Dans une "lettre aux militants et sympathisants socialistes" également communiquée à la presse, les responsables de RAG soulignent que "chaque militant et chaque militante socialiste reste libre de faire campagne en faveur d'un référendum. Le combat continue donc".
"Dans les fédérations et dans les sections, sur le terrain auprès des électeurs, +Rassembler à Gauche+ mobilisera en faveur d'une consultation populaire. A nos yeux, c'est cette position qui permet de dépasser les clivages entre socialistes, de cimenter la gauche, de s'opposer à Sarkozy et à la droite, de préparer au mieux les prochaines échéances", déclare le texte.
Il fait valoir que, mardi, "le Bureau national a décidé de respecter la liberté de conscience des socialistes, donc la liberté de vote des parlementaires socialistes". "Le moment venu, chacun sera libre de ne pas approuver la modification constitutionnelle lors du Congrès, puis la ratification par le Parlement du traité lui-même", ajoute la lettre.
Le courrier est signé par une petite trentaine de responsables et personnalités de "Rassembler à gauche", comme Jean-Luc Mélenchon, mais pas par Laurent Fabius, qui n'occupe plus de responsabilités nationales au PS.
Les signataires précisent d'autre part le sens de leur "non" au traité européen, au Bureau national. "Notre objectif à ce stade n'était pas de dire non au texte lui-même, mais de manifester notre total désaccord avec la procédure choisie par François Hollande" et consistant à "ne pas se prononcer sur le mode de ratification et approuver le contenu du traité de Lisbonne".
"Dans les fédérations et dans les sections, sur le terrain auprès des électeurs, +Rassembler à Gauche+ mobilisera en faveur d'une consultation populaire. A nos yeux, c'est cette position qui permet de dépasser les clivages entre socialistes, de cimenter la gauche, de s'opposer à Sarkozy et à la droite, de préparer au mieux les prochaines échéances", déclare le texte.
Il fait valoir que, mardi, "le Bureau national a décidé de respecter la liberté de conscience des socialistes, donc la liberté de vote des parlementaires socialistes". "Le moment venu, chacun sera libre de ne pas approuver la modification constitutionnelle lors du Congrès, puis la ratification par le Parlement du traité lui-même", ajoute la lettre.
Le courrier est signé par une petite trentaine de responsables et personnalités de "Rassembler à gauche", comme Jean-Luc Mélenchon, mais pas par Laurent Fabius, qui n'occupe plus de responsabilités nationales au PS.
Les signataires précisent d'autre part le sens de leur "non" au traité européen, au Bureau national. "Notre objectif à ce stade n'était pas de dire non au texte lui-même, mais de manifester notre total désaccord avec la procédure choisie par François Hollande" et consistant à "ne pas se prononcer sur le mode de ratification et approuver le contenu du traité de Lisbonne".
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