La Commission électorale indépendante (CEI) du pays, avait fait valoir que l'établissement des listes électorales n'était pas achevé et que le gouvernement devait encore réunir les neuf milliards de CFA (18,5 millions de dollars) nécessaires pour organiser les opérations de vote.
La France et les Nations unies ont déjà fourni respectivement 200.000 euros et 300.000 dollars pour la tenue du scrutin.
Le président centrafricain François Bozizé et ses adversaires politiques s'opposent au sujet de la date à laquelle organiser une consultation électorale dans l'ex-colonie française, en butte à une instabilité intérieure et régionale.
Des donateurs allant de l'Union européenne aux Nations unies ont réclamé un report de l'élection dans le contexte actuel.
Bozizé, arrivé au pouvoir en 2003 par un coup de force avant de remporter la dernière présidentielle en 2005, avait rejeté ce mois-ci un appel de l'opposition en ce sens.
"J'accepte la proposition de nos amis de la communauté internationale de reporter l'élection initialement fixée au 25 avril", a-t-il cette fois déclaré dans une allocution radiodiffusée.
"Je demande en conséquence à la commission électorale indépendante de proposer une nouvelle date pour les élections, à condition qu'elle ne tombe pas après le 11 juin, car nous ne pouvons avoir un vide juridique", a-t-il ajouté, en faisant allusion au fait que son mandat de cinq ans se termine en juin.
La République centrafricaine, dont le sous-sol est riche en or, en diamants et en uranium, reste néanmoins dans un état de grande pauvreté. Cet Etat, l'un des plus isolés d'Afrique, fait face à plusieurs rébellions intérieures et a en outre été entraîné dans des conflits régionaux où étaient impliqués le Soudan, le Tchad et la République démocratique du Congo (RDC).
Environ 200.000 civils vivent aujourd'hui en brousse pour éviter les zones de conflit.
Les principaux adversaires de Bozizé, qui craignent la fraude lors du scrutin, se sont regroupés au sein d'une coalition baptisée les Forces pour le changement et ont appelé vendredi à la mise en place de profondes réformes avant la tenue du scrutin, qu'ils souhaitent voir organisé en janvier 2011.
Source: Reuters via Yahoo News
La France et les Nations unies ont déjà fourni respectivement 200.000 euros et 300.000 dollars pour la tenue du scrutin.
Le président centrafricain François Bozizé et ses adversaires politiques s'opposent au sujet de la date à laquelle organiser une consultation électorale dans l'ex-colonie française, en butte à une instabilité intérieure et régionale.
Des donateurs allant de l'Union européenne aux Nations unies ont réclamé un report de l'élection dans le contexte actuel.
Bozizé, arrivé au pouvoir en 2003 par un coup de force avant de remporter la dernière présidentielle en 2005, avait rejeté ce mois-ci un appel de l'opposition en ce sens.
"J'accepte la proposition de nos amis de la communauté internationale de reporter l'élection initialement fixée au 25 avril", a-t-il cette fois déclaré dans une allocution radiodiffusée.
"Je demande en conséquence à la commission électorale indépendante de proposer une nouvelle date pour les élections, à condition qu'elle ne tombe pas après le 11 juin, car nous ne pouvons avoir un vide juridique", a-t-il ajouté, en faisant allusion au fait que son mandat de cinq ans se termine en juin.
La République centrafricaine, dont le sous-sol est riche en or, en diamants et en uranium, reste néanmoins dans un état de grande pauvreté. Cet Etat, l'un des plus isolés d'Afrique, fait face à plusieurs rébellions intérieures et a en outre été entraîné dans des conflits régionaux où étaient impliqués le Soudan, le Tchad et la République démocratique du Congo (RDC).
Environ 200.000 civils vivent aujourd'hui en brousse pour éviter les zones de conflit.
Les principaux adversaires de Bozizé, qui craignent la fraude lors du scrutin, se sont regroupés au sein d'une coalition baptisée les Forces pour le changement et ont appelé vendredi à la mise en place de profondes réformes avant la tenue du scrutin, qu'ils souhaitent voir organisé en janvier 2011.
Source: Reuters via Yahoo News
A lire également:
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel
-
Guerre au Proche-Orient : Les frappes israéliennes frappent maintenant l'ensemble du Liban
-
Les tensions croissantes autour de la communauté libanaise en Côte d’Ivoire
-
Problèmes judiciaires de Benyamin Netanyahu
-
Niamey change ses rues et efface les références françaises