Rien n'est moins sûr. Mais après des semaines de hausse ininterrompues, les indices à New York, Paris, Londres et Shanghaï ont soudainement marqué une pause entre lundi et vendredi. A Paris, où le CAC 40 s'approchait des 4 000 points, la Bourse a reculé de 2,32 % en cinq séances, à 3 739,14 points vendredi. Même tendance pour le Footsie de Londres en recul de 1,75 %, pour le Dow Jones (- 1,58 %) ou pour l'indice composite de la place de Shanghaï (- 4,18 %).
Selon les investisseurs, l'essoufflement général des places financières ne doit rien ou presque rien à la réunion de Pittsburgh. 'On se souvient du G20 de Londres, signale Gregori Volokhine, responsable de la stratégie actions chez Meeschaert New York, il y avait eu beaucoup de bonnes intentions, mais finalement les Etats n'ont vraiment agi que sur les paradis fiscaux.' Une mesure 'latérale', estime-t-il.
A cet égard, Pittsburgh ressemble à Londres. Aussi bien au sujet du rationnement des bonus des traders qu'aux obligations faites aux banques de renforcer leurs ratios de fonds propres. Cette dernière mesure, destinée à rendre les établissements plus solides en cas de nouveau choc, inquiétait, car elle aurait eu pour effet de détériorer les profits des banques. Au final, les conclusions du G20 laissent entendre que les banques devront se doter de davantage de capitaux propres mais... pas avant 2012.
'Les plus contents à la fin du G20, ce seront les banquiers, surtout en Europe, où les établissements sont jugés moins bien dotés qu'aux Etats-Unis', note M. Volokhine. Par anticipation, ce soulagement se traduisait vendredi matin en Bourse par une remontée des cours de BNP Paribas et de la Société générale.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Selon les investisseurs, l'essoufflement général des places financières ne doit rien ou presque rien à la réunion de Pittsburgh. 'On se souvient du G20 de Londres, signale Gregori Volokhine, responsable de la stratégie actions chez Meeschaert New York, il y avait eu beaucoup de bonnes intentions, mais finalement les Etats n'ont vraiment agi que sur les paradis fiscaux.' Une mesure 'latérale', estime-t-il.
A cet égard, Pittsburgh ressemble à Londres. Aussi bien au sujet du rationnement des bonus des traders qu'aux obligations faites aux banques de renforcer leurs ratios de fonds propres. Cette dernière mesure, destinée à rendre les établissements plus solides en cas de nouveau choc, inquiétait, car elle aurait eu pour effet de détériorer les profits des banques. Au final, les conclusions du G20 laissent entendre que les banques devront se doter de davantage de capitaux propres mais... pas avant 2012.
'Les plus contents à la fin du G20, ce seront les banquiers, surtout en Europe, où les établissements sont jugés moins bien dotés qu'aux Etats-Unis', note M. Volokhine. Par anticipation, ce soulagement se traduisait vendredi matin en Bourse par une remontée des cours de BNP Paribas et de la Société générale.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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