Si les hommes politiques de droite promettent qu'ils feront baisser les dépenses sociales s'ils sont élus, il ne faudra donc pas les croire. A l'exception du FN, qui n'hésiterait pas à plonger les plus pauvres dans une pauvreté encore plus grande, les gouvernements de droite ne pourront pas tailler dans ces dépenses sans provoquer de grogne ou de manifestations de rues, sans amoindrir les chances de relance économique. On sait par conséquent pour qui ne pas voter si l'on veut préserver la paix sociale, laisser à la France toutes ses chances de relancer la croissance et, de façon corollaire, éviter la montée de l'insécurité. Revue de presse:
Les dépenses sociales restent à des niveaux historiquement élevés dans la majorité des pays de l'OCDE, y compris en France où leur proportion est la plus forte même si elle devrait très légèrement diminuer cette année, selon une étude publiée lundi. L'Organisation de coopération et développement économiques table ainsi sur des dépenses sociales qui atteindraient 31,9% du produit intérieur brut en France cette année, soit à peine moins que le record de 31,95% atteint en 2013. Suivraient la Finlande, avec 31,0%, et la Belgique (30,7%), alors que la moyenne de l'OCDE se situerait à 21,6%. (La France reste numéro un des dépenses sociales, selon l'OCDE – Reuters)
Les Etats-Unis deuxièmes en incluant les dépenses privées : Le poste de dépenses le plus important reste celui des retraites, à hauteur de 15,8% du PIB en Italie, soit deux fois plus que pour la moyenne des pays de l'OCDE (7,9%) en 2012, et 13,8% en France. Quant aux dépenses de santé, elles représentent 6,2 points de PIB dans la zone OCDE mais 8,6 points en France. L'OCDE souligne que ces classements concernent uniquement les dépenses publiques. En ajoutant les dépenses privées et l'impact de la fiscalité incitative, les Etats-Unis passent du 24e rang au deuxième pour les dépenses sociales juste derrière la France.... (OCDE : La France toujours numéro un sur les dépenses sociales - Boursier)
Les dépenses sociales restent à des niveaux historiquement élevés dans la majorité des pays de l'OCDE, y compris en France où leur proportion est la plus forte même si elle devrait très légèrement diminuer cette année, selon une étude publiée lundi. L'Organisation de coopération et développement économiques table ainsi sur des dépenses sociales qui atteindraient 31,9% du produit intérieur brut en France cette année, soit à peine moins que le record de 31,95% atteint en 2013. Suivraient la Finlande, avec 31,0%, et la Belgique (30,7%), alors que la moyenne de l'OCDE se situerait à 21,6%. (La France reste numéro un des dépenses sociales, selon l'OCDE – Reuters)
Les Etats-Unis deuxièmes en incluant les dépenses privées : Le poste de dépenses le plus important reste celui des retraites, à hauteur de 15,8% du PIB en Italie, soit deux fois plus que pour la moyenne des pays de l'OCDE (7,9%) en 2012, et 13,8% en France. Quant aux dépenses de santé, elles représentent 6,2 points de PIB dans la zone OCDE mais 8,6 points en France. L'OCDE souligne que ces classements concernent uniquement les dépenses publiques. En ajoutant les dépenses privées et l'impact de la fiscalité incitative, les Etats-Unis passent du 24e rang au deuxième pour les dépenses sociales juste derrière la France.... (OCDE : La France toujours numéro un sur les dépenses sociales - Boursier)
A lire également:
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès