Michael Cole, porte-parole de Mohamed Al-Fayed, s'est félicité de la décision des juges, estimant qu'elle "augmentait la pression sur (le ministre britannique de la Justice Jack) Straw afin qu'il fasse tout son possible auprès de son homologue à Paris pour que les témoins français viennent déposer".
Les autorités françaises ont récemment refusé de contraindre les paparazzi à déposer devant la cour londonienne. Scott Baker, qui dirige l'enquête britannique, avait alors estimé que, faute de mieux, des dépositions écrites pouvaient être entendues par les jurés même si les photographes refusaient de se livrer à un contre-interrogatoire de la défense.
Mais deux juges de la Haute Cour, saisis en appel par les avocats du chauffeur français Henri Paul, ont statué que ces dépositions écrites étaient irrecevables si elles n'étaient pas accompagnées d'une possibilité pour la défense de poser ses questions aux paparazzi ou à défaut aux policiers les ayant interrogés.
Le juge Baker a indiqué qu'il envisageait de faire appel de cette décision, qui risque selon lui de compliquer et de rallonger les débats, déjà prévus pour durer jusqu'au printemps prochain.
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Les autorités françaises ont récemment refusé de contraindre les paparazzi à déposer devant la cour londonienne. Scott Baker, qui dirige l'enquête britannique, avait alors estimé que, faute de mieux, des dépositions écrites pouvaient être entendues par les jurés même si les photographes refusaient de se livrer à un contre-interrogatoire de la défense.
Mais deux juges de la Haute Cour, saisis en appel par les avocats du chauffeur français Henri Paul, ont statué que ces dépositions écrites étaient irrecevables si elles n'étaient pas accompagnées d'une possibilité pour la défense de poser ses questions aux paparazzi ou à défaut aux policiers les ayant interrogés.
Le juge Baker a indiqué qu'il envisageait de faire appel de cette décision, qui risque selon lui de compliquer et de rallonger les débats, déjà prévus pour durer jusqu'au printemps prochain.
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