Ni les insurgés ni les forces gouvernementales et leurs alliés n'ont semblé en mesure de prendre le dessus dans les combats sporadiques mais meurtriers qui les ont opposés dans la journée.
A Ouabho et Mahas, les affrontements ont mis aux prises des miliciens du groupe al Chabaab et des membres du mouvement islamiste modéré Ahlou Sounna. Ils ont fait au moins 31 morts depuis mercredi, selon l'Organisation Elman pour la paix et les droits de l'homme.
"Dix-huit personnes, principalement des miliciens, ont péri dans les combats (de jeudi) près du village de Ouabho. Treize sont mortes dans les affrontements de mercredi à Mahas. Le nombre total de blessés s'élève à 63 dans les deux zones", a dit le numéro deux de l'organisation, Ali Yacine Gedi.
Les islamistes d'Al Chabaab, tenus pour être les alliés d'Al Qaïda dans la corne de l'Afrique, contrôlent une large partie du centre et du sud du pays.
A Mogadiscio, où les combats s'atténuaient jeudi soir, au moins 15 personnes ont été tuées et 53 autres blessées en trois endroits, a rapporté Ali Muse, des ambulances Life Line.
Ces combats coïncident avec la nomination, jeudi, d'un nouveau ministre de la Sécurité, après la mort du précédent en juin dans un attentat suicide.
"Je donnerai la première priorité à l'établissement de forces somaliennes fortes et de la sécurité nationale", a déclaré à Reuters le nouveau ministre, Aboullahi Mohamed Ali.
L'insurrection qui fait rage depuis deux ans en Somalie a coûté la vie à 18.000 personnes et contraint un million d'habitants à fuir.
Les Occidentaux redoutent que le pays, en proie à la guerre civile et sans gouvernement central solide depuis 1991, déstabilise la région et devienne un refuge pour les activistes islamistes s'il tombe aux mains d'Al Chabaab.
Quelque 4.300 soldats burundais et ougandais sont déployés à Mogadiscio sous la bannière de l'Union africaine pour défendre les principaux sites et aider les forces gouvernementales face aux attaques des insurgés.
Gaffel Nkolokosa, porte-parole de l'émissaire de l'UA en Somalie, a déclaré que 21 soldats burundais étaient tombés malades pour des raisons inconnues. Ils ont été hospitalisés au Kenya et trois d'entre eux sont morts, a dit le porte-parole en se refusant à toute précision sur les symptômes du mal.
L'Union africaine et le gouvernement burundais ont envoyé une équipe d'experts médicaux pour déterminer la cause de la maladie au sein du contingent burundais, a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
A Ouabho et Mahas, les affrontements ont mis aux prises des miliciens du groupe al Chabaab et des membres du mouvement islamiste modéré Ahlou Sounna. Ils ont fait au moins 31 morts depuis mercredi, selon l'Organisation Elman pour la paix et les droits de l'homme.
"Dix-huit personnes, principalement des miliciens, ont péri dans les combats (de jeudi) près du village de Ouabho. Treize sont mortes dans les affrontements de mercredi à Mahas. Le nombre total de blessés s'élève à 63 dans les deux zones", a dit le numéro deux de l'organisation, Ali Yacine Gedi.
Les islamistes d'Al Chabaab, tenus pour être les alliés d'Al Qaïda dans la corne de l'Afrique, contrôlent une large partie du centre et du sud du pays.
A Mogadiscio, où les combats s'atténuaient jeudi soir, au moins 15 personnes ont été tuées et 53 autres blessées en trois endroits, a rapporté Ali Muse, des ambulances Life Line.
Ces combats coïncident avec la nomination, jeudi, d'un nouveau ministre de la Sécurité, après la mort du précédent en juin dans un attentat suicide.
"Je donnerai la première priorité à l'établissement de forces somaliennes fortes et de la sécurité nationale", a déclaré à Reuters le nouveau ministre, Aboullahi Mohamed Ali.
L'insurrection qui fait rage depuis deux ans en Somalie a coûté la vie à 18.000 personnes et contraint un million d'habitants à fuir.
Les Occidentaux redoutent que le pays, en proie à la guerre civile et sans gouvernement central solide depuis 1991, déstabilise la région et devienne un refuge pour les activistes islamistes s'il tombe aux mains d'Al Chabaab.
Quelque 4.300 soldats burundais et ougandais sont déployés à Mogadiscio sous la bannière de l'Union africaine pour défendre les principaux sites et aider les forces gouvernementales face aux attaques des insurgés.
Gaffel Nkolokosa, porte-parole de l'émissaire de l'UA en Somalie, a déclaré que 21 soldats burundais étaient tombés malades pour des raisons inconnues. Ils ont été hospitalisés au Kenya et trois d'entre eux sont morts, a dit le porte-parole en se refusant à toute précision sur les symptômes du mal.
L'Union africaine et le gouvernement burundais ont envoyé une équipe d'experts médicaux pour déterminer la cause de la maladie au sein du contingent burundais, a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
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