L'épouse de Nicolas Sarkozy a également assuré qu'elle n'avait "pas voulu se différencier des autres premières dames" présentes comme elle à L'Aquila, mais qui ont emprunté un autre circuit qu'elle.
"J'avais promis de venir ici quand il y a eu le tremblement de terre. J'ai été bouleversée comme beaucoup de monde, pas seulement en tant qu'Italienne ou que Française, mais simplement en tant qu'être humain", a-t-elle déclaré en sortant de l'église de Santa Maria del Suffragio. Elle a ajouté que la réparation de la coupole de l'édifice serait pour moitié financée par des fonds français.
"Pour l'instant, l'évaluation des travaux est de 6,5 millions d'euros. La France va donner 3,2 millions d'euros. Pour moi, c'est formidable, en tant que Franco-Italienne, que les deux pays se réunissent pour reconstruire la coupole", a expliqué la première dame de France.
Vêtue d'un pantalon blanc et d'une veste blanche, sur un chemisier noir, Carla Bruni-Sarkozy était guidée pour cette visite par Augostino Miozzo, le directeur des relations internationales de la Protection civile italienne.
"Pour le patrimoine italien et le patrimoine européen et donc français, c'est une tragédie ce qui s'est passé ici. Pas seulement une tragédie humaine, pas seulement une tragédie économique, mais une tragédie pour le patrimoine", a-t-elle souligné.
Mme Sarkozy a par ailleurs indiqué qu'elle ferait un "don personnel" à la municipalité de L'Aquila, pour venir en aide à l'hôpital et à l'école de la ville sinistrée. "Le don que je fais n'est pas très important, 50.000 euros, mais j'espère qu'on pourra continuer à les aider ici et là", a-t-elle dit.
"C'est un don personnel que je fais à travers ma fondation, don que j'avais promis de faire lorsque j'ai vu la catastrophe", a-t-elle encore confié sous une tente blanche où elle s'est fait expliqué la situation sanitaire par un professeur de médecine néonatale. "Vous avez vu le courage de ce personnel qui est resté, qui travaille, qui est un exemple extraordinaire", a-t-elle relevé.
Interrogée sur son arrivée tardive à L'Aquila, alors que la plupart des autre premières dames s'y trouvaient dès l'ouverture du sommet mercredi, Carla Bruni-Sarkozy a juré n'avoir pas voulu se "différencier".
"C'est simplement que mon mari ne me demande jamais de venir aux réunions de travail, aux grands sommets internationaux", s'est-elle justifiée. "Je n'étais pas au G-20, au G-8 l'année dernière au Japon, mais je tenais à venir ici à L'Aquila pour rencontrer les gens, pour voir ce qui a ému le monde entier, pour le voir de près, aussi pour encourager le travail qui est fait ici pour les associations et tout le pays."
La veille, une visite officielle des ruines de L'Aquila avait été organisée pour les épouses de chefs d'Etat et de gouvernement, en présence notamment de Michelle Obama, la femme du président des Etats-Unis, mais sans Carla Bruni-Sarkozy.
Source: Associated Presse via Yahoo News
"J'avais promis de venir ici quand il y a eu le tremblement de terre. J'ai été bouleversée comme beaucoup de monde, pas seulement en tant qu'Italienne ou que Française, mais simplement en tant qu'être humain", a-t-elle déclaré en sortant de l'église de Santa Maria del Suffragio. Elle a ajouté que la réparation de la coupole de l'édifice serait pour moitié financée par des fonds français.
"Pour l'instant, l'évaluation des travaux est de 6,5 millions d'euros. La France va donner 3,2 millions d'euros. Pour moi, c'est formidable, en tant que Franco-Italienne, que les deux pays se réunissent pour reconstruire la coupole", a expliqué la première dame de France.
Vêtue d'un pantalon blanc et d'une veste blanche, sur un chemisier noir, Carla Bruni-Sarkozy était guidée pour cette visite par Augostino Miozzo, le directeur des relations internationales de la Protection civile italienne.
"Pour le patrimoine italien et le patrimoine européen et donc français, c'est une tragédie ce qui s'est passé ici. Pas seulement une tragédie humaine, pas seulement une tragédie économique, mais une tragédie pour le patrimoine", a-t-elle souligné.
Mme Sarkozy a par ailleurs indiqué qu'elle ferait un "don personnel" à la municipalité de L'Aquila, pour venir en aide à l'hôpital et à l'école de la ville sinistrée. "Le don que je fais n'est pas très important, 50.000 euros, mais j'espère qu'on pourra continuer à les aider ici et là", a-t-elle dit.
"C'est un don personnel que je fais à travers ma fondation, don que j'avais promis de faire lorsque j'ai vu la catastrophe", a-t-elle encore confié sous une tente blanche où elle s'est fait expliqué la situation sanitaire par un professeur de médecine néonatale. "Vous avez vu le courage de ce personnel qui est resté, qui travaille, qui est un exemple extraordinaire", a-t-elle relevé.
Interrogée sur son arrivée tardive à L'Aquila, alors que la plupart des autre premières dames s'y trouvaient dès l'ouverture du sommet mercredi, Carla Bruni-Sarkozy a juré n'avoir pas voulu se "différencier".
"C'est simplement que mon mari ne me demande jamais de venir aux réunions de travail, aux grands sommets internationaux", s'est-elle justifiée. "Je n'étais pas au G-20, au G-8 l'année dernière au Japon, mais je tenais à venir ici à L'Aquila pour rencontrer les gens, pour voir ce qui a ému le monde entier, pour le voir de près, aussi pour encourager le travail qui est fait ici pour les associations et tout le pays."
La veille, une visite officielle des ruines de L'Aquila avait été organisée pour les épouses de chefs d'Etat et de gouvernement, en présence notamment de Michelle Obama, la femme du président des Etats-Unis, mais sans Carla Bruni-Sarkozy.
Source: Associated Presse via Yahoo News
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