C'est encore l'une des histoires insolites que nous réservent l'an 2020. Trois hommes sont dans les mailles de la justice pour exhumation présumée de 10 cadavres. Kola Fatoye, agé de 40 ans, Abimbola Fatoye, 35 ans, et Ahmed Ojo, 56 ans, ont tous comparu devant le tribunal de première instance d'Ado-Ekiti. Après exhumation, ils auraient décapités les dépouilles pour un sacrifice rituel.
Selon Monica Ikebuilo, la procureure en charge de l'affaire, les accusés ont profané des tombes et coupé des têtes de cadavres au cimetière de l’église anglicane St. Paul à Orun-Ekiti. Ils auraient commis leur forfait entre mars et septembre 2020 dans la ville. Parmi les cadavres déterrés, certains ont pu être identifiés. D'après la procureure, certaines dépouilles ont été identifiées comme étant celles de Philip Akintayo, Moreani Ajayi et huit autres personnes originaires d'Orun-Ekiti.
Après exhumation et décapitation, les accusés avaient utilisé les parties nécessaires des corps sans vie pour leur sacrifice rituel. Ils ont été pris plus tard la main dans le sac. «Les charmes du rituel ont été trouvés sur les accusés», a confié Monica Ikebuilo. Ils avaient ainsi enfreint les articles 242 (1) b, 210 (e) et 213 (b) du Code pénal, Lois de l’État d’Ekiti, 2012.
Notons que l'avis des accusés n'a pas été retenu par le tribunal. Afin de mettre la lumière sur cette affaire et prendre la décision idoine, la procureur a recommandé au tribunal de renvoyer les prévenus au centre correctionnel en attente d'un avis juridique du bureau du directeur du parquet (DPP). Ce qui a été respecté par la magistrate en chef, Mme Adefumike Anoma. La suite de l’affaire sera connue le 6 novembre prochain.
Selon Monica Ikebuilo, la procureure en charge de l'affaire, les accusés ont profané des tombes et coupé des têtes de cadavres au cimetière de l’église anglicane St. Paul à Orun-Ekiti. Ils auraient commis leur forfait entre mars et septembre 2020 dans la ville. Parmi les cadavres déterrés, certains ont pu être identifiés. D'après la procureure, certaines dépouilles ont été identifiées comme étant celles de Philip Akintayo, Moreani Ajayi et huit autres personnes originaires d'Orun-Ekiti.
Après exhumation et décapitation, les accusés avaient utilisé les parties nécessaires des corps sans vie pour leur sacrifice rituel. Ils ont été pris plus tard la main dans le sac. «Les charmes du rituel ont été trouvés sur les accusés», a confié Monica Ikebuilo. Ils avaient ainsi enfreint les articles 242 (1) b, 210 (e) et 213 (b) du Code pénal, Lois de l’État d’Ekiti, 2012.
Notons que l'avis des accusés n'a pas été retenu par le tribunal. Afin de mettre la lumière sur cette affaire et prendre la décision idoine, la procureur a recommandé au tribunal de renvoyer les prévenus au centre correctionnel en attente d'un avis juridique du bureau du directeur du parquet (DPP). Ce qui a été respecté par la magistrate en chef, Mme Adefumike Anoma. La suite de l’affaire sera connue le 6 novembre prochain.
A lire également:
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises