"La réalité est que cette épidémie va s'aggraver avant de connaître une amélioration", a déclaré Barack Obama. "Mais aujourd'hui, le monde a encore la possibilité de sauver un nombre incalculable de vies. Aujourd'hui, le monde a la responsabilité d'agir et d'en faire davantage. Les Etats-Unis d'Amérique ont l'intention d'en faire davantage"
Je ne sais pas vous, mais pour moi ce genre de déclarations démagogues me fait penser aux films de science-fiction américains où les Etats-Unis sont les seuls à pouvoir sauver le monde. Il était peut-être temps qu'il réagisse pour reconquérir son peuple, lui qui a souvent été critiqué ces derniers temps pour son manque d'initiative face à cette crise sanitaire de grande ampleur.
Un peu d'histoire,
Le virus Ebola a été nommé ainsi en référence à une rivière passant près de la ville de Yambuku, dans le nord de la République Démocratique du Congo, alors appelé Zaïre. C'est à l'hôpital de cette localité que le premier cas de fièvre hémorragique Ebola fut identifié, en septembre 1976 par un médecin belge du nom de Peter Piot, annonçant une première épidémie qui allait tuer plus de 300 personnes.
Le virus est transporté par les chauves-souris, les gorilles, les chimpanzés, les porcs-épics et les antilopes.
Il se diffuse par des contacts directs avec du sang infecté, des excréments, de la sueur, des rapports sexuels avec une personne contaminée, un maniement sans protection d'un cadavre contaminé et des manipulations d'objets infectés.
Il n'y a pas de transmission lors de la période d'incubation qui dure de 2 à 21 jours. Une personne qui ne présente aucun symptôme n'est pas contagieuse.
Comment en guérir ?
Il n'existe pour le moment aucun traitement ni vaccin. Un traitement expérimental a été testé pour la première fois sur l'homme pour de travailleurs de soin qui ont contracté le virus au Liberia. Ce nouveau traitement, baptisé Zmapp et produit par la société de biotechnologie Mapp Biopharmaceutical (Californie), avait auparavant fait ses preuves sur les singes. Face à l'urgence de la situation, les Etats-Unis ont envoyé leurs doses de sérum expérimental au Liberia alors que l'OMS, après avoir saisi le Comité d'éthique, a approuvé l'usage de ce traitement pour l'homme.
Devant la gravité de l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola, la communauté médicale internationale a approuvé, le 12 août dernier, l'emploi de traitements non homologués, en premier lieu dans les pays d'Afrique de l'Ouest touchés.
Je ne sais pas vous, mais pour moi ce genre de déclarations démagogues me fait penser aux films de science-fiction américains où les Etats-Unis sont les seuls à pouvoir sauver le monde. Il était peut-être temps qu'il réagisse pour reconquérir son peuple, lui qui a souvent été critiqué ces derniers temps pour son manque d'initiative face à cette crise sanitaire de grande ampleur.
Un peu d'histoire,
Le virus Ebola a été nommé ainsi en référence à une rivière passant près de la ville de Yambuku, dans le nord de la République Démocratique du Congo, alors appelé Zaïre. C'est à l'hôpital de cette localité que le premier cas de fièvre hémorragique Ebola fut identifié, en septembre 1976 par un médecin belge du nom de Peter Piot, annonçant une première épidémie qui allait tuer plus de 300 personnes.
Le virus est transporté par les chauves-souris, les gorilles, les chimpanzés, les porcs-épics et les antilopes.
Il se diffuse par des contacts directs avec du sang infecté, des excréments, de la sueur, des rapports sexuels avec une personne contaminée, un maniement sans protection d'un cadavre contaminé et des manipulations d'objets infectés.
Il n'y a pas de transmission lors de la période d'incubation qui dure de 2 à 21 jours. Une personne qui ne présente aucun symptôme n'est pas contagieuse.
Comment en guérir ?
Il n'existe pour le moment aucun traitement ni vaccin. Un traitement expérimental a été testé pour la première fois sur l'homme pour de travailleurs de soin qui ont contracté le virus au Liberia. Ce nouveau traitement, baptisé Zmapp et produit par la société de biotechnologie Mapp Biopharmaceutical (Californie), avait auparavant fait ses preuves sur les singes. Face à l'urgence de la situation, les Etats-Unis ont envoyé leurs doses de sérum expérimental au Liberia alors que l'OMS, après avoir saisi le Comité d'éthique, a approuvé l'usage de ce traitement pour l'homme.
Devant la gravité de l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola, la communauté médicale internationale a approuvé, le 12 août dernier, l'emploi de traitements non homologués, en premier lieu dans les pays d'Afrique de l'Ouest touchés.
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