Des hommes armés ont attaqué mercredi soir des positions de l'armée congolaise près de Nyabiondo, 110 km environ au nord-ouest de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
Les troupes congolaises, engagées avec le soutien de l'Onu dans une offensive contre les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), ont repris des positions au cours d'une contre-attaque déclenchée vendredi matin.
"Il y a 27 morts du côté ennemi (...) D'après nos informations, il s'agissait des FDLR et de leurs alliés", a dit le colonel Bobo Kakudji, commandant des opérations au Nord-Kivu.
La mission de maintien de la paix de l'Onu en RDC (Monuc) n'a pu confirmer le bilan des victimes avancé par l'armée.
Un porte-parole militaire de la Monuc a estimé que l'attaque de mercredi était menée par une milice congolaise forte d'un millier d'hommes qui marque ainsi sa colère due au fait qu'on ne l'a pas intégrée à l'armée nationale aux termes d'un accord de paix conclu en janvier.
Les rebelles hutus, dont certains ont orchestré le génocide rwandais de 1994, sont considérés comme le principal facteur des violences qui, selon des estimations, ont fait 5,4 millions de morts dans l'Est congolais en un peu plus de dix ans.
Source: Reuters via Yahoo News
Les troupes congolaises, engagées avec le soutien de l'Onu dans une offensive contre les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), ont repris des positions au cours d'une contre-attaque déclenchée vendredi matin.
"Il y a 27 morts du côté ennemi (...) D'après nos informations, il s'agissait des FDLR et de leurs alliés", a dit le colonel Bobo Kakudji, commandant des opérations au Nord-Kivu.
La mission de maintien de la paix de l'Onu en RDC (Monuc) n'a pu confirmer le bilan des victimes avancé par l'armée.
Un porte-parole militaire de la Monuc a estimé que l'attaque de mercredi était menée par une milice congolaise forte d'un millier d'hommes qui marque ainsi sa colère due au fait qu'on ne l'a pas intégrée à l'armée nationale aux termes d'un accord de paix conclu en janvier.
Les rebelles hutus, dont certains ont orchestré le génocide rwandais de 1994, sont considérés comme le principal facteur des violences qui, selon des estimations, ont fait 5,4 millions de morts dans l'Est congolais en un peu plus de dix ans.
Source: Reuters via Yahoo News
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