Revue de presse Economie du 10 novembre 2011.
Notation: La France demande une enquête après l'erreur de S&P sur son triple A
Le ministre des Finances, François Baroin a déclaré avoir demandé aux régulateurs d'enquêter sur les causes et les éventuelles conséquences de l'erreur, qu'il a qualifiée de «rumeur assez choquante d'informations qui ne correspondent à aucun fondement». «On ne laissera aucun message négatif passer. On a une stratégie, on a un rendez-vous en matière de déficits qui est fixée. On ne variera pas d'un iota», a-t-il déclaré à Lyon en marge d'une conférence de l'économie. (20minutes.fr)
Alerte sur la zone euro
la quasi-totalité des indicateurs est au rouge. La dette enfle à 90 % du PIB l'an prochain en moyenne pour toute la zone euro ; c'est deux points de plus que cette année. Le déficit est aujourd'hui de 4,1 %. Il baissera à 3,4 en 2012. Une baisse, toujours bienvenue, mais moins rapide que prévu. Les banques, elles, se prêtent de moins en moins entre elles, asséchant le marché du crédit. Dans ces conditions, il n'y a aucune amélioration à prévoir sur le marché du travail. Il est minuit moins une. L'heure du sursaut a sonné, implore Olli Rehn : "Le risque de récession qui touchera déjà certains pays au tournant de l'année est donc présent pour toute la zone euro. À moins d'agir avec détermination." (Le Point.fr)
Dette italienne: les banques françaises jouent avec le feu
Face à des taux italiens historiquement hauts, les banques françaises se délestent massivement de leurs obligations souveraines transalpines. Au risque d'aggraver la crise et de se mettre un peu plus en danger... Explication d'un cercle très vicieux. Sauve qui peut ! Alors que les taux italiens ont battu mercredi un nouveau record, les banques françaises se sont lancées dans une course effrénée à la vente de leurs obligations transalpines … Sauf qu'en faisant cela, les banques françaises ne font qu'aggraver la situation. En effet, ces ventes ont beau se faire sur le marché secondaire (marché où les obligations se revendent et non celui où elles sont émises), ce sont in fine les taux italiens qui flambent: les obligations secondaires se revendent moins cher, ce qui fait augmenter leur taux... du marché primaire. (lexpansion.lexpress.fr)
Source Yahoo news
Référencement Internet et création de sites Web ICI
Le ministre des Finances, François Baroin a déclaré avoir demandé aux régulateurs d'enquêter sur les causes et les éventuelles conséquences de l'erreur, qu'il a qualifiée de «rumeur assez choquante d'informations qui ne correspondent à aucun fondement». «On ne laissera aucun message négatif passer. On a une stratégie, on a un rendez-vous en matière de déficits qui est fixée. On ne variera pas d'un iota», a-t-il déclaré à Lyon en marge d'une conférence de l'économie. (20minutes.fr)
Alerte sur la zone euro
la quasi-totalité des indicateurs est au rouge. La dette enfle à 90 % du PIB l'an prochain en moyenne pour toute la zone euro ; c'est deux points de plus que cette année. Le déficit est aujourd'hui de 4,1 %. Il baissera à 3,4 en 2012. Une baisse, toujours bienvenue, mais moins rapide que prévu. Les banques, elles, se prêtent de moins en moins entre elles, asséchant le marché du crédit. Dans ces conditions, il n'y a aucune amélioration à prévoir sur le marché du travail. Il est minuit moins une. L'heure du sursaut a sonné, implore Olli Rehn : "Le risque de récession qui touchera déjà certains pays au tournant de l'année est donc présent pour toute la zone euro. À moins d'agir avec détermination." (Le Point.fr)
Dette italienne: les banques françaises jouent avec le feu
Face à des taux italiens historiquement hauts, les banques françaises se délestent massivement de leurs obligations souveraines transalpines. Au risque d'aggraver la crise et de se mettre un peu plus en danger... Explication d'un cercle très vicieux. Sauve qui peut ! Alors que les taux italiens ont battu mercredi un nouveau record, les banques françaises se sont lancées dans une course effrénée à la vente de leurs obligations transalpines … Sauf qu'en faisant cela, les banques françaises ne font qu'aggraver la situation. En effet, ces ventes ont beau se faire sur le marché secondaire (marché où les obligations se revendent et non celui où elles sont émises), ce sont in fine les taux italiens qui flambent: les obligations secondaires se revendent moins cher, ce qui fait augmenter leur taux... du marché primaire. (lexpansion.lexpress.fr)
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