Le ministre canadien des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, a assuré qu'Ottawa "prendrait toutes les mesures nécessaires pour défendre et protéger ses droits sur sa plate-forme continentale".
Selon Cannon, la France a renouvelé une revendication portant sur la plate-forme étendue autour de Saint-Pierre et Miquelon, en dépit d'un accord bilatéral de 1992.
"Le Canada ne reconnaît pas la revendication de la France sur une quelconque partie de la plate-forme continentale de l'Atlantique nord-ouest en dehors des zones délimitées par cet arbitrage", affirme-t-il dans un communiqué.
Selon la presse canadienne, les habitants des deux petites îles françaises ont pressé Paris de leur obtenir le droit d'exploiter des réserves pétrolières revendiquées par le Canada.
L'ambassade de France à Ottawa a souligné que l'accord de 1992 ne portait que sur les zones économiques exclusives et non sur la plate-forme continentale.
Un porte-parole de l'ambassade a souligné que la France avait jusqu'en mai 2009 pour soumettre une revendication officielle sur la plate-forme, et avait décidé d'agir en raison de la proximité de l'échéance.
"De nouvelles études doivent être faites. Nous voulions être sûrs que la France avait fait tout ce qu'elle devait faire à temps", a-t-il déclaré.
Source: Yahoo News
Selon Cannon, la France a renouvelé une revendication portant sur la plate-forme étendue autour de Saint-Pierre et Miquelon, en dépit d'un accord bilatéral de 1992.
"Le Canada ne reconnaît pas la revendication de la France sur une quelconque partie de la plate-forme continentale de l'Atlantique nord-ouest en dehors des zones délimitées par cet arbitrage", affirme-t-il dans un communiqué.
Selon la presse canadienne, les habitants des deux petites îles françaises ont pressé Paris de leur obtenir le droit d'exploiter des réserves pétrolières revendiquées par le Canada.
L'ambassade de France à Ottawa a souligné que l'accord de 1992 ne portait que sur les zones économiques exclusives et non sur la plate-forme continentale.
Un porte-parole de l'ambassade a souligné que la France avait jusqu'en mai 2009 pour soumettre une revendication officielle sur la plate-forme, et avait décidé d'agir en raison de la proximité de l'échéance.
"De nouvelles études doivent être faites. Nous voulions être sûrs que la France avait fait tout ce qu'elle devait faire à temps", a-t-il déclaré.
Source: Yahoo News
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