Pour dontmiss.fr qui organise un sondage, "Elle court, elle court à nouveau la rumeur.... Tous les médias se demandent une nouvelle fois à quel petit jeu joue Cécilia Sarkozy. Visiblement, elle prendrait un malin plaisir à entretenir un mystère autour de sa vie avec Nicolas Sarkozy. De l'Express au Nouvel Obs, chacun y va de son petit pronostic. Que penses tu de cette affaire ? La rumeur est-elle réelle ? Ou c'est une bonne histoire pour la presse ?"
Alors que dinersroom.free.fr s'offusque: "Sans guère de rapport, Pierre Moscovici déclare que Cécilia Sarkozy ne sera pas entendue par la future commission d'enquête parlementaire sur la libération des infirmières bulgares.
La raison ? Ce n'est pas que celle-ci n'a rien à dire. Et ce n'est pas que la commission s'en désintéresse.
"- Mme Sarkozy a des choses à dire. Elle les dit à l'Est Républicain. Qu'elle vienne les dire devant la représentation nationale. Mais qu'on n’en fasse pas une affaire. Si elle ne veut pas venir les dire, elle ne viendra pas les dire. Mais elle en portera, et le président de la République avec elle, la responsabilité."
Ah bon ? Si elle ne veut pas, elle ne vient pas. Voilà de quoi rehausser, croyez-moi, le rôle et la dignité du Parlement."
sarkozynews.canalblog, quant à lui évoque une tragédie française en rappelant avec lepost.fr que: Depuis que Ludovic Vigogne d'Aujourd'hui-Le Parisien a eu le culot de demander à David Martinon, vendredi, s'il était exact que Cécilia Sarkozy pourrait annoncer sa séparation d'avec son mari, ce week-end, la machine s'est emballée.
Emballée publiquement veux-je dire.
David Martinon s'était pourtant refusé au moindre commentaire : "Vous n'attendez quand même pas de moi que je commente ce genre de rumeur? (...). Je ne commente pas tout ce qui se passe dans les rédactions, heureusement, et certainement pas ça", a même ajouté le porte-parole de l'Elysée, bien moins à son affaire qu'à son habitude.
C'est que, depuis plus de dix jours, en "off" bien sûr, tout le – petit - monde ne parle que de "ça". "Ça va mal". "Ils vont se séparer". "C'est fini". Et les mêmes de vous expliquer que ces temps-ci "le Président n'écoute plus personne" ; sous-entendu comme aux pires heures du premier départ de Cécilia.
Que faire de plus sinon peut être poser la véritable question: un homme public est il en droit d'avoir les problèmes conjugaux de monsieur tout le monde? Je crois bien que non! Surtout lorsque l'on se nome Nicolas Sakozy...
Alors que dinersroom.free.fr s'offusque: "Sans guère de rapport, Pierre Moscovici déclare que Cécilia Sarkozy ne sera pas entendue par la future commission d'enquête parlementaire sur la libération des infirmières bulgares.
La raison ? Ce n'est pas que celle-ci n'a rien à dire. Et ce n'est pas que la commission s'en désintéresse.
"- Mme Sarkozy a des choses à dire. Elle les dit à l'Est Républicain. Qu'elle vienne les dire devant la représentation nationale. Mais qu'on n’en fasse pas une affaire. Si elle ne veut pas venir les dire, elle ne viendra pas les dire. Mais elle en portera, et le président de la République avec elle, la responsabilité."
Ah bon ? Si elle ne veut pas, elle ne vient pas. Voilà de quoi rehausser, croyez-moi, le rôle et la dignité du Parlement."
sarkozynews.canalblog, quant à lui évoque une tragédie française en rappelant avec lepost.fr que: Depuis que Ludovic Vigogne d'Aujourd'hui-Le Parisien a eu le culot de demander à David Martinon, vendredi, s'il était exact que Cécilia Sarkozy pourrait annoncer sa séparation d'avec son mari, ce week-end, la machine s'est emballée.
Emballée publiquement veux-je dire.
David Martinon s'était pourtant refusé au moindre commentaire : "Vous n'attendez quand même pas de moi que je commente ce genre de rumeur? (...). Je ne commente pas tout ce qui se passe dans les rédactions, heureusement, et certainement pas ça", a même ajouté le porte-parole de l'Elysée, bien moins à son affaire qu'à son habitude.
C'est que, depuis plus de dix jours, en "off" bien sûr, tout le – petit - monde ne parle que de "ça". "Ça va mal". "Ils vont se séparer". "C'est fini". Et les mêmes de vous expliquer que ces temps-ci "le Président n'écoute plus personne" ; sous-entendu comme aux pires heures du premier départ de Cécilia.
Que faire de plus sinon peut être poser la véritable question: un homme public est il en droit d'avoir les problèmes conjugaux de monsieur tout le monde? Je crois bien que non! Surtout lorsque l'on se nome Nicolas Sakozy...
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