Les résultats des expériences animales suggèrent qu'une fois activé par les ultrasons le système immunitaire peut rechercher et détruire les cellules cancéreuses incluant celles qui ont déjà essaimé dans le courant sanguin pour aboutir à d'autres parties de l'organisme.
Les ultrasons à haute intensité sont actuellement utilisés en Chine, en Europe et aux Etats-Unis pour combattre les tumeurs en les chauffant. Les chercheurs de l'université Duke constatent cependant que les ultrasons pourraient fonctionner de manière encore plus performante si on ne pratiquait que des secousses aux cellules. Ces secousses rompent les membranes des cellules des tumeurs laissant échapper leur contenu. Ce contenu toxique alerte alors le système immunitaire menant à la production de cellules sanguines spécifiques pour combattre les tumeurs.
Selon les auteurs, si les effets trouvés chez les souris se retrouvent chez les humains, alors ce type de traitement pourrait être une avance importante dans les traitements du cancer en raison de son potentiel à attaquer les tumeurs primaires et les cancers métastasiés sans avoir nécessairement besoin de chirurgie. Ce travail conduit par des ingénieurs en collaboration avec des immunologues et des physiciens du centre du cancer de l'université Duke a été publié dans le journal médical Translational Medicine en août 2007.
Selon le Dr Pei Zhong, cette forme de thérapeutique ne peut actuellement être utilisée que pour traiter des tumeurs primitives. Les auteurs pensent que cette thérapeutique appliquée de manière différente pourrait avoir un impact bien plus significatif en supprimant les métastases cancéreuses par activation du système immunitaire.
Pour des motifs qui ne sont pas toujours complètement compris les cellules cancéreuses sont souvent en grande partie non détectées par le système immunitaire. Pour qu'une immuno-réaction antitumorale soit efficace elle doit pouvoir identifier les protéines extérieures des cellules cancéreuses mais également certaines protéines qui se situent à l'intérieur des cellules.
Pour les auteurs les résultats montrent que bien que cette thérapeutique ne soit pas aussi efficace que la thérapeutique HIFU chauffante pour tuer les cellules cancéreuses directement, elle a le potentiel d'induire une réponse immunitaire antitumorale plus importante. Ces résultats préliminaires ouvrent la possibilité d'utiliser la chaleur HIFU pour traiter les tumeurs primitives et cette technique HIFU pour susciter une réponse immunaire importante contre les cellules résiduelles et métastatiques.
Les ultrasons à haute intensité sont actuellement utilisés en Chine, en Europe et aux Etats-Unis pour combattre les tumeurs en les chauffant. Les chercheurs de l'université Duke constatent cependant que les ultrasons pourraient fonctionner de manière encore plus performante si on ne pratiquait que des secousses aux cellules. Ces secousses rompent les membranes des cellules des tumeurs laissant échapper leur contenu. Ce contenu toxique alerte alors le système immunitaire menant à la production de cellules sanguines spécifiques pour combattre les tumeurs.
Selon les auteurs, si les effets trouvés chez les souris se retrouvent chez les humains, alors ce type de traitement pourrait être une avance importante dans les traitements du cancer en raison de son potentiel à attaquer les tumeurs primaires et les cancers métastasiés sans avoir nécessairement besoin de chirurgie. Ce travail conduit par des ingénieurs en collaboration avec des immunologues et des physiciens du centre du cancer de l'université Duke a été publié dans le journal médical Translational Medicine en août 2007.
Selon le Dr Pei Zhong, cette forme de thérapeutique ne peut actuellement être utilisée que pour traiter des tumeurs primitives. Les auteurs pensent que cette thérapeutique appliquée de manière différente pourrait avoir un impact bien plus significatif en supprimant les métastases cancéreuses par activation du système immunitaire.
Pour des motifs qui ne sont pas toujours complètement compris les cellules cancéreuses sont souvent en grande partie non détectées par le système immunitaire. Pour qu'une immuno-réaction antitumorale soit efficace elle doit pouvoir identifier les protéines extérieures des cellules cancéreuses mais également certaines protéines qui se situent à l'intérieur des cellules.
Pour les auteurs les résultats montrent que bien que cette thérapeutique ne soit pas aussi efficace que la thérapeutique HIFU chauffante pour tuer les cellules cancéreuses directement, elle a le potentiel d'induire une réponse immunitaire antitumorale plus importante. Ces résultats préliminaires ouvrent la possibilité d'utiliser la chaleur HIFU pour traiter les tumeurs primitives et cette technique HIFU pour susciter une réponse immunaire importante contre les cellules résiduelles et métastatiques.
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