Ce pays est une monarchie dirigée depuis 65 ans par la reine Elizabeth II et sa première ministre, Theresa May. Il y a plus de quarante années, ce Royaume-Uni a décidé d'appartenir à un groupe de pays qui s'appelle l'Union européenne dont la France en fait partie aussi.
Mais voilà aujourd’hui, le Royaume-Uni a choisi de quitter l'Union Européenne. Depuis quelques semaines, il discute avec l'Union européenne de la façon d'organiser sa sortie. Ce sont les habitants eux-mêmes qui ont pris cette décision l'année dernière. Le gouvernement a organisé un référendum sur la question, demandant s'ils voulaient quitter l'Union Européenne, et la réponse de la grande majorité a été oui. Voici ce qu’est appelé ‘’le Brexit’’. Ce mot rassemble deux termes anglais : « Britain » (Grande-Bretagne) et « exit » (sortie).
Mais voilà aujourd’hui, le Royaume-Uni a choisi de quitter l'Union Européenne. Depuis quelques semaines, il discute avec l'Union européenne de la façon d'organiser sa sortie. Ce sont les habitants eux-mêmes qui ont pris cette décision l'année dernière. Le gouvernement a organisé un référendum sur la question, demandant s'ils voulaient quitter l'Union Européenne, et la réponse de la grande majorité a été oui. Voici ce qu’est appelé ‘’le Brexit’’. Ce mot rassemble deux termes anglais : « Britain » (Grande-Bretagne) et « exit » (sortie).
Après Brexit, les producteurs britanniques sont confrontés à des pertes
Deux mois après Brexit, un tiers des producteurs britanniques estiment avoir eu des pertes en raison des charges administratives et d'allongement des délais de livraison. Les exportations se sont donc effondrées depuis janvier. Les procédures administratives devenues trop compliquées, commandes renforcées, temps d'attente pour les heures de frontière etc. Deux mois après la publication du Royaume-Uni, l'impact de Brexit est toujours ressenti pour les industriels. En janvier, le Royaume-Uni exporte 41% à l'Union européenne. Pour le pêcheur, l'éveil était encore plus brutal. Depuis janvier, les exportations de poissons et de coquillages ont diminué de 83% pour l'agroalimentaire en général, l'affaire est de 63% après l'Office national de la statistique (ONS).
"Je m'attends à une amélioration de février et de mars, mais les barrières commerciales relaxantes sont réelles et chères", est inquiète James Withers, directeur de l'Écosse Alimentation Scotland Food&Drink, qui rassemble l'industrie alimentaire agroalimentaire écossais en pointant le risque de voir les circuits d'approvisionnement de ses clients se reconfigurer sans le Royaume-Uni. Dans la direction opposée, les exportateurs français n'étaient pas épargnés. Selon les habitudes françaises, leur chiffre d'affaires n'a atteint que 80% de leur fin 2020.
"Je m'attends à une amélioration de février et de mars, mais les barrières commerciales relaxantes sont réelles et chères", est inquiète James Withers, directeur de l'Écosse Alimentation Scotland Food&Drink, qui rassemble l'industrie alimentaire agroalimentaire écossais en pointant le risque de voir les circuits d'approvisionnement de ses clients se reconfigurer sans le Royaume-Uni. Dans la direction opposée, les exportateurs français n'étaient pas épargnés. Selon les habitudes françaises, leur chiffre d'affaires n'a atteint que 80% de leur fin 2020.
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