Un total de 19 individus ont été appréhendés à Nanterre lors de la marche blanche qui s'est tenue ce jeudi, tandis que 21 autres personnes ont été interpellées ailleurs dans la zone relevant de la préfecture de police de Paris, selon les informations fournies par les autorités compétentes.
Les affrontements ont continué, avec un décompte de pas moins de 40 arrestations jeudi soir à 23h30, dans la zone de compétence de la préfecture de police de Paris, incluant Paris, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne. De nombreuses villes ont été touchées par des émeutes urbaines suite au décès de Nahel, un adolescent de 17 ans tué à Nanterre. Rien qu'à Nanterre, 19 personnes ont été arrêtées lors de la marche blanche. Ce rapport en direct est maintenant terminé.
Un couvre-feu a été instauré à Clamart. Les autorités de la municipalité des Hauts-de-Seine ont annoncé la mise en vigueur d'un couvre-feu allant de 21 heures à 6 heures du matin, à partir du jeudi soir jusqu'au lundi matin.
Le policier a été mis en examen. L'agent de police âgé de 38 ans impliqué a officiellement été mis en examen pour homicide volontaire jeudi et placé en détention provisoire, selon les déclarations émanant du parquet. Un peu plus tôt, le procureur de la République de Nanterre avait annoncé l'ouverture d'une enquête judiciaire. "À ce stade des investigations, le parquet estime que les conditions légales d'utilisation de l'arme ne sont pas remplies", a-t-il fait savoir lors d'une conférence de presse.
La marche blanche en hommage à Nahel a rassemblé 6 200 participants. La marche blanche a débuté à 14 heures depuis la cité Pablo-Picasso, avec des cris de "justice pour Nahel" et "plus jamais ça". Le cortège a rallié la préfecture, à proximité de l'endroit où le jeune conducteur a perdu la vie lors d'un contrôle routier. Des tensions ont éclaté en marge de la manifestation, selon nos journalistes sur place. Des gaz lacrymogènes ont été utilisés pour disperser les manifestants. Selon les informations fournies par la préfecture de police, environ 6 200 personnes ont participé à la marche.
Aucun service de bus ou de tram ne sera assuré en Île-de-France après 21 heures. La RATP a annoncé que les bus et les tramways d'Île-de-France ne circuleront plus jeudi soir après 21 heures. Cette décision a été prise à la demande de la préfecture de police et de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse. "Les réseaux de métro et de RER devraient fonctionner normalement", a ajouté l'entreprise de transport.
Environ 40 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés. À Paris et dans la petite couronne, 5 000 membres des forces de l'ordre seront déployés jeudi soir, a précisé Gérald Darmanin. La veille, 9 000 policiers et gendarmes étaient déjà présents. "Aucune des violences qui se sont produites cette nuit, que ce soit ici, à Garges-lès-Gonesse, ou dans d'autres villes, ne trouve de justification", a déclaré Élisabeth Borne lors d'une visite dans cette commune du Val-d'Oise où la mairie a été incendiée.
Plus de 180 individus ont été interpellés. Les forces de l'ordre ont procédé à "plus de 180 interpellations" mercredi soir, selon Gérald Darmanin. "Il y a eu 170 policiers et gendarmes blessés", a ajouté le ministre de l'Intérieur, soulignant que le pronostic vital d'aucun d'entre eux n'est engagé.
Les affrontements ont continué, avec un décompte de pas moins de 40 arrestations jeudi soir à 23h30, dans la zone de compétence de la préfecture de police de Paris, incluant Paris, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne. De nombreuses villes ont été touchées par des émeutes urbaines suite au décès de Nahel, un adolescent de 17 ans tué à Nanterre. Rien qu'à Nanterre, 19 personnes ont été arrêtées lors de la marche blanche. Ce rapport en direct est maintenant terminé.
Un couvre-feu a été instauré à Clamart. Les autorités de la municipalité des Hauts-de-Seine ont annoncé la mise en vigueur d'un couvre-feu allant de 21 heures à 6 heures du matin, à partir du jeudi soir jusqu'au lundi matin.
Le policier a été mis en examen. L'agent de police âgé de 38 ans impliqué a officiellement été mis en examen pour homicide volontaire jeudi et placé en détention provisoire, selon les déclarations émanant du parquet. Un peu plus tôt, le procureur de la République de Nanterre avait annoncé l'ouverture d'une enquête judiciaire. "À ce stade des investigations, le parquet estime que les conditions légales d'utilisation de l'arme ne sont pas remplies", a-t-il fait savoir lors d'une conférence de presse.
La marche blanche en hommage à Nahel a rassemblé 6 200 participants. La marche blanche a débuté à 14 heures depuis la cité Pablo-Picasso, avec des cris de "justice pour Nahel" et "plus jamais ça". Le cortège a rallié la préfecture, à proximité de l'endroit où le jeune conducteur a perdu la vie lors d'un contrôle routier. Des tensions ont éclaté en marge de la manifestation, selon nos journalistes sur place. Des gaz lacrymogènes ont été utilisés pour disperser les manifestants. Selon les informations fournies par la préfecture de police, environ 6 200 personnes ont participé à la marche.
Aucun service de bus ou de tram ne sera assuré en Île-de-France après 21 heures. La RATP a annoncé que les bus et les tramways d'Île-de-France ne circuleront plus jeudi soir après 21 heures. Cette décision a été prise à la demande de la préfecture de police et de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse. "Les réseaux de métro et de RER devraient fonctionner normalement", a ajouté l'entreprise de transport.
Environ 40 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés. À Paris et dans la petite couronne, 5 000 membres des forces de l'ordre seront déployés jeudi soir, a précisé Gérald Darmanin. La veille, 9 000 policiers et gendarmes étaient déjà présents. "Aucune des violences qui se sont produites cette nuit, que ce soit ici, à Garges-lès-Gonesse, ou dans d'autres villes, ne trouve de justification", a déclaré Élisabeth Borne lors d'une visite dans cette commune du Val-d'Oise où la mairie a été incendiée.
Plus de 180 individus ont été interpellés. Les forces de l'ordre ont procédé à "plus de 180 interpellations" mercredi soir, selon Gérald Darmanin. "Il y a eu 170 policiers et gendarmes blessés", a ajouté le ministre de l'Intérieur, soulignant que le pronostic vital d'aucun d'entre eux n'est engagé.
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