La fille de Liliane Bettencourt transmet au fisc des "enregistrements pirates"
Cette dernière lui ayant fait des dons pour près d'un milliard d'euros. Des dons qui remontent pour les premiers à 1995 et qui s'étalent sur une dizaine d'années. La fille de Liliane Bettencourt a cité le photographe à comparaître pour « abus de faiblesse ». Le procès est prévu du 1er au 6 juillet à Nanterre. C’est dans ce contexte, que la fille de Liliane Bettancourt a transmis, le 10 juin dernier, à la brigade financière des enregistrements pirates de conversations entre Liliane Bettancourt et ses principaux conseillers, révèle le site Mediapart.(lepost.fr)
Affaire Bettencourt : Woerth, Pécresse et Sarkozy mentionnés
Engagée depuis de longs mois dans une bataille médico-judiciaire contre Banier, qui garde le soutien de sa mère, Françoise Bettencourt a remis ces enregistrements, que le maître d'hôtel lui aurait remis « spontanément », le 10 juin à la brigade financière. L'entourage de Liliale Bettencourt l'ayant convaincue de se séparer de plusieurs employés de maisons -qui avaient témoigné sur son supposé état de faiblesse-, le maître d'hôtel a décidé de les venger en plaçant un dictaphone dans le bureau de sa patronne.(rue89)
Au gouvernement, les casseroles s'accrochent par batteries
Qui sera le prochain ? Cette semaine, Le Canard enchaîné épingle trois ministres de Nicolas Sarkozy : Rama Yade (pour son hôtel sud-africain plus onéreux que celui des Bleus), Christian Blanc (pour des cigares payés par le contribuable) et Alain Joyandet (pour un permis de construire illégal). La chambre de Rama Yade. Il y a quelques jours, Rama Yade dénonçait avec fracas le prix des chambres occupées par les Bleus en Afrique du Sud. Et les appelait « à la décence en temps de crise ». Selon l'hebdo satirique, le prix de la chambre d'hôtel retenue par la secrétaire d'Etat en Afrique du Sud est en fait plus élevé que celui payé par les joueurs de l'équipe de France.(rue89)
Le mode de scrutin des élus territoriaux rejeté
Les centristes auront finalement voté contre le mode de scrutin des élus territoriaux, prévus pour siéger à la fois aux conseil général et régional. L'article a été rejeté par 27 voix contre 21. Les sénateurs du groupe Union Centriste ont voté contre, joignant leurs voix aux sénateurs PS, CRC-SPG (communistes et parti de gauche), RDSE (à majorité radicaux de gauche). Dans la version sortie du Palais Bourbon, les conseillers territoriaux devaient être élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Les centristes avaient vivement protesté, arguant que sans une dose de proportionnelle, les petits partis ne pourraient être représentés. L'Union centriste au Sénat (qui regroupe MoDem, Alliance centriste et Nouveau Centre) avait menacé de voter contre. Elle ne s'est donc pas dégonflée. Il faut dire que le groupe du centre avait de quoi se sentir trahi. A l'Assemblée, le Nouveau Centre avait fait voter un amendement avec pourtant le soutien du gouvernement et de l'UMP stipulant que le conseiller territorial serait élu selon un mode de scrutin mixte avec une dose de proportionnelle. Dose qui avait finalement disparu dans le texte adopté par les députés. "Il est très important que la majorité de la commission ait rejeté ce mode de scrutin, j'espère qu'elle restera conséquente en séance", a déclaré Jean-Pierre Sueur (PS).(l'expresse.fr)
Retraites: une réforme "empreinte d'efficacité et de justice", selon Sarkozy
Le chef de l'Etat "a indiqué que cette réforme était empreinte d'efficacité et de justice", a rapporté le porte-parole du gouvernement Luc Chatel, à l'issue du conseil des ministres. Cette réforme "va permettre le retour à l'équilibre (du) système par répartition en 2018 et elle apporte donc une vraie réponse, une solution aux besoins de financement actuels du système des retraites", a notamment souligné M. Sarkozy. François Fillon a, lui, salué "une réforme très ambitieuse et équilibrée", a ensuite relaté M. Chatel. "Très ambitieuse parce qu'elle va aller plus loin que les projections qui ont été proposées par le Comité d'orientation des retraites (COR). Très ambitieuse parce que le rythme retenu, allonger de quatre mois par an jusqu'en 2018, était un rythme très soutenu et qui n'avait pas été retenu par d'autres pays autour de nous". "C'est une réforme équilibrée", a également indiqué le Premier ministre cité par M. Chatel, "parce qu'elle propose des mesures sur les longues carrières.(AP)
Face à la crise, Besancenot veut rassembler les anticapitalistes européens
"On veut avancer dans la construction d'une gauche anticapitaliste européenne". Le mot d'ordre est lancé. Comme l'a expliqué Olivier Besancenot à la presse mardi 15 juin, avant un meeting anticapitaliste européen à La Mutualité, à Paris, réunissant six autres responsables européens.Une nouvelle conférence de ces partis pourrait ainsi se tenir en septembre ou octobre, a ajouté le leader du Nouveau Parti anticapitaliste, espérant alors réussir à rendre "plus visible" la future formation avec notamment des "campagnes communes sur les salaires, les services publics, la répartition des richesses", voire un logo ou un porte-parole communs.(l'expresse.fr)
Cette dernière lui ayant fait des dons pour près d'un milliard d'euros. Des dons qui remontent pour les premiers à 1995 et qui s'étalent sur une dizaine d'années. La fille de Liliane Bettencourt a cité le photographe à comparaître pour « abus de faiblesse ». Le procès est prévu du 1er au 6 juillet à Nanterre. C’est dans ce contexte, que la fille de Liliane Bettancourt a transmis, le 10 juin dernier, à la brigade financière des enregistrements pirates de conversations entre Liliane Bettancourt et ses principaux conseillers, révèle le site Mediapart.(lepost.fr)
Affaire Bettencourt : Woerth, Pécresse et Sarkozy mentionnés
Engagée depuis de longs mois dans une bataille médico-judiciaire contre Banier, qui garde le soutien de sa mère, Françoise Bettencourt a remis ces enregistrements, que le maître d'hôtel lui aurait remis « spontanément », le 10 juin à la brigade financière. L'entourage de Liliale Bettencourt l'ayant convaincue de se séparer de plusieurs employés de maisons -qui avaient témoigné sur son supposé état de faiblesse-, le maître d'hôtel a décidé de les venger en plaçant un dictaphone dans le bureau de sa patronne.(rue89)
Au gouvernement, les casseroles s'accrochent par batteries
Qui sera le prochain ? Cette semaine, Le Canard enchaîné épingle trois ministres de Nicolas Sarkozy : Rama Yade (pour son hôtel sud-africain plus onéreux que celui des Bleus), Christian Blanc (pour des cigares payés par le contribuable) et Alain Joyandet (pour un permis de construire illégal). La chambre de Rama Yade. Il y a quelques jours, Rama Yade dénonçait avec fracas le prix des chambres occupées par les Bleus en Afrique du Sud. Et les appelait « à la décence en temps de crise ». Selon l'hebdo satirique, le prix de la chambre d'hôtel retenue par la secrétaire d'Etat en Afrique du Sud est en fait plus élevé que celui payé par les joueurs de l'équipe de France.(rue89)
Le mode de scrutin des élus territoriaux rejeté
Les centristes auront finalement voté contre le mode de scrutin des élus territoriaux, prévus pour siéger à la fois aux conseil général et régional. L'article a été rejeté par 27 voix contre 21. Les sénateurs du groupe Union Centriste ont voté contre, joignant leurs voix aux sénateurs PS, CRC-SPG (communistes et parti de gauche), RDSE (à majorité radicaux de gauche). Dans la version sortie du Palais Bourbon, les conseillers territoriaux devaient être élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Les centristes avaient vivement protesté, arguant que sans une dose de proportionnelle, les petits partis ne pourraient être représentés. L'Union centriste au Sénat (qui regroupe MoDem, Alliance centriste et Nouveau Centre) avait menacé de voter contre. Elle ne s'est donc pas dégonflée. Il faut dire que le groupe du centre avait de quoi se sentir trahi. A l'Assemblée, le Nouveau Centre avait fait voter un amendement avec pourtant le soutien du gouvernement et de l'UMP stipulant que le conseiller territorial serait élu selon un mode de scrutin mixte avec une dose de proportionnelle. Dose qui avait finalement disparu dans le texte adopté par les députés. "Il est très important que la majorité de la commission ait rejeté ce mode de scrutin, j'espère qu'elle restera conséquente en séance", a déclaré Jean-Pierre Sueur (PS).(l'expresse.fr)
Retraites: une réforme "empreinte d'efficacité et de justice", selon Sarkozy
Le chef de l'Etat "a indiqué que cette réforme était empreinte d'efficacité et de justice", a rapporté le porte-parole du gouvernement Luc Chatel, à l'issue du conseil des ministres. Cette réforme "va permettre le retour à l'équilibre (du) système par répartition en 2018 et elle apporte donc une vraie réponse, une solution aux besoins de financement actuels du système des retraites", a notamment souligné M. Sarkozy. François Fillon a, lui, salué "une réforme très ambitieuse et équilibrée", a ensuite relaté M. Chatel. "Très ambitieuse parce qu'elle va aller plus loin que les projections qui ont été proposées par le Comité d'orientation des retraites (COR). Très ambitieuse parce que le rythme retenu, allonger de quatre mois par an jusqu'en 2018, était un rythme très soutenu et qui n'avait pas été retenu par d'autres pays autour de nous". "C'est une réforme équilibrée", a également indiqué le Premier ministre cité par M. Chatel, "parce qu'elle propose des mesures sur les longues carrières.(AP)
Face à la crise, Besancenot veut rassembler les anticapitalistes européens
"On veut avancer dans la construction d'une gauche anticapitaliste européenne". Le mot d'ordre est lancé. Comme l'a expliqué Olivier Besancenot à la presse mardi 15 juin, avant un meeting anticapitaliste européen à La Mutualité, à Paris, réunissant six autres responsables européens.Une nouvelle conférence de ces partis pourrait ainsi se tenir en septembre ou octobre, a ajouté le leader du Nouveau Parti anticapitaliste, espérant alors réussir à rendre "plus visible" la future formation avec notamment des "campagnes communes sur les salaires, les services publics, la répartition des richesses", voire un logo ou un porte-parole communs.(l'expresse.fr)
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