L’informaticien et inventeur sénégalais, Bakar Ndiaye, a présenté, hier, au public à Dakar, le Système de vote électronique (Star), pour la fin des machines à voter avec des élections libres, justes et transparentes.
La mise en œuvre de ce système entraîne la suppression des cartes d’électeur, des bulletins de vote, des registres d’émargement, du dépouillement manuel, des urnes, des isoloirs, de l’encre indélébile et de la manipulation des procès-verbaux.
Selon l’inventeur, tout ce processus s’inscrit dans une logique de prise en compte des impératifs qui déterminent la sincérité et la transparence des élections, le tout s’articulant autour des critères de performance comme la confidentialité, la sûreté, la sécurité du vote mais aussi la possibilité de contrôler le processus à tout moment et à tous les niveaux.
Fruit de recherches de plus 20 ans, les « nouveautés inédites » du système, pour la fin des contestations zéro, consistent au vote non-assisté des handicapés, des malvoyants et des malentendants, la possibilité de choisir une langue pour dialoguer avec le système, la disponibilité des résultats en temps réel, à toute heure et à tout moment, la mobilité du système qui permet de trouver les électeurs chez eux, le cryptage des suffrages sécurisé, la prise en charge des illettrés et surtout la possibilité de suspendre la proclamation des résultats définitifs dès qu’on poste est déclaré manquant lors de la centralisation...
Une séance de démonstration a été faite au cours de la présentation. La trace d’audit est obligatoirement laissée par l’électeur qui s’acquitte de son devoir civil en moins trente secondes.
« Le Sénégal avait dépensé plus de 2 milliards en papiers pour la confection des bulletins de vote alors qu’avec ce système, l’Etat ne dépense même pas un rond », a dit M. Ndiaye. « Depuis 1998, notre pays a un fichier qui fait toujours l’objet de contestions. Or, avec ce système c’est la fin des tensions post-électorales dont les conséquences sont désastreuses », a indiqué le président de la Raddho, Alioune Tine.
Et ajoute-t-il, « l’objectif de la Raddho consiste à vulgariser le système pour qu’il ait un large consensus qui est important sur les questions électorales ».
Source: Le Soleil
La mise en œuvre de ce système entraîne la suppression des cartes d’électeur, des bulletins de vote, des registres d’émargement, du dépouillement manuel, des urnes, des isoloirs, de l’encre indélébile et de la manipulation des procès-verbaux.
Selon l’inventeur, tout ce processus s’inscrit dans une logique de prise en compte des impératifs qui déterminent la sincérité et la transparence des élections, le tout s’articulant autour des critères de performance comme la confidentialité, la sûreté, la sécurité du vote mais aussi la possibilité de contrôler le processus à tout moment et à tous les niveaux.
Fruit de recherches de plus 20 ans, les « nouveautés inédites » du système, pour la fin des contestations zéro, consistent au vote non-assisté des handicapés, des malvoyants et des malentendants, la possibilité de choisir une langue pour dialoguer avec le système, la disponibilité des résultats en temps réel, à toute heure et à tout moment, la mobilité du système qui permet de trouver les électeurs chez eux, le cryptage des suffrages sécurisé, la prise en charge des illettrés et surtout la possibilité de suspendre la proclamation des résultats définitifs dès qu’on poste est déclaré manquant lors de la centralisation...
Une séance de démonstration a été faite au cours de la présentation. La trace d’audit est obligatoirement laissée par l’électeur qui s’acquitte de son devoir civil en moins trente secondes.
« Le Sénégal avait dépensé plus de 2 milliards en papiers pour la confection des bulletins de vote alors qu’avec ce système, l’Etat ne dépense même pas un rond », a dit M. Ndiaye. « Depuis 1998, notre pays a un fichier qui fait toujours l’objet de contestions. Or, avec ce système c’est la fin des tensions post-électorales dont les conséquences sont désastreuses », a indiqué le président de la Raddho, Alioune Tine.
Et ajoute-t-il, « l’objectif de la Raddho consiste à vulgariser le système pour qu’il ait un large consensus qui est important sur les questions électorales ».
Source: Le Soleil