Cop 21 : la présidence française abat ses cartes
Le 9 décembre, Laurent Fabius a présenté aux 196 parties à la négociation une version « nettoyée » du projet d’accord. La discussion devait se poursuivre toute la nuit et encore une partie du lendemain sur cette base. Jusqu’à présent, le savoir-faire diplomatique de l’équipe française, avec au premier plan le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius et l’ambassadrice climat Laurence Tubiana, a reçu des éloges appuyés des délégations nationales et de nombreux experts. Forte du climat de confiance instauré depuis le début de la COP – crucial dans ces enceintes où les petits pays ont toujours peur de voir un accord se conclure dans leur dos – l’équipe de Laurent Fabius a donc abattu ses cartes mercredi 9 décembre. (la-croix.com)
Encore des points à trancher dans le projet d'accord à la COP21
Les organisations de défense de l'environnement invitées en observatrices ont manifesté en fin d'après-midi au coeur de la "zone bleue" sous juridiction de l'Onu pour faire pression sur les délégations engagées dans des consultations tous azimuts. François Hollande a reconnu que des Etats montraient encore "des résistances" et nourrissaient des "interrogations", lors d'une remise de décorations à l'Elysée, notamment à son envoyé spécial pour les questions climatiques, Nicolas Hulot. Le président français a refusé de nommer ces pays "pour ne pas compliquer les négociations" dans un "moment décisif". (Reuters)
La COP 21 cherche ses mots à deux jours de la clôture
Les avions et bateaux, pas concernés par le projet d'accord sur le climat
«Les gouvernements ont renoncé à inclure les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime et de l'aviation dans le projet d'accord» sur le climat présenté à 15 heures par Laurent Fabius, se sont illico alarmées les ONG Transport & Environment (T&E) et Seas at Risk.
Celles-ci qualifient les émissions des avions et des bateaux de «elephant in the room» (éléphant dans la pièce) des négociations climatiques, car ces secteurs «restent les seuls de l'économie internationale qui ne sont pas obligés de promettre une réduction de leurs émissions». (liberation.fr)
Le 9 décembre, Laurent Fabius a présenté aux 196 parties à la négociation une version « nettoyée » du projet d’accord. La discussion devait se poursuivre toute la nuit et encore une partie du lendemain sur cette base. Jusqu’à présent, le savoir-faire diplomatique de l’équipe française, avec au premier plan le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius et l’ambassadrice climat Laurence Tubiana, a reçu des éloges appuyés des délégations nationales et de nombreux experts. Forte du climat de confiance instauré depuis le début de la COP – crucial dans ces enceintes où les petits pays ont toujours peur de voir un accord se conclure dans leur dos – l’équipe de Laurent Fabius a donc abattu ses cartes mercredi 9 décembre. (la-croix.com)
Encore des points à trancher dans le projet d'accord à la COP21
Les organisations de défense de l'environnement invitées en observatrices ont manifesté en fin d'après-midi au coeur de la "zone bleue" sous juridiction de l'Onu pour faire pression sur les délégations engagées dans des consultations tous azimuts. François Hollande a reconnu que des Etats montraient encore "des résistances" et nourrissaient des "interrogations", lors d'une remise de décorations à l'Elysée, notamment à son envoyé spécial pour les questions climatiques, Nicolas Hulot. Le président français a refusé de nommer ces pays "pour ne pas compliquer les négociations" dans un "moment décisif". (Reuters)
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Les avions et bateaux, pas concernés par le projet d'accord sur le climat
«Les gouvernements ont renoncé à inclure les émissions de gaz à effet de serre du transport maritime et de l'aviation dans le projet d'accord» sur le climat présenté à 15 heures par Laurent Fabius, se sont illico alarmées les ONG Transport & Environment (T&E) et Seas at Risk.
Celles-ci qualifient les émissions des avions et des bateaux de «elephant in the room» (éléphant dans la pièce) des négociations climatiques, car ces secteurs «restent les seuls de l'économie internationale qui ne sont pas obligés de promettre une réduction de leurs émissions». (liberation.fr)
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