"Le mot rédemption, je l'ai choisi à dessein" car "c'est fondamental dans notre politique étrangère", qui doit "offrir la possibilité de revenir dans la communauté internationale" aux "chefs d'Etats qui ont commis un certain nombre d'actes que la loi internationale condamne", a expliqué M. Levitte.
Le diplomate répondait à une question d'un député sur l'opportunité pour le président Nicolas Sarkozy de recevoir en décembre le colonel Kadhafi au vu de la "cruauté insupportable des traitements infligés" aux infirmières bulgares.
M. Levitte a ainsi affirmé que "la visite à Paris" du chef de l'Etat libyen "ne faisait pas du tout partie de la négociation", contrairement à ce qu'avait estimé l'ancien ministre des Affaires étrangères Philippe Douste-Blazy dans une précédente audition.
Il a aussi nié que la signature d'accords économiques et de défense avec la Libye à l'occasion de la visite de M. Sarkozy au lendemain de la libération aient été liés à cette libération. "A chaque visite d'Etat, ce type d'accords sont signés", a-t-il lancé.
Bernard KOUCHNER avoue des états-d'âmes à propos de la reprise des relations diplomatiques et commerciales avec la LYBIE. Il réaffirme néanmoins la "nécessité" de cette stratégie, vis-à-vis d'un pays ayant la volonté de réintégrer la Communauté Internationale et assume pleinement la "normalisation" des échanges franco-lybiens.
La demande d'audition de Cécilia Sarkozy avait été déposée par les socialistes, estimant que l'ex-épouse du chef de l'Etat avait joué un rôle important dans la libération. Le rapporteur de la commission, Axel Poniatowski, a déclaré que cette "femme glamour" avait fait "du bon travail", mais il a souligné que la commission auditionne "tous ceux qui ont des positions officielles". "Cela ne me semble pas indispensable que la commission fasse de l'audimat avec Cécilia Sarkozy".
Sources:
Edicom.ch
Lesinfos.com
20minutes.fr
Le diplomate répondait à une question d'un député sur l'opportunité pour le président Nicolas Sarkozy de recevoir en décembre le colonel Kadhafi au vu de la "cruauté insupportable des traitements infligés" aux infirmières bulgares.
M. Levitte a ainsi affirmé que "la visite à Paris" du chef de l'Etat libyen "ne faisait pas du tout partie de la négociation", contrairement à ce qu'avait estimé l'ancien ministre des Affaires étrangères Philippe Douste-Blazy dans une précédente audition.
Il a aussi nié que la signature d'accords économiques et de défense avec la Libye à l'occasion de la visite de M. Sarkozy au lendemain de la libération aient été liés à cette libération. "A chaque visite d'Etat, ce type d'accords sont signés", a-t-il lancé.
Bernard KOUCHNER avoue des états-d'âmes à propos de la reprise des relations diplomatiques et commerciales avec la LYBIE. Il réaffirme néanmoins la "nécessité" de cette stratégie, vis-à-vis d'un pays ayant la volonté de réintégrer la Communauté Internationale et assume pleinement la "normalisation" des échanges franco-lybiens.
La demande d'audition de Cécilia Sarkozy avait été déposée par les socialistes, estimant que l'ex-épouse du chef de l'Etat avait joué un rôle important dans la libération. Le rapporteur de la commission, Axel Poniatowski, a déclaré que cette "femme glamour" avait fait "du bon travail", mais il a souligné que la commission auditionne "tous ceux qui ont des positions officielles". "Cela ne me semble pas indispensable que la commission fasse de l'audimat avec Cécilia Sarkozy".
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Edicom.ch
Lesinfos.com
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