Lors des dernières élections, en novembre 2004, la CGT et SUD avaient obtenu un siège chacun chez les non-cadres, et la CFDT le siège des cadres.
Les résultats définitifs du scrutin n'étaient pas encore connus ce jeudi en fin de journée. Selon toute vraisemblance, ils devraient respecter les grands équilibres syndicaux : la CGT est la première organisation chez France Télécom (25,94%), devant Sud (22,29%), la CFDT (21,95%), FO (12,25%), la CFE-CGC/Unsa (9,79%) et la CFTC (6,77%). «La CGT est vraiment loin devant, l'objectif de SUD est surtout de se maintenir», indiquait ce jeudi après-midi Philippe Méric, délégué SUD.
Dans la situation actuelle de l'entreprise, qui a été confrontée à une série de 25 suicides en deux ans, ces élections revêtent une valeur particulière. Elles devraient permettre de mesurer si les salariés comprennent la stratégie «dure» de SUD et de la CFE-CGC, qui ont claqué la porte des négociations avec la direction. Ou s'ils approuvent le choix des autres syndicats, CGT en tête, qui négocient et estiment avoir déjà obtenu des avancées .
Mardi dernier, lors de la séance plénière entre la direction et les syndicats sur les cinq grands chantiers lancés dans l'entreprise, SUD a décidé de se retirer jugeant que «la situation manque de loyauté et de transparence». La CFE-CGC avait déjà quitté les négociations la semaine dernière.
«La CGT durant cette crise a cherché à être responsable. Cela nous a conduits à obtenir déjà des avancées», observe Christian Mattorel, délégué du syndicat, réaffirmant sa priorité «d'unité syndicale et de défense des salariés». «La négociation est ouverte, il faut lui donner toutes ses chances pour construir... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
Source: Le Figaro via Yahoo News
Les résultats définitifs du scrutin n'étaient pas encore connus ce jeudi en fin de journée. Selon toute vraisemblance, ils devraient respecter les grands équilibres syndicaux : la CGT est la première organisation chez France Télécom (25,94%), devant Sud (22,29%), la CFDT (21,95%), FO (12,25%), la CFE-CGC/Unsa (9,79%) et la CFTC (6,77%). «La CGT est vraiment loin devant, l'objectif de SUD est surtout de se maintenir», indiquait ce jeudi après-midi Philippe Méric, délégué SUD.
Dans la situation actuelle de l'entreprise, qui a été confrontée à une série de 25 suicides en deux ans, ces élections revêtent une valeur particulière. Elles devraient permettre de mesurer si les salariés comprennent la stratégie «dure» de SUD et de la CFE-CGC, qui ont claqué la porte des négociations avec la direction. Ou s'ils approuvent le choix des autres syndicats, CGT en tête, qui négocient et estiment avoir déjà obtenu des avancées .
Mardi dernier, lors de la séance plénière entre la direction et les syndicats sur les cinq grands chantiers lancés dans l'entreprise, SUD a décidé de se retirer jugeant que «la situation manque de loyauté et de transparence». La CFE-CGC avait déjà quitté les négociations la semaine dernière.
«La CGT durant cette crise a cherché à être responsable. Cela nous a conduits à obtenir déjà des avancées», observe Christian Mattorel, délégué du syndicat, réaffirmant sa priorité «d'unité syndicale et de défense des salariés». «La négociation est ouverte, il faut lui donner toutes ses chances pour construir... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
Source: Le Figaro via Yahoo News