Qui suis-je?
Les monts du Cantal
Tout commence le 26 décembre 1982 : naissance à Enghien, dans le Val d’Oise (95). Après quatre années passées en Ile de France, les aléas économiques ont poussé mes parents à changer d’air. Voila pourquoi je me suis retrouvé dans le Cantal, plus précisément à Aurillac. C’est dans cette ville que j’ai passé le plus clair de mon temps en ce qui concerne les études, mais aussi les « découvertes ».
Parlons maintenant de mes passions. Qui pourrait habiter Aurillac, sans se passionner un tant soit peu pour le rugby, et son club centenaire ? Je vous le demande… En effet, j’ai découvert ce sport en arrivant dans la cité Géraldienne, et, depuis, mon engouement pour le rugby n’a cessé d’exister. Plusieurs raisons à cela. Ce sport est, plus qu’un autre, porteur de valeurs sociales. De nos jours, des valeurs telles que le respect, la solidarité, le courage, la convivialité sont trop souvent oubliées dans d’autres sports, que ce soit dans les tribunes ou « sur le pré ». Le rugby, malgré les préjugés de certains non initiés, en est le principal ambassadeur. Ne dit-on pas, d’ailleurs, que c’est l’école de la vie ? Quelle autre phrase pourrait aussi bien résumer ce sport? Je l’ignore.
Depuis environ un an, je m’intéresse à la photographie. Le fait d’habiter dans le Cantal n’est certainement pas étranger à cette nouvelle passion. Ainsi, me voilà parti le dimanche à réaliser des photos de paysages, de sites naturels, de villages… Certes, le résultat est encore loin d’un cliché de professionnel, mais la qualité de mes photos s’est tout de même nettement améliorée.
Parlons maintenant de mes passions. Qui pourrait habiter Aurillac, sans se passionner un tant soit peu pour le rugby, et son club centenaire ? Je vous le demande… En effet, j’ai découvert ce sport en arrivant dans la cité Géraldienne, et, depuis, mon engouement pour le rugby n’a cessé d’exister. Plusieurs raisons à cela. Ce sport est, plus qu’un autre, porteur de valeurs sociales. De nos jours, des valeurs telles que le respect, la solidarité, le courage, la convivialité sont trop souvent oubliées dans d’autres sports, que ce soit dans les tribunes ou « sur le pré ». Le rugby, malgré les préjugés de certains non initiés, en est le principal ambassadeur. Ne dit-on pas, d’ailleurs, que c’est l’école de la vie ? Quelle autre phrase pourrait aussi bien résumer ce sport? Je l’ignore.
Depuis environ un an, je m’intéresse à la photographie. Le fait d’habiter dans le Cantal n’est certainement pas étranger à cette nouvelle passion. Ainsi, me voilà parti le dimanche à réaliser des photos de paysages, de sites naturels, de villages… Certes, le résultat est encore loin d’un cliché de professionnel, mais la qualité de mes photos s’est tout de même nettement améliorée.
Pourquoi le Cantal?
Château de Val
Le Cantal est un département qui possède de nombreux atouts. Ces derniers sont, je trouve, très bien résumés sur le site du Conseil Général du Cantal (www.cg15.fr), dont voici un extrait :
« Le Cantal est à la fois un département du sud et de montagne. Il bénéficie en moyenne de 98 jours d’ensoleillement annuel, soit plus que le Rhône, l’Ardèche ou encore les Landes. De même, les montagnes font partie intégrante du paysage cantalien. Avec une altitude moyenne de 720 mètres et un point culminant, le Plomb du Cantal qui s’élève à 1858 mètres, le département est doté du plus grand domaine skiable du Massif Central avec la station du Lioran.
Le développement des axes de communication sur le territoire du Cantal est récent et désormais effectif. Cependant, l’enclavement passé a permis de protéger le Cantal des industries polluantes et de préserver un riche patrimoine naturel. Pour exemple, la flore présente une grande diversité, et même des raretés comme la gentiane. L’abondance et la diversité de l’eau s’exprime sous toutes les formes : ruisseaux, rivières, lacs, tourbières, et même sources minérale et thermale à Chaudes-Aigues.
Quant au patrimoine culturel, il possède de multiples facettes : la forte influence de l’art roman dans la région, les nombreux châteaux en parfait état de conservation, le festival international du Théâtre de Rue d’Aurillac, une gastronomie riche de traditions (charcuteries, salaisons, plats cuisinés, viande Salers, biscuits et fromages).
Les nouveaux arrivants apprécient dans le Cantal le climat, la tranquillité (absence d’embouteillages), la sécurité (le Cantal est le département le plus sûr de France) tout autant que la beauté des paysages.
Enfin, à portée de main, les grands espaces sont de parfaits terrains pour la pratique de sports de nature : parapente, randonnée, escalade, VTT, vélo, randonnée équestre... »
« Le Cantal est à la fois un département du sud et de montagne. Il bénéficie en moyenne de 98 jours d’ensoleillement annuel, soit plus que le Rhône, l’Ardèche ou encore les Landes. De même, les montagnes font partie intégrante du paysage cantalien. Avec une altitude moyenne de 720 mètres et un point culminant, le Plomb du Cantal qui s’élève à 1858 mètres, le département est doté du plus grand domaine skiable du Massif Central avec la station du Lioran.
Le développement des axes de communication sur le territoire du Cantal est récent et désormais effectif. Cependant, l’enclavement passé a permis de protéger le Cantal des industries polluantes et de préserver un riche patrimoine naturel. Pour exemple, la flore présente une grande diversité, et même des raretés comme la gentiane. L’abondance et la diversité de l’eau s’exprime sous toutes les formes : ruisseaux, rivières, lacs, tourbières, et même sources minérale et thermale à Chaudes-Aigues.
Quant au patrimoine culturel, il possède de multiples facettes : la forte influence de l’art roman dans la région, les nombreux châteaux en parfait état de conservation, le festival international du Théâtre de Rue d’Aurillac, une gastronomie riche de traditions (charcuteries, salaisons, plats cuisinés, viande Salers, biscuits et fromages).
Les nouveaux arrivants apprécient dans le Cantal le climat, la tranquillité (absence d’embouteillages), la sécurité (le Cantal est le département le plus sûr de France) tout autant que la beauté des paysages.
Enfin, à portée de main, les grands espaces sont de parfaits terrains pour la pratique de sports de nature : parapente, randonnée, escalade, VTT, vélo, randonnée équestre... »
Passer outre les préjugés
Salers - classé
Néanmoins, ce département doit faire face à de nombreux préjugés. Le premier, et non des moindres, concerne le climat. Qui n’a jamais entendu parler des températures extrêmes enregistrées à Aurillac à la météo ? Températures qui, il faut le savoir, ne reflètent pas le climat local, Aurillac étant la préfecture de France possédant la plus haute station météorologique. Ces basses températures matinales peuvent laisser supposer un lieu inhospitalier au ciel gris et bas. Or il n’en est rien, à Aurillac le brouillard est rare et vite dissipé. Le soleil est généreux et le vent fort est rare.
Une autre idée préconçue touche l’activité économique du département. On compare souvent le Cantal (comme d’autres départements ruraux) au « trou du cul » de la France, un endroit où les gens vivent d’amour et d’eau fraîche. Que ces âmes mal pensantes se détrompent : de nombreuses activités peuvent être réalisées. Certes, ce n’est pas le département français le plus vivant, mais son économie est loin d’être catastrophique : l’agriculture et le tourisme sont les garants de sa bienséance. D’autres départements seraient ravis de pouvoir mettre sur leurs dépliants touristiques des lieux tels que Le puy Mary, les vallées de la Cère et de la Jordanne, le Plomb du Cantal, le viaduc de Garabit… De plus c’est un département qui peut compter sur un patrimoine riche avec de nombreux châteaux (Pesteils, Anjony, Val…), ainsi qu’une multitude de villages dont le caractère auvergnat n’est plus à démontrer (Salers, Pailherols, Marcolès…)
Une autre idée préconçue touche l’activité économique du département. On compare souvent le Cantal (comme d’autres départements ruraux) au « trou du cul » de la France, un endroit où les gens vivent d’amour et d’eau fraîche. Que ces âmes mal pensantes se détrompent : de nombreuses activités peuvent être réalisées. Certes, ce n’est pas le département français le plus vivant, mais son économie est loin d’être catastrophique : l’agriculture et le tourisme sont les garants de sa bienséance. D’autres départements seraient ravis de pouvoir mettre sur leurs dépliants touristiques des lieux tels que Le puy Mary, les vallées de la Cère et de la Jordanne, le Plomb du Cantal, le viaduc de Garabit… De plus c’est un département qui peut compter sur un patrimoine riche avec de nombreux châteaux (Pesteils, Anjony, Val…), ainsi qu’une multitude de villages dont le caractère auvergnat n’est plus à démontrer (Salers, Pailherols, Marcolès…)
Voilà en quelques lignes, par ce rapide tour d’horizon du département, les raisons qui m’ont fait choisir le Cantal. A l’avenir, je ne manquerai pas d’entrer en contact avec toutes les forces vives du département (maires, élus locaux, acteurs économiques, sportifs…), afin qu’ensemble nous puissions trouver matière à rédaction.
Copyright photos :
http://perso.orange.fr/photo_france
www.sentiersdefrance.com
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