Mélenchon veut prendre du recul: L'ancien candidat à la présidentielle explique qu'il veut prendre du recul. "J’aspire à ce que le niveau de pression sur moi baisse", dit-il notamment, donnant trois raisons à cette décision : "Ça fait cinq ans que ça dure et ce n’est pas bon. On finit par ne plus raisonner aussi tranquillement qu’on le devrait." Deuxièmement, ajoute-t-il, "il faut aussi que le grand arbre n’empêche pas le reste de la forêt de pousser. Je suis content, car maintenant il y a plusieurs visages qui ont émergé à l’intérieur du Parti de gauche", dont il est co-président. La troisième raison, conclut-il, "c’est que je sais dans quelle condition je peux être utile. Je ne vais pas jouer tous les rôles. Je veux m’utiliser dans ce que je crois être capable de faire : la transmission idéologique, le travail intellectuel et culturel." (Lejdd.fr)
Mélenchon veut mettre sa vie politique entre parenthèses: Jean-Luc Mélenchon prévient toutefois: « Pour moi, ce n’est pas de me mettre en retrait, c’est m’utiliser autrement (...) Après il y aura à travailler pour donner un contenu concret à des idées assez générales ». Sur le devant de la scène depuis la campagne pour la présidentielle de 2012, le fondateur du Parti de Gauche, lassé sans doute par les turbulences en interne, souhaite passer le relais à d’autres et préparer la relève. « «Il faut aussi que le grand arbre n’empêche pas le reste de la forêt de pousser (...) Je ne vais pas jouer tous les rôles (...) J’ai besoin de temps, je ne peux plus continuer comme cela», explique-t-il. (Lesechos.fr)
Jean-Luc Mélenchon ne veut "plus continuer comme cela": "Ce que je n’avais pas envisagé, c’est que cette force [le Front de gauche] puisse être étouffée par le poids du retour aux vieilles traditions partiaires, aux arrangements, aux accords électoraux", poursuit Jean-Luc Mélenchon. Et d'aboutir, selon lui, à "ce néant qu’a été l’élection municipale, qui a complètement décrédibilisé ce qu’était le Front de gauche, explosé entre ceux qui ne voulaient pas d’alliance avec le Parti socialiste et ceux qui se sont vautrés dans cette alliance". (Blogs.mediapart.fr/blog/claude-de-villepin)
Mélenchon veut mettre sa vie politique entre parenthèses: Jean-Luc Mélenchon prévient toutefois: « Pour moi, ce n’est pas de me mettre en retrait, c’est m’utiliser autrement (...) Après il y aura à travailler pour donner un contenu concret à des idées assez générales ». Sur le devant de la scène depuis la campagne pour la présidentielle de 2012, le fondateur du Parti de Gauche, lassé sans doute par les turbulences en interne, souhaite passer le relais à d’autres et préparer la relève. « «Il faut aussi que le grand arbre n’empêche pas le reste de la forêt de pousser (...) Je ne vais pas jouer tous les rôles (...) J’ai besoin de temps, je ne peux plus continuer comme cela», explique-t-il. (Lesechos.fr)
Jean-Luc Mélenchon ne veut "plus continuer comme cela": "Ce que je n’avais pas envisagé, c’est que cette force [le Front de gauche] puisse être étouffée par le poids du retour aux vieilles traditions partiaires, aux arrangements, aux accords électoraux", poursuit Jean-Luc Mélenchon. Et d'aboutir, selon lui, à "ce néant qu’a été l’élection municipale, qui a complètement décrédibilisé ce qu’était le Front de gauche, explosé entre ceux qui ne voulaient pas d’alliance avec le Parti socialiste et ceux qui se sont vautrés dans cette alliance". (Blogs.mediapart.fr/blog/claude-de-villepin)
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