Premières frappes contre l'EI depuis le Charles-de-Gaulle
Le déploiement du porte-avions, déjà engagé en février contre l'EI en Irak, va tripler la force de frappe française en portant à 38 le nombre d'avions engagés dans l'opération Chammal contre l'Etat islamique. Les avions de chasse français ont vocation à "frapper dur contre Daech" et à viser "des cibles qui feront le plus de dégâts possibles à cette armée terroriste", a souligné lundi matin François Hollande. (Reuters)
Syrie/Irak : quelle est la stratégie de la coalition internationale ?
Ce lundi 23 novembre, les bombardiers français ont frappé l'Irak, venus en appuis aux troupes locales qui combattent l'État islamique au sol. Depuis ce matin, le porte-avions Charles-de-Gaulle est pleinement opérationnel à proximité des côtes syriennes. Un renfort qui s'ajoute aux six avions français basés aux Émirats arabes unis et aux six autres en Jordanie. Ils frappent l'État islamique depuis 14 mois. Le porte-avions Charles-de-Gaulle va lui aussi prendre sa place au sein de la coalition internationale contre l'organisation État islamique. (francetvinfo.fr)
Premières frappes depuis le porte-avions « Charles-de-Gaulle » contre l’EI
Quatre avions de chasse ont décollé du porte-avions Charles-de-Gaulle, lundi 23 novembre, pour mener leurs premiers bombardements en Irak contre l’organisation Etat islamique (EI), détruisant « deux objectifs » non identifiés dans les villes de Ramadi et de Mossoul. « Nous avons frappé en appui au sol de forces locales qui étaient en progression », a dit Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, ... (lemonde.fr)
Dans la soirée, l'état-major a annoncé que l'armée de l'air avait procédé à de nouvelles frappes, cette fois sur des objectifs situés dans la ville syrienne de Rakka, bastion de l'EI. Deux objectifs ont été détruits au cours de la première opération qui a duré "près de sept heures" et qui a été menée en appui aux forces irakiennes engagées sur le terrain contre l'organisation djihadiste. Dans la ville de Ramadi, à une centaine de kilomètres de Bagdad, "les frappes ont mis hors de combat un groupe de terroristes", indique l'armée française dans un communiqué. (Reuters)
Le déploiement du porte-avions, déjà engagé en février contre l'EI en Irak, va tripler la force de frappe française en portant à 38 le nombre d'avions engagés dans l'opération Chammal contre l'Etat islamique. Les avions de chasse français ont vocation à "frapper dur contre Daech" et à viser "des cibles qui feront le plus de dégâts possibles à cette armée terroriste", a souligné lundi matin François Hollande. (Reuters)
Syrie/Irak : quelle est la stratégie de la coalition internationale ?
Ce lundi 23 novembre, les bombardiers français ont frappé l'Irak, venus en appuis aux troupes locales qui combattent l'État islamique au sol. Depuis ce matin, le porte-avions Charles-de-Gaulle est pleinement opérationnel à proximité des côtes syriennes. Un renfort qui s'ajoute aux six avions français basés aux Émirats arabes unis et aux six autres en Jordanie. Ils frappent l'État islamique depuis 14 mois. Le porte-avions Charles-de-Gaulle va lui aussi prendre sa place au sein de la coalition internationale contre l'organisation État islamique. (francetvinfo.fr)
Premières frappes depuis le porte-avions « Charles-de-Gaulle » contre l’EI
Quatre avions de chasse ont décollé du porte-avions Charles-de-Gaulle, lundi 23 novembre, pour mener leurs premiers bombardements en Irak contre l’organisation Etat islamique (EI), détruisant « deux objectifs » non identifiés dans les villes de Ramadi et de Mossoul. « Nous avons frappé en appui au sol de forces locales qui étaient en progression », a dit Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, ... (lemonde.fr)
Dans la soirée, l'état-major a annoncé que l'armée de l'air avait procédé à de nouvelles frappes, cette fois sur des objectifs situés dans la ville syrienne de Rakka, bastion de l'EI. Deux objectifs ont été détruits au cours de la première opération qui a duré "près de sept heures" et qui a été menée en appui aux forces irakiennes engagées sur le terrain contre l'organisation djihadiste. Dans la ville de Ramadi, à une centaine de kilomètres de Bagdad, "les frappes ont mis hors de combat un groupe de terroristes", indique l'armée française dans un communiqué. (Reuters)
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