M. Abbas a souligné que la conférence d'Annapolis représentait un opportunité pour faire la paix qui "ne se répètera pas", se félicitant du soutien manifesté par la communauté internationale, et notamment les pays arabes.
Et M. Olmert a affirmé qu'Israël était prêt à faire un "compromis douloureux" pour arriver à faire la paix avec les Palestiniens. Il a évoqué la possibilité d'un retrait israélien des territoires occupés depuis 1967, sans toutefois préciser l'ampleur de ce retrait.
Les deux parties sont convenues de tenir, par le biais d'un "comité pilote", une première session de négociations, au Proche-Orient, le 12 décembre; Abbas et Olmert se verront, comme ils ont déjà entrepris de le faire, tous les 15 jours pour assurer le suivi des négociations.
Soulignant les défis qui attendent Olmert et Abbas, un haut dirigeant du Hamas, organisation islamiste qui règne sur la bande de Gaza, a jugé que la conférence d'Annapolis était une pure "perte de temps".
Comme pour appuyer ces déclarations, des milliers de Palestiniens ont manifesté à Gaza et en Cisjordanie occupée - où un manifestant a été tué - contre la présence d'Abbas à Annapolis. A Gaza, des dizaines de milliers de manifestants ont conspué Abbas lors d'un meeting du Hamas. Certains sont allés jusqu'à le traiter de "traître".
En Cisjordanie, les manifestations ont eu lieu à Hébron, Ramallah, Naplouse et Bethléem, malgré l'interdiction de l'Autorité autonome. A Ramallah, fief de l'Autorité autonome d'Abbas depuis le coup de force du Hamas à Gaza à la mi-juin, la police a dispersé les manifestants à coups de matraque et de gaz lacrymogènes et en tirant en l'air.
Dans le camp de réfugiés d'Aïn al Hiloueh, au Liban, plusieurs centaines de Palestiniens ont manifesté aux cris de "Renversons les traitres arabes" - allusion à l'Arabie saoudite et à la Syrie, qui participent à la réunion d'Annapolis, Damas ayant obtenu in extremis que la question du Golan - occupé par Israël depuis 1967 - soit inscrite à l'ordre du jour des discussions.
Sources: Yahoo news, Edicom
Et M. Olmert a affirmé qu'Israël était prêt à faire un "compromis douloureux" pour arriver à faire la paix avec les Palestiniens. Il a évoqué la possibilité d'un retrait israélien des territoires occupés depuis 1967, sans toutefois préciser l'ampleur de ce retrait.
Les deux parties sont convenues de tenir, par le biais d'un "comité pilote", une première session de négociations, au Proche-Orient, le 12 décembre; Abbas et Olmert se verront, comme ils ont déjà entrepris de le faire, tous les 15 jours pour assurer le suivi des négociations.
Soulignant les défis qui attendent Olmert et Abbas, un haut dirigeant du Hamas, organisation islamiste qui règne sur la bande de Gaza, a jugé que la conférence d'Annapolis était une pure "perte de temps".
Comme pour appuyer ces déclarations, des milliers de Palestiniens ont manifesté à Gaza et en Cisjordanie occupée - où un manifestant a été tué - contre la présence d'Abbas à Annapolis. A Gaza, des dizaines de milliers de manifestants ont conspué Abbas lors d'un meeting du Hamas. Certains sont allés jusqu'à le traiter de "traître".
En Cisjordanie, les manifestations ont eu lieu à Hébron, Ramallah, Naplouse et Bethléem, malgré l'interdiction de l'Autorité autonome. A Ramallah, fief de l'Autorité autonome d'Abbas depuis le coup de force du Hamas à Gaza à la mi-juin, la police a dispersé les manifestants à coups de matraque et de gaz lacrymogènes et en tirant en l'air.
Dans le camp de réfugiés d'Aïn al Hiloueh, au Liban, plusieurs centaines de Palestiniens ont manifesté aux cris de "Renversons les traitres arabes" - allusion à l'Arabie saoudite et à la Syrie, qui participent à la réunion d'Annapolis, Damas ayant obtenu in extremis que la question du Golan - occupé par Israël depuis 1967 - soit inscrite à l'ordre du jour des discussions.
Sources: Yahoo news, Edicom
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