Facebook pourrait être forcé de revendre Whatsapp et Instagram, à la suite de deux vastes procédures antitrust, lancées par la Commission fédérale du commerce des États-Unis et la quasi-totalité des États américains. Ces derniers accusent le réseau social d'avoir usé de méthodes très agressives pour prendre acquisition de ses anciens rivaux, dans une stratégie dite de “Buy or Bury” (acheter ou Enterrer le concurrent).
Les autorités reprochent particulièrement au géant du web, les rachats de l’application Instagram, en 2012 pour 1 milliard de dollars, et de la messagerie WhatsApp, en 2014 pour 22 milliards de dollars. Elles s’en prennent aussi aux conditions imposées par Facebook aux développeurs de logiciels.
Les Etats américains et la FTC accusent Mark Zuckerberg d’abuser de sa position dominante et de ses coffres bien remplis pour évincer la concurrence. En conséquence, la FTC demande à la justice d’éventuellement forcer Facebook à revendre Instagram et WhatsApp. L’agence veut aussi que le groupe de Mark Zuckerberg cesse de contraindre les développeurs à accepter certaines conditions et lui demande son feu vert pour toute opération de rachat.
Les procureurs réclament pour leur part d’être prévenus de toute acquisition supérieure à 10 millions de dollars que le réseau social voudrait faire.
Pour l'avocate de Facebook, Jennifer Newstead, ces poursuites sont « de l’histoire révisionniste » contre des ventes qui ont déjà été entérinées. Par ailleurs, selon elle les lois anti-trust n’étaient pas censées punir les « entreprises qui réussissent ».
Du reste, avec ces procès jumeaux lancés mercredi 9 décembre, Facebook devient cette année, la deuxième grande entreprise technologique à être sérieusement confrontée à la justice, juste après Google, le géant, qui est également accusé d’étouffer la concurrence.
Les autorités reprochent particulièrement au géant du web, les rachats de l’application Instagram, en 2012 pour 1 milliard de dollars, et de la messagerie WhatsApp, en 2014 pour 22 milliards de dollars. Elles s’en prennent aussi aux conditions imposées par Facebook aux développeurs de logiciels.
Les Etats américains et la FTC accusent Mark Zuckerberg d’abuser de sa position dominante et de ses coffres bien remplis pour évincer la concurrence. En conséquence, la FTC demande à la justice d’éventuellement forcer Facebook à revendre Instagram et WhatsApp. L’agence veut aussi que le groupe de Mark Zuckerberg cesse de contraindre les développeurs à accepter certaines conditions et lui demande son feu vert pour toute opération de rachat.
Les procureurs réclament pour leur part d’être prévenus de toute acquisition supérieure à 10 millions de dollars que le réseau social voudrait faire.
Pour l'avocate de Facebook, Jennifer Newstead, ces poursuites sont « de l’histoire révisionniste » contre des ventes qui ont déjà été entérinées. Par ailleurs, selon elle les lois anti-trust n’étaient pas censées punir les « entreprises qui réussissent ».
Du reste, avec ces procès jumeaux lancés mercredi 9 décembre, Facebook devient cette année, la deuxième grande entreprise technologique à être sérieusement confrontée à la justice, juste après Google, le géant, qui est également accusé d’étouffer la concurrence.
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