tout commentaire sur ces informations de presse.
Un porte-parole de PSA Peugeot Citroën a également indiqué que le groupe ne faisait "pas de commentaire" sur ces informations.
Dans un entretien mardi au Figaro, le président de PSA Peugeot Citroën Christian Streiff avait déclaré: "nous sommes ouverts à toutes sortes d'alliances, mais notre priorité absolue est gérer cette crise".
Fiat et Chrysler ont annoncé mardi un accord en vue de la formation d'une alliance stratégique, à travers laquelle l'italien prendrait 35% de l'américain en difficulté, en échange de l'accès à sa technologie mais sans rien débourser.
L'italien dispose en outre d'une option pour monter à 55% de l'américain dans un délai de trois ans, selon une source financière italienne.
Source: Yahoo News