Les gouvernements français et américains ont accepté d'établir un site d'atterrissage d'urgence (TAL: Transoceanic Abort Landing) pour la navette spatiale sur la Base Aérienne 125 d'Istres, dans le sud de la France. L'accord a été signé à Washington le 8 juin 2005 par Michael Griffin, administrateur de la NASA et Jean-David Levitte, ambassadeur de France aux Etats-Unis.
L'accord couvre les navettes spatiales à destination de l'ISS, la Station spatiale internationale. Il permettra à une navette éventuellement en détresse lors de sa phase de lancement d'atterrir sur la base française. Les sites TAL peuvent être utilisés si une navette est incapable d'atteindre son orbite prévue ou un site d'atterrissage d'urgence sur le territoire des États-Unis.
Cet accord autorise les Etats-Unis à mettre en place sur la Base Aérienne le matériel et le personnel nécessaires avant chaque mission d'une navette: surveillance météorologique, équipements de navigation et aides à l'atterrissage, moyens de recherche et de secours et support à l'évacuation médicale.
"Cet accord est le fruit d'une longue histoire de coopération mutuelle dans le domaine spatial entre la France et les Etats-Unis", a indiqué M. Griffon. "Nous apprécions également l'aide de l'Armée de l'Air française, qui joue un rôle principal dans cette collaboration".
La Base Aérienne 125 d'Istres a été choisie en raison de son emplacement le long de la trajectoire de montée nominale de la navette spatiale. La base possède de plus une des plus longues pistes d'atterrissage d'Europe, plus de 5 km de long. La base sera le troisième site TAL actif, venant en complément de deux autres sites de la NASA à Zaragoza et à Moron, en Espagne. Pour que la NASA puisse lancer une navette, les conditions météorologiques doivent être acceptables sur au moins un de ces sites.
Source NASA
L'accord couvre les navettes spatiales à destination de l'ISS, la Station spatiale internationale. Il permettra à une navette éventuellement en détresse lors de sa phase de lancement d'atterrir sur la base française. Les sites TAL peuvent être utilisés si une navette est incapable d'atteindre son orbite prévue ou un site d'atterrissage d'urgence sur le territoire des États-Unis.
Cet accord autorise les Etats-Unis à mettre en place sur la Base Aérienne le matériel et le personnel nécessaires avant chaque mission d'une navette: surveillance météorologique, équipements de navigation et aides à l'atterrissage, moyens de recherche et de secours et support à l'évacuation médicale.
"Cet accord est le fruit d'une longue histoire de coopération mutuelle dans le domaine spatial entre la France et les Etats-Unis", a indiqué M. Griffon. "Nous apprécions également l'aide de l'Armée de l'Air française, qui joue un rôle principal dans cette collaboration".
La Base Aérienne 125 d'Istres a été choisie en raison de son emplacement le long de la trajectoire de montée nominale de la navette spatiale. La base possède de plus une des plus longues pistes d'atterrissage d'Europe, plus de 5 km de long. La base sera le troisième site TAL actif, venant en complément de deux autres sites de la NASA à Zaragoza et à Moron, en Espagne. Pour que la NASA puisse lancer une navette, les conditions météorologiques doivent être acceptables sur au moins un de ces sites.
Source NASA