Les vingt-trois membres du Groupe des 20 (G20), auxquels se sont joints quatre représentants de pays en développement plus pauvres, ont rencontré dimanche, séparément, la représentante américaine au Commerce Susan Schwab, le commissaire européen au Commerce Peter Mandelson et le ministre japonais de l'Agriculture Shoichi Nakagawa afin de sonder leur état d'esprit sur les chances d'un redémarrage du cycle de Doha.
La négociatrice américaine a envoyé un message apaisant, juste avant sa rencontre dans un palace de Rio avec les vingt-sept pays en développement réunis depuis samedi, en se déclarant "très enthousiasmée par la possibilité de faire aller de l'avant le cycle de Doha".
"La position du Brésil est claire, sans une réduction substantielle des subventions internes des Etats-Unis, le cycle ne sera pas conclu", a estimé l'hôte de la réunion, le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim dans un entretien publié par le quotidien O Estado de Sao Paulo.
De son côté, le commissaire européen a estimé qu'un échec du cycle de Doha serait "proche d'une attitude criminelle et profondément irresponsable", dans un entretien avec le même quotidien.
La négociatrice américaine a envoyé un message apaisant, juste avant sa rencontre dans un palace de Rio avec les vingt-sept pays en développement réunis depuis samedi, en se déclarant "très enthousiasmée par la possibilité de faire aller de l'avant le cycle de Doha".
"La position du Brésil est claire, sans une réduction substantielle des subventions internes des Etats-Unis, le cycle ne sera pas conclu", a estimé l'hôte de la réunion, le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim dans un entretien publié par le quotidien O Estado de Sao Paulo.
De son côté, le commissaire européen a estimé qu'un échec du cycle de Doha serait "proche d'une attitude criminelle et profondément irresponsable", dans un entretien avec le même quotidien.
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