Les deux enfants, âgés de 12 et 13 ans, avaient été adoptés quatre ans plus tôt. Ils avaient été décrits comme "violents" et "difficiles" par le couple, qui avait donné naissance entre-temps à une petite fille.
"La première semaine s'est bien passée, puis les relations se sont dégradées", avait expliqué lors du procès le père, un administrateur de société de 47 ans.
"Ils urinaient partout, une demi-heure avant d'aller travailler il fallait nettoyer", avait déclaré son épouse, une enseignante en collège du même âge.
Le couple, qui verse 400 euros aux services sociaux pour l'éducation des enfants mais n'exerce pas son droit de visite, était jugé pour "soustraction par un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation de son enfant".
Un an de prison avec sursis avait été requis à leur encontre. Chacun des deux enfants a reçu 4000 euros de dommages et intérêts.
Source: Reuters via Yahoo
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises