Le marché parisien s'est rétabli en toute fin de séance, grâce à une petite reprise de Wall Street. La Bourse de New York, qui manquait elle aussi d'élan dans la matinée après sa belle remontée des derniers jours, tentait de faire un pas en avant à mi-parcours. Peu après la clôture des Bourses européennes, le Dow Jones avançait de 0,19 % et le Nasdaq 0,41 %.
Alors que la pression sur la question de la dette grecque s'atténuait peu à peu après le lancement réussi de son emprunt, l'agence Fitch a ranimé les inquiétudes des marchés sur les déficits publics en pointant du doigt la gestion par le Portugal de son déficit budgétaire.
Les banques à la peine
L'agence de notation a déclaré qu'une dégradation de la note de crédit de ce pays «n'était pas exclue». Le marché a été également douché par une charge de l'autre grande agence de notation Moody's, contre les banques britanniques. Les analystes de Moody's ont expliqué que plusieurs de ces établissements pourraient voir leurs notes dégradées « à terme si elles ne parvenaient pas à améliorer sensiblement leur solidité financière ».
À Paris comme ailleurs, les valeurs bancaires ont aussitôt plongé dans le rouge. Crédit agricole a finalement perdu 1,41 %, Société générale 1,49 % et BNP Paribas 0,51 %. Natixis s'est repliée de 0,78 % et Dexia de 0,93 %. Mauvaise passe également pour EADS. Le groupe a dévoilé une perte de 763 millions d'euros en 2009 après avoir décidé la veille de jeter l'éponge dans la course au contrat d'avions ravitailleurs de l'armée américaine.
Source:lefigaro.fr via Yahoo
Alors que la pression sur la question de la dette grecque s'atténuait peu à peu après le lancement réussi de son emprunt, l'agence Fitch a ranimé les inquiétudes des marchés sur les déficits publics en pointant du doigt la gestion par le Portugal de son déficit budgétaire.
Les banques à la peine
L'agence de notation a déclaré qu'une dégradation de la note de crédit de ce pays «n'était pas exclue». Le marché a été également douché par une charge de l'autre grande agence de notation Moody's, contre les banques britanniques. Les analystes de Moody's ont expliqué que plusieurs de ces établissements pourraient voir leurs notes dégradées « à terme si elles ne parvenaient pas à améliorer sensiblement leur solidité financière ».
À Paris comme ailleurs, les valeurs bancaires ont aussitôt plongé dans le rouge. Crédit agricole a finalement perdu 1,41 %, Société générale 1,49 % et BNP Paribas 0,51 %. Natixis s'est repliée de 0,78 % et Dexia de 0,93 %. Mauvaise passe également pour EADS. Le groupe a dévoilé une perte de 763 millions d'euros en 2009 après avoir décidé la veille de jeter l'éponge dans la course au contrat d'avions ravitailleurs de l'armée américaine.
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