Et, des piroguiers qui ont abandonné leur embarcation sur le rivage, avant de prendre la tangente, sont les présumés assassins des filles. Pour «preuves», des photos de plusieurs filles, dont celles des victimes, ont été découvertes dans la pirogue. L’enquête est confiée au commissaire central de Guédiawaye Demba Sarr.
Trois piroguiers auraient assassiné trois jeunes filles avant de les jeter en pleine mer. Les corps sans vie ont été récupérés aux rivages de la plage de Cambérène vers la Cité des Nations unies. C’était sur les coups de 17 heures.
Apparemment toutes les victimes ont moins de 20 ans. La première qui a regagné le rivage était habillée d’un pantalon Jean, d’un jacket et portait des greffages sur la tête. La deuxième portait un body noir et une jupe noire et des greffages. Et la dernière arborait également un body noir avec un pagne de couleur verte et des tresses américaines sur la tête. Un riverain témoin oculaire raconte que les corps ont regagné le rivage un à un. «J’étais là en train d’humer l’air marin.
Tout à coup, j’ai aperçu un corps dans les vagues. Et, au moment où on repêchait le corps avec quelques riverains, un autre corps sans vie se signale de l’autre côté. Puis, un troisième apparaît dans les vagues», raconte notre interlocuteur. Et de poursuivre : «Ce qui est grave dans cette affaire, c’est que, bien avant l’arrivée des cadavres, une pirogue dans laquelle se trouvaient trois personnes a rejoint le rivage. Et les piroguiers ont pris un taxi et y ont embarqué le moteur et leur bidon de carburant».
Toutefois, les filles ne présentent aucune trace de blessure. Les piroguiers présumés assassins des trois filles ont abandonné sur place leur pirogue. Une embarcation qui n’est pas une propriété des habitants du village traditionnel de Cambérène. Et des sources proches de certains pêcheurs de la cité Layène soutiennent que la pirogue proviendrait de Kayar. Les sapeurs-pompiers qui ont été alertés ont acheminé les corps sans vie à la morgue de l’hôpital Aristide Le Dantec.
L’enquête est gérée par les hommes du commissariat central de Guédiawaye, si l’on sait que les cadavres ont été retrouvés dans le périmètre de Guédiawaye. Le commissaire Demba Sarr, que nous avons joint au téléphone, n’a pas voulu se prononcer sur le sujet. Il a tout juste consenti à confier : «Rapprochez-vous du commissaire Aliou Ndiaye, chargé des relations publiques. C’est à lui de communiquer à ce sujet».
Source: Rewmi
Trois piroguiers auraient assassiné trois jeunes filles avant de les jeter en pleine mer. Les corps sans vie ont été récupérés aux rivages de la plage de Cambérène vers la Cité des Nations unies. C’était sur les coups de 17 heures.
Apparemment toutes les victimes ont moins de 20 ans. La première qui a regagné le rivage était habillée d’un pantalon Jean, d’un jacket et portait des greffages sur la tête. La deuxième portait un body noir et une jupe noire et des greffages. Et la dernière arborait également un body noir avec un pagne de couleur verte et des tresses américaines sur la tête. Un riverain témoin oculaire raconte que les corps ont regagné le rivage un à un. «J’étais là en train d’humer l’air marin.
Tout à coup, j’ai aperçu un corps dans les vagues. Et, au moment où on repêchait le corps avec quelques riverains, un autre corps sans vie se signale de l’autre côté. Puis, un troisième apparaît dans les vagues», raconte notre interlocuteur. Et de poursuivre : «Ce qui est grave dans cette affaire, c’est que, bien avant l’arrivée des cadavres, une pirogue dans laquelle se trouvaient trois personnes a rejoint le rivage. Et les piroguiers ont pris un taxi et y ont embarqué le moteur et leur bidon de carburant».
Toutefois, les filles ne présentent aucune trace de blessure. Les piroguiers présumés assassins des trois filles ont abandonné sur place leur pirogue. Une embarcation qui n’est pas une propriété des habitants du village traditionnel de Cambérène. Et des sources proches de certains pêcheurs de la cité Layène soutiennent que la pirogue proviendrait de Kayar. Les sapeurs-pompiers qui ont été alertés ont acheminé les corps sans vie à la morgue de l’hôpital Aristide Le Dantec.
L’enquête est gérée par les hommes du commissariat central de Guédiawaye, si l’on sait que les cadavres ont été retrouvés dans le périmètre de Guédiawaye. Le commissaire Demba Sarr, que nous avons joint au téléphone, n’a pas voulu se prononcer sur le sujet. Il a tout juste consenti à confier : «Rapprochez-vous du commissaire Aliou Ndiaye, chargé des relations publiques. C’est à lui de communiquer à ce sujet».
Source: Rewmi