Echanges de tirs entre soldats libanais et israéliens
Les armées israélienne et libanaise ont échangé des tirs mardi à la frontière libano-israélienne, apprend-on de sources proches des services de sécurité israéliens. Selon ces sources, des soldats du génie de Tsahal, qui travaillaient le long de la frontière, ont essuyé des tirs de soldats libanais et ont répliqué. Au Liban, des sources proches des services de sécurité et des témoins font état de tirs d'obus de l'armée israélienne qui ont frappé la maison d'un village, blessant deux personnes. "Ça a commencé quand les Israéliens ont voulu couper un arbre en territoire libanais, l'armée libanaise a procédé à des tirs de sommation et ils ont répondu en tirant des obus", dit-on de même source, ajoutant qu'un soldat libanais a été légèrement blessé. Un civil a également été blessé. A Jérusalem, l'armée israélienne n'a fait aucun commentaire. Des unités de l'armée israélienne maintiennent une barrière de sécurité le long de la frontière avec le Sud-Liban, fief du mouvement chiite Hezbollah en conflit avec l'Etat hébreu depuis 2006.(reuters)
La coalition "en train de perdre la guerre contre les talibans", selon le président pakistanais
La communauté internationale, "à laquelle appartient le Pakistan", est "en train de perdre la guerre contre les talibans" en Afghanistan, a estimé le président pakistanais Asif Ali Zardari, dans une interview mardi au quotidien Le Monde. "Je considère que la communauté internationale, à laquelle appartient le Pakistan, est en train de perdre la guerre contre les talibans. Et ce, avant tout, parce que nous avons perdu la bataille de la conquête des coeurs et des esprits", a-t-il déclaré alors qu'il achève mardi une visite officielle en France avant de se rendre à Londres. Interrogé par Le Monde sur l'intérêt qu'aurait le Pakistan à ménager ses relations avec les talibans, qui pourraient être amenés à diriger à nouveau l'Afghanistan, M. Zardari a qualifié cette accusation d'"absurde". "Il n'y a pas de bons talibans avec qui on pourrait parler et d'autres, mauvais, qu'il faudrait combattre. Le Pakistan et sa population sont victimes des terroristes. Nous ne faisons pas que défendre nos frontières, nous luttons contre la terreur et ceux qui la propagent", a-t-il ajouté. Interrogé sur les critiques du Premier ministre britannique Davis Cameron sur un double jeu du Pakistan, M. Zardari a annoncé qu'il "lui dira en face que la guerre contre le terrorisme devrait nous réunir et non nous opposer".(lepoint)
Pour le président Pakistanais, la coalition 'est en train de perdre la guerre contre les talibans'
Le président pakistanais Asif Ali Zardari, élu en septembre 2008 et veuf de l'ex-premier ministre Benazir Bhutto, tuée dans un attentat fin 2007, a effectué une visite officielle de trois jours en France. Dans l'entretien qu'il a accordé au 'Monde' daté du mercredi 4 août, M. Zardari s'exprime notamment sur le double jeu supposé du Pakistan avec les talibans et sur la guerre en Afghanistan. Interrogé sur ce qu'il dira au premier ministre britannique, David Cameron, qui a demandé au Pakistan de choisir entre le camp des talibans et la lutte contre le terrorisme, le président pakistanais répond : 'Je lui dirai en face que la guerre contre le terrorisme devrait nous réunir et non nous opposer. Je lui expliquerai dans les yeux que c'est mon pays qui paye le prix le plus élevé de cette guerre en vies humaines... Une franche discussion permettra de ramener un peu de sérénité. C'est pourquoi je n'annulerai pas ma visite à Londres en dépit de cette grave mise en cause. Les relations entre nos deux pays sont anciennes et suffisamment solides pour cela'. A propos des documents publiés par le site WikiLeaks montrant les difficultés de la coalition contre les talibans ainsi que l'existence de liens entre le Pakistan et les talibans, M. Zardari estime que 'les informations dévoilées concernent avant tout l'action des Etats-Unis en Afghanistan. Les autorités militaires et politiques américaines ont dit ce qu'elles en pensaient'. Il ajoute: 'les faits évoqués concernant mon pays sont antérieurs à mon arrivée à la tête de l'Etat pakistanais'.(lemonde)
Source: Yahoo Actualités
Les armées israélienne et libanaise ont échangé des tirs mardi à la frontière libano-israélienne, apprend-on de sources proches des services de sécurité israéliens. Selon ces sources, des soldats du génie de Tsahal, qui travaillaient le long de la frontière, ont essuyé des tirs de soldats libanais et ont répliqué. Au Liban, des sources proches des services de sécurité et des témoins font état de tirs d'obus de l'armée israélienne qui ont frappé la maison d'un village, blessant deux personnes. "Ça a commencé quand les Israéliens ont voulu couper un arbre en territoire libanais, l'armée libanaise a procédé à des tirs de sommation et ils ont répondu en tirant des obus", dit-on de même source, ajoutant qu'un soldat libanais a été légèrement blessé. Un civil a également été blessé. A Jérusalem, l'armée israélienne n'a fait aucun commentaire. Des unités de l'armée israélienne maintiennent une barrière de sécurité le long de la frontière avec le Sud-Liban, fief du mouvement chiite Hezbollah en conflit avec l'Etat hébreu depuis 2006.(reuters)
La coalition "en train de perdre la guerre contre les talibans", selon le président pakistanais
La communauté internationale, "à laquelle appartient le Pakistan", est "en train de perdre la guerre contre les talibans" en Afghanistan, a estimé le président pakistanais Asif Ali Zardari, dans une interview mardi au quotidien Le Monde. "Je considère que la communauté internationale, à laquelle appartient le Pakistan, est en train de perdre la guerre contre les talibans. Et ce, avant tout, parce que nous avons perdu la bataille de la conquête des coeurs et des esprits", a-t-il déclaré alors qu'il achève mardi une visite officielle en France avant de se rendre à Londres. Interrogé par Le Monde sur l'intérêt qu'aurait le Pakistan à ménager ses relations avec les talibans, qui pourraient être amenés à diriger à nouveau l'Afghanistan, M. Zardari a qualifié cette accusation d'"absurde". "Il n'y a pas de bons talibans avec qui on pourrait parler et d'autres, mauvais, qu'il faudrait combattre. Le Pakistan et sa population sont victimes des terroristes. Nous ne faisons pas que défendre nos frontières, nous luttons contre la terreur et ceux qui la propagent", a-t-il ajouté. Interrogé sur les critiques du Premier ministre britannique Davis Cameron sur un double jeu du Pakistan, M. Zardari a annoncé qu'il "lui dira en face que la guerre contre le terrorisme devrait nous réunir et non nous opposer".(lepoint)
Pour le président Pakistanais, la coalition 'est en train de perdre la guerre contre les talibans'
Le président pakistanais Asif Ali Zardari, élu en septembre 2008 et veuf de l'ex-premier ministre Benazir Bhutto, tuée dans un attentat fin 2007, a effectué une visite officielle de trois jours en France. Dans l'entretien qu'il a accordé au 'Monde' daté du mercredi 4 août, M. Zardari s'exprime notamment sur le double jeu supposé du Pakistan avec les talibans et sur la guerre en Afghanistan. Interrogé sur ce qu'il dira au premier ministre britannique, David Cameron, qui a demandé au Pakistan de choisir entre le camp des talibans et la lutte contre le terrorisme, le président pakistanais répond : 'Je lui dirai en face que la guerre contre le terrorisme devrait nous réunir et non nous opposer. Je lui expliquerai dans les yeux que c'est mon pays qui paye le prix le plus élevé de cette guerre en vies humaines... Une franche discussion permettra de ramener un peu de sérénité. C'est pourquoi je n'annulerai pas ma visite à Londres en dépit de cette grave mise en cause. Les relations entre nos deux pays sont anciennes et suffisamment solides pour cela'. A propos des documents publiés par le site WikiLeaks montrant les difficultés de la coalition contre les talibans ainsi que l'existence de liens entre le Pakistan et les talibans, M. Zardari estime que 'les informations dévoilées concernent avant tout l'action des Etats-Unis en Afghanistan. Les autorités militaires et politiques américaines ont dit ce qu'elles en pensaient'. Il ajoute: 'les faits évoqués concernant mon pays sont antérieurs à mon arrivée à la tête de l'Etat pakistanais'.(lemonde)
Source: Yahoo Actualités
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