Rétrospective: extrait d'un article du 17 février 2007 à propos de la loi portugaise
Des millions de Brésiliens et de Vénézuéliens peuvent désormais devenir portugais. C'est la conséquence de la loi sur la nationalité adoptée le 16 février 2006 par le parlement portugais, ont indiqué des représentants des communautés portugaises à l'étranger.
La nouvelle loi, approuvée à une majorité écrasante, stipule notamment qu'a droit à la nationalité portugaise toute personne née à l'étranger dont un des grands-parents est ou était portugais.
Selon un des membres du Conseil des communautés portugaises, organisme consultatif du gouvernement, Antonio de Almeida e Silva, cité par l'agence Lusa, près de cinq millions de Brésiliens seraient concernés.
Selon les estimations, quelque 800'000 Portugais, émigrés dans leur majorité dans les années 50, vivent actuellement au Brésil, a-t-il expliqué, ajoutant que "la quantité de petits-enfants est immense".
La nouvelle norme va également bénéficier aux petits-enfants des quelque 400'000 Portugais émigrés au Venezuela, selon le président de la Chambre de commerce luso-vénézuelienne, José Lui Ferreira, et à ceux des 12'000 autres installés en Argentine.
La nouvelle loi accorde également la nationalité portugaise à l'enfant né au Portugal dont un des parents réside dans le pays depuis au moins cinq ans, ainsi qu'à toute personne née en territoire portugais et qui a achevé le premier cycle d'enseignement primaire.
Pourront opter également pour la nationalité portugaises les étrangers vivant en union de fait avec un citoyen portugais depuis plus de trois ans et les personnes qui résident légalement au Portugal depuis plus de six ans.
La seule condition pour les candidats à la nationalité portugaise est de connaître suffisamment la langue et de n'avoir pas été condamnés pour un crime passible d'une peine maximum de trois ans.
(article cosigné ats/afp et repris largement dans la presse)
La nouvelle loi, approuvée à une majorité écrasante, stipule notamment qu'a droit à la nationalité portugaise toute personne née à l'étranger dont un des grands-parents est ou était portugais.
Selon un des membres du Conseil des communautés portugaises, organisme consultatif du gouvernement, Antonio de Almeida e Silva, cité par l'agence Lusa, près de cinq millions de Brésiliens seraient concernés.
Selon les estimations, quelque 800'000 Portugais, émigrés dans leur majorité dans les années 50, vivent actuellement au Brésil, a-t-il expliqué, ajoutant que "la quantité de petits-enfants est immense".
La nouvelle norme va également bénéficier aux petits-enfants des quelque 400'000 Portugais émigrés au Venezuela, selon le président de la Chambre de commerce luso-vénézuelienne, José Lui Ferreira, et à ceux des 12'000 autres installés en Argentine.
La nouvelle loi accorde également la nationalité portugaise à l'enfant né au Portugal dont un des parents réside dans le pays depuis au moins cinq ans, ainsi qu'à toute personne née en territoire portugais et qui a achevé le premier cycle d'enseignement primaire.
Pourront opter également pour la nationalité portugaises les étrangers vivant en union de fait avec un citoyen portugais depuis plus de trois ans et les personnes qui résident légalement au Portugal depuis plus de six ans.
La seule condition pour les candidats à la nationalité portugaise est de connaître suffisamment la langue et de n'avoir pas été condamnés pour un crime passible d'une peine maximum de trois ans.
(article cosigné ats/afp et repris largement dans la presse)
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