"Dans les mois à venir, nous aurons un renouvellement total du pouvoir suprême de l'Etat", a-t-il dit devant plusieurs milliers de partisans, qui l'appellent à rester le "leader national" du pays.
¨Pour que ce renouvellement se passe de manière correcte et efficace et pour que les futurs Parlement et président puissent coopérer pour le bien de tous les citoyens, il nous faut la victoire", a lancé M. Poutine, tête de liste du parti Russie unie aux législatives.
Il a souligné l'importance "extrême" des législatives du 2 décembre, à trois mois de la présidentielle. "S'il y a une victoire en décembre, il y en aura une en mars" 2008, a-t-il poursuivi appelant ainsi les Russes à voter pour la poursuite de sa politique.
La Constitution lui interdit de se présenter pour un troisième mandat présidentiel consécutif en 2008. Les appels se muliplient toutefois pour qu'il reste au pouvoir, d'une manière ou d'une autre.
Certains suggèrent même qu'il soit candidat en mars 2008 en démissionnant de la présidence une fois élu à la Douma (Parlement) et en se présentant alors comme député, ce qui lui permettrait de contourner la règle sur la limitation des mandats présidentiels.
M. Poutine a toujours affirmé qu'il était contre un changement de la Constitution. Il a déclaré à plusieurs reprises qu'il partirait du Kremlin en 2008 tout en gardant une influence politique.
Il s'est livré par ailleurs à une violente charge contre l'opposition, notamment le mouvement L'Autre Russie de l'ex-champion du monde d'échecs Garry Kasparov, l'accusant d'être des "chacals" en quête de financements étrangers et de préparer des "provocations" pour déstabiliser la Russie.
"Il y a malheureusement dans notre pays des gens qui sont comme des chacals devant les ambassades étrangères (...) Ils comptent sur le soutien de fonds étrangers", a-t-il dit.
"Ils vont encore sortir dans la rue. Ils l'ont appris auprès de spécialistes occidentaux. Ils se sont entraînés dans les républiques voisines. Maintenant, ils vont faire des provocations dans le pays", a-t-il ajouté alors que L'Autre Russie appelle à manifester samedi à Moscou.
"Une lutte politique très dure a lieu tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays (...) Ceux qui s'opposent à nous, il leur faut une Russie faible, malade, une société désorientée, divisée", a-t-il affirmé, visant également des oligarques tels Boris Berezovski, réfugié à l'étranger et critique virulent du Kremlin.
¨Pour que ce renouvellement se passe de manière correcte et efficace et pour que les futurs Parlement et président puissent coopérer pour le bien de tous les citoyens, il nous faut la victoire", a lancé M. Poutine, tête de liste du parti Russie unie aux législatives.
Il a souligné l'importance "extrême" des législatives du 2 décembre, à trois mois de la présidentielle. "S'il y a une victoire en décembre, il y en aura une en mars" 2008, a-t-il poursuivi appelant ainsi les Russes à voter pour la poursuite de sa politique.
La Constitution lui interdit de se présenter pour un troisième mandat présidentiel consécutif en 2008. Les appels se muliplient toutefois pour qu'il reste au pouvoir, d'une manière ou d'une autre.
Certains suggèrent même qu'il soit candidat en mars 2008 en démissionnant de la présidence une fois élu à la Douma (Parlement) et en se présentant alors comme député, ce qui lui permettrait de contourner la règle sur la limitation des mandats présidentiels.
M. Poutine a toujours affirmé qu'il était contre un changement de la Constitution. Il a déclaré à plusieurs reprises qu'il partirait du Kremlin en 2008 tout en gardant une influence politique.
Il s'est livré par ailleurs à une violente charge contre l'opposition, notamment le mouvement L'Autre Russie de l'ex-champion du monde d'échecs Garry Kasparov, l'accusant d'être des "chacals" en quête de financements étrangers et de préparer des "provocations" pour déstabiliser la Russie.
"Il y a malheureusement dans notre pays des gens qui sont comme des chacals devant les ambassades étrangères (...) Ils comptent sur le soutien de fonds étrangers", a-t-il dit.
"Ils vont encore sortir dans la rue. Ils l'ont appris auprès de spécialistes occidentaux. Ils se sont entraînés dans les républiques voisines. Maintenant, ils vont faire des provocations dans le pays", a-t-il ajouté alors que L'Autre Russie appelle à manifester samedi à Moscou.
"Une lutte politique très dure a lieu tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays (...) Ceux qui s'opposent à nous, il leur faut une Russie faible, malade, une société désorientée, divisée", a-t-il affirmé, visant également des oligarques tels Boris Berezovski, réfugié à l'étranger et critique virulent du Kremlin.
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