Il était déjà tard
On pouvait sentir dans le communiqué des responsables de l’ONG SOS méditerranée la culpabilité qu’ils éprouvaient face à la situation de ses migrants. D’après les faits, les gardes de côtes libyens ont alerté les autorités de l’ONG, avoir intercepté des signaux de détresse venant d’une embarcation en partance des côtes libyennes pour rejoindre l’occident.
L’Océan Viking et trois navires marchands se sont mise en route, avec des vagues qui montaient jusqu’à 6 mètres, à la recherche d’un potentiel bateau sur le vaste étendu d’eau qu’offrait la mer méditerranéenne. Quelques corps ont été découverts à proximité de l’épave du bateau qui leur a servi à voguer sur les flots.
Il était déjà trop tard pour faire quoi que ce soit, la mer avait eu raison d’eux. Y avait-il une chance pour qu’on les sauve ? Sûrement pas, la course était déjà perdue d’avance à partir du moment où les gardes de côte libyenne ont marqué très clairement leur désintéressement face à la situation. Ils ont répondu non à la requête d’intervention envoyée par l’ONG SOS.
Après le passage de l’ONG SOS méditerranée, le HCR (Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés) à passer un communiquer expliquant avoir recueilli 41 corps dont un enfant à la suite du naufrage qu’a connu l’embarcation de fortune en question. Mercredi, les recherches se sont poursuivies, mais sans succès. D’ailleurs, un avion de surveillance a été lancé pour sillonner de font en comble depuis les airs la mer.
Le pire est à craindre, cette perte importante en vies humaines n’empêchera pas d’autres à prendre le départ à la rencontre d’un destin funeste. Généralement, ce sont des individus en partance des côtes tunisiennes et libyennes. Une situation qui évoque la responsabilité de plusieurs acteurs dont les principaux sont les autorités de la Tunisie et de la Libye. Pour l’heure, on fait un bilan de plus de 300 morts sur la mer méditerranéenne depuis le début de l’année.
L’Océan Viking et trois navires marchands se sont mise en route, avec des vagues qui montaient jusqu’à 6 mètres, à la recherche d’un potentiel bateau sur le vaste étendu d’eau qu’offrait la mer méditerranéenne. Quelques corps ont été découverts à proximité de l’épave du bateau qui leur a servi à voguer sur les flots.
Il était déjà trop tard pour faire quoi que ce soit, la mer avait eu raison d’eux. Y avait-il une chance pour qu’on les sauve ? Sûrement pas, la course était déjà perdue d’avance à partir du moment où les gardes de côte libyenne ont marqué très clairement leur désintéressement face à la situation. Ils ont répondu non à la requête d’intervention envoyée par l’ONG SOS.
Après le passage de l’ONG SOS méditerranée, le HCR (Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés) à passer un communiquer expliquant avoir recueilli 41 corps dont un enfant à la suite du naufrage qu’a connu l’embarcation de fortune en question. Mercredi, les recherches se sont poursuivies, mais sans succès. D’ailleurs, un avion de surveillance a été lancé pour sillonner de font en comble depuis les airs la mer.
Le pire est à craindre, cette perte importante en vies humaines n’empêchera pas d’autres à prendre le départ à la rencontre d’un destin funeste. Généralement, ce sont des individus en partance des côtes tunisiennes et libyennes. Une situation qui évoque la responsabilité de plusieurs acteurs dont les principaux sont les autorités de la Tunisie et de la Libye. Pour l’heure, on fait un bilan de plus de 300 morts sur la mer méditerranéenne depuis le début de l’année.
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