Bruxelles va donner aux citoyens européens l'initiative des lois
L'Union européenne lancera la semaine prochaine un programme permettant aux ressortissants des 27 pays de l'UE de proposer des législations à condition d'avoir réuni un million de signatures sur une pétition, une proposition qualifiée de "feuille de vigne" par des détracteurs. Selon ce projet, qui entrera en vigueur le 1er avril sous l'appellation d'initiative des citoyens européens, l'UE sera tenue d'examiner toutes les propositions de loi ayant recueilli ce nombre de signatures dans au moins sept des 27 Etats membres. Ce projet émane de la Commission européenne, l'exécutif de l'UE et principal initiateur de la législation communautaire, et vise à accentuer l'aspect démocratique des textes européens.(fr.Reuetrs.com) Ce n'est qu'un miroir aux alouettes.
Monti juge l'Allemagne et la France coresponsables de la crise d'endettement
Le Premier ministre italien, Mario Monti, a déclaré mercredi que l'attitude dispendieuse de l'Allemagne et de la France au début des années 2000 était l'une des causes de la crise européenne d'endettement. «Cette histoire commence en 2003, lorsque l'euro n'était encore qu'un bébé. C'étaient alors l'Allemagne et la France qui étaient laxistes concernant les déficits publics et les dettes», a-t-il expliqué lors d'un discours à Tokyo où il effectue une visite. M. Monti, qui a remplacé le magnat Silvio Berlusconi à la mi-novembre pour sauver la troisième économie de la zone euro qui menaçait d'être emportée par la tempête de la dette, a rappelé que le Conseil européen avait alors décidé de ne pas pénaliser les deux principales économies de la zone.(liberation.fr) C'est sûrement vrai.
La fausse victoire de la droite en Andalousie
Drôle de lendemain électoral en Andalousie, le grand bastion socialiste depuis trois décennies, où les vainqueurs ont la mine dépitée et les perdants arborent de larges sourires. Le candidat conservateur Javier Arenas, trois fois perdant par le passé, a remporté une victoire historique et inutile : il dispose certes de 50 sièges (face aux 47 obtenus par les socialistes), mais cette majorité est insuffisante pour gouverner la région la plus peuplée d’Espagne. Car, malgré son net recul (600 000 suffrages en moins), le Parti socialiste (PSOE) résiste et peut compter sur une alliance de gouvernement avec la Gauche unie (IU), dont le discours s’apparente à celui de Mélenchon, et qui a surpris par une forte ascension - de 6 à 12 sièges au Parlement régional, à Séville. Aucun sondage n’avait prédit cette résistance des partis de gauche. A l’inverse, le scrutin andalou était présenté comme la confirmation de la marche triomphale du Parti populaire (PP) de Mariano Rajoy, plébiscité lors des législatives générales de novembre. Après avoir raflé 11 des 17 communautés autonomes (les régions espagnoles), les trois quarts des municipalités, le Parlement national et le Sénat, les populares ne comptaient faire qu’une bouchée de l’Andalousie, inexpugnable forteresse socialiste depuis la mort de Franco, en 1975. D’où leur triomphe amer, et la défaite tout sourire des formations de gauche qui devraient gouverner ensemble cette région. «L’Andalousie, c’est le début de notre reconquête», s’est enthousiasmé Elena Valenciano, numéro 2 du Parti socialiste.(libération.fr) Raté pour la droite.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
L'Union européenne lancera la semaine prochaine un programme permettant aux ressortissants des 27 pays de l'UE de proposer des législations à condition d'avoir réuni un million de signatures sur une pétition, une proposition qualifiée de "feuille de vigne" par des détracteurs. Selon ce projet, qui entrera en vigueur le 1er avril sous l'appellation d'initiative des citoyens européens, l'UE sera tenue d'examiner toutes les propositions de loi ayant recueilli ce nombre de signatures dans au moins sept des 27 Etats membres. Ce projet émane de la Commission européenne, l'exécutif de l'UE et principal initiateur de la législation communautaire, et vise à accentuer l'aspect démocratique des textes européens.(fr.Reuetrs.com) Ce n'est qu'un miroir aux alouettes.
Monti juge l'Allemagne et la France coresponsables de la crise d'endettement
Le Premier ministre italien, Mario Monti, a déclaré mercredi que l'attitude dispendieuse de l'Allemagne et de la France au début des années 2000 était l'une des causes de la crise européenne d'endettement. «Cette histoire commence en 2003, lorsque l'euro n'était encore qu'un bébé. C'étaient alors l'Allemagne et la France qui étaient laxistes concernant les déficits publics et les dettes», a-t-il expliqué lors d'un discours à Tokyo où il effectue une visite. M. Monti, qui a remplacé le magnat Silvio Berlusconi à la mi-novembre pour sauver la troisième économie de la zone euro qui menaçait d'être emportée par la tempête de la dette, a rappelé que le Conseil européen avait alors décidé de ne pas pénaliser les deux principales économies de la zone.(liberation.fr) C'est sûrement vrai.
La fausse victoire de la droite en Andalousie
Drôle de lendemain électoral en Andalousie, le grand bastion socialiste depuis trois décennies, où les vainqueurs ont la mine dépitée et les perdants arborent de larges sourires. Le candidat conservateur Javier Arenas, trois fois perdant par le passé, a remporté une victoire historique et inutile : il dispose certes de 50 sièges (face aux 47 obtenus par les socialistes), mais cette majorité est insuffisante pour gouverner la région la plus peuplée d’Espagne. Car, malgré son net recul (600 000 suffrages en moins), le Parti socialiste (PSOE) résiste et peut compter sur une alliance de gouvernement avec la Gauche unie (IU), dont le discours s’apparente à celui de Mélenchon, et qui a surpris par une forte ascension - de 6 à 12 sièges au Parlement régional, à Séville. Aucun sondage n’avait prédit cette résistance des partis de gauche. A l’inverse, le scrutin andalou était présenté comme la confirmation de la marche triomphale du Parti populaire (PP) de Mariano Rajoy, plébiscité lors des législatives générales de novembre. Après avoir raflé 11 des 17 communautés autonomes (les régions espagnoles), les trois quarts des municipalités, le Parlement national et le Sénat, les populares ne comptaient faire qu’une bouchée de l’Andalousie, inexpugnable forteresse socialiste depuis la mort de Franco, en 1975. D’où leur triomphe amer, et la défaite tout sourire des formations de gauche qui devraient gouverner ensemble cette région. «L’Andalousie, c’est le début de notre reconquête», s’est enthousiasmé Elena Valenciano, numéro 2 du Parti socialiste.(libération.fr) Raté pour la droite.
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