Tusk présente un projet de réformes pour prévenir un "Brexit"
Les propositions présentées par Donald Tusk après plusieurs jours de tractations avec David Cameron couvrent les quatre domaines (législation, zone euro, compétitivité, immigration) sur lesquels le dirigeant britannique a réclamé des réformes avant de présenter d'ici quelques mois, peut-être dès juin, un référendum pour ou contre l'appartenance du Royaume-Uni à l'UE.
S'il obtient gain de cause, David Cameron promet de faire campagne en faveur du "oui".
Lors d'un déplacement à Chippenham, dans le sud-ouest de l'Angleterre, il a promis que si le projet présenté par Donald Tusk est encore amélioré, il permettra d'offrir au Royaume-Uni "le meilleur des deux mondes". (Reuters)
Brexit: l'Europe va-t-elle (encore) céder au chantage de David Cameron?
Si les citoyens d'Outre-Manche votent pour la sortie de l'Union, ce sera un coup dur pour la construction européenne. Mais cela lèvera aussi l'hypothèque britannique sur toute velléité de faire avancer l'Europe. Ce sera par conséquent un coup dur aussi pour tous les dirigeants nationaux soi-disant pro-européens, utilisant l'épouvantail britannique pour repousser des avancées qu'ils ne souhaitent pas en réalité. (lexpress.fr)
Le Royaume Uni peut-il survivre à un Brexit ?
Le Royaume Uni, qui souffre en fait d'une absence d'identité, aurait beaucoup à perdre d'une sortie de l'Union européenne (Brexit). Par Harold James, professeur d'histoire et de relations internationales à l'université de Princeton. Le référendum prévu sur le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de l'Union européenne, qui se tiendra probablement cette année, pourrait se révéler être une nouvelle catastrophe pour l'Europe. Si les électeurs britanniques décident de sortir de l'Union, une éventualité de plus en plus plausible, le résultat sera une profonde déstabilisation de l'Union européenne et possiblement l'éclatement du Royaume-Uni. Parce que l'UE semble être embourbée dans une crise perpétuelle, les arguments en faveur d'un « Brexit » ne manquent pas d'attraits, à la fois intellectuels et émotionnels. (latribune.fr)
Les propositions présentées par Donald Tusk après plusieurs jours de tractations avec David Cameron couvrent les quatre domaines (législation, zone euro, compétitivité, immigration) sur lesquels le dirigeant britannique a réclamé des réformes avant de présenter d'ici quelques mois, peut-être dès juin, un référendum pour ou contre l'appartenance du Royaume-Uni à l'UE.
S'il obtient gain de cause, David Cameron promet de faire campagne en faveur du "oui".
Lors d'un déplacement à Chippenham, dans le sud-ouest de l'Angleterre, il a promis que si le projet présenté par Donald Tusk est encore amélioré, il permettra d'offrir au Royaume-Uni "le meilleur des deux mondes". (Reuters)
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Si les citoyens d'Outre-Manche votent pour la sortie de l'Union, ce sera un coup dur pour la construction européenne. Mais cela lèvera aussi l'hypothèque britannique sur toute velléité de faire avancer l'Europe. Ce sera par conséquent un coup dur aussi pour tous les dirigeants nationaux soi-disant pro-européens, utilisant l'épouvantail britannique pour repousser des avancées qu'ils ne souhaitent pas en réalité. (lexpress.fr)
Le Royaume Uni peut-il survivre à un Brexit ?
Le Royaume Uni, qui souffre en fait d'une absence d'identité, aurait beaucoup à perdre d'une sortie de l'Union européenne (Brexit). Par Harold James, professeur d'histoire et de relations internationales à l'université de Princeton. Le référendum prévu sur le maintien ou non du Royaume-Uni au sein de l'Union européenne, qui se tiendra probablement cette année, pourrait se révéler être une nouvelle catastrophe pour l'Europe. Si les électeurs britanniques décident de sortir de l'Union, une éventualité de plus en plus plausible, le résultat sera une profonde déstabilisation de l'Union européenne et possiblement l'éclatement du Royaume-Uni. Parce que l'UE semble être embourbée dans une crise perpétuelle, les arguments en faveur d'un « Brexit » ne manquent pas d'attraits, à la fois intellectuels et émotionnels. (latribune.fr)
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