M. Ban doit s'entretenir au Caire avec le président Hosni Moubarak, le ministre des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit et le patron de la Ligue arabe, Amr Moussa.
Après l'Egypte, il se rendra en Jordanie, en Israël et dans les territoires palestiniens, en Turquie, au Liban, en Syrie et au Koweït, afin de discuter avec les responsables de la région des moyens d'obtenir un cessez-le-feu le plus tôt possible à Gaza.
Avant son départ, le chef des Nations unies a reçu le soutien "unanime" du Conseil de sécurité. "Le Conseil de sécurité a été unanime à la fois dans son soutien à l'initiative du secrétaire général et au rôle qu'il peut jouer pour accélérer la mise en oeuvre de la résolution 1860", a déclaré l'ambassadeur de France, Jean-Maurice RipertM. Ripert, qui préside le Conseil en janvier.
Le diplomate parlait à la presse à l'issue d'une nouvelle séance de consultations à huis clos du Conseil sur la situation à Gaza, la première depuis l'adoption jeudi dernier de la résolution 1860. Cette résolution, qui appelle à l'instauration "d'un cessez-le-feu immédiat, durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes" de la bande de Gaza, est restée jusqu'à présent lettre morte. Le conflit, qui en est à son 19e jour, a fait plus de 900 morts dont de nombreux civils.
"Le moment du voyage de M. Ban est bien choisi, il y a de très importantes initiatives sur le terrain", a encore dit M. Ripert, en référence notamment au plan égyptien pour un cessez-le-feu à Gaza.
L'Egypte attendait mardi que le Hamas s'engage sans délai sur son plan, espérant qu'un cessez-le-feu puisse être annoncé avant la fin de la semaine. Selon les négociateurs égyptiens, il existe des "signes" qu'Israël accepterait le plan proposé par le président Hosni Moubarak.
Ce plan prévoit des garanties et contrôles pour assurer que le cessez-le-feu sera durable, qui doivent porter sur "la sécurisation des frontières", c'est à dire l'arrêt de la contrebande d'armes alimentant le Hamas, ce qu'exige Israël, et "l'ouverture des points de passages frontaliers et la levée du siège" de Gaza, comme le réclament les Palestiniens.
Un élément clef porte aussi sur le processus de réconciliation interpalestinienne entre les principales factions, le Fatah du président de Mahmoud Abbas et le Hamas.
M. Ban doit entamer mercredi au Caire une tournée d'une semaine au Proche-Orient, qui le mènera ensuite en Jordanie, en Israël et dans les territoires occupés, en Turquie, au Liban, en Syrie et au Koweit, afin de discuter avec les responsables de la région des moyens d'obtenir un cessez-le-feu le plus tôt possible à Gaza.
La réunion du Conseil de sécurité, convoquée à l'initiative de la représentation palestinienne à l'ONU, était destinée à entendre M. Ban exposer les objectifs de cette tournée.
Le chef de l'ONU n'a pas fait de déclaration publique.
Source: Yahoo News
Après l'Egypte, il se rendra en Jordanie, en Israël et dans les territoires palestiniens, en Turquie, au Liban, en Syrie et au Koweït, afin de discuter avec les responsables de la région des moyens d'obtenir un cessez-le-feu le plus tôt possible à Gaza.
Avant son départ, le chef des Nations unies a reçu le soutien "unanime" du Conseil de sécurité. "Le Conseil de sécurité a été unanime à la fois dans son soutien à l'initiative du secrétaire général et au rôle qu'il peut jouer pour accélérer la mise en oeuvre de la résolution 1860", a déclaré l'ambassadeur de France, Jean-Maurice RipertM. Ripert, qui préside le Conseil en janvier.
Le diplomate parlait à la presse à l'issue d'une nouvelle séance de consultations à huis clos du Conseil sur la situation à Gaza, la première depuis l'adoption jeudi dernier de la résolution 1860. Cette résolution, qui appelle à l'instauration "d'un cessez-le-feu immédiat, durable et pleinement respecté menant au retrait total des forces israéliennes" de la bande de Gaza, est restée jusqu'à présent lettre morte. Le conflit, qui en est à son 19e jour, a fait plus de 900 morts dont de nombreux civils.
"Le moment du voyage de M. Ban est bien choisi, il y a de très importantes initiatives sur le terrain", a encore dit M. Ripert, en référence notamment au plan égyptien pour un cessez-le-feu à Gaza.
L'Egypte attendait mardi que le Hamas s'engage sans délai sur son plan, espérant qu'un cessez-le-feu puisse être annoncé avant la fin de la semaine. Selon les négociateurs égyptiens, il existe des "signes" qu'Israël accepterait le plan proposé par le président Hosni Moubarak.
Ce plan prévoit des garanties et contrôles pour assurer que le cessez-le-feu sera durable, qui doivent porter sur "la sécurisation des frontières", c'est à dire l'arrêt de la contrebande d'armes alimentant le Hamas, ce qu'exige Israël, et "l'ouverture des points de passages frontaliers et la levée du siège" de Gaza, comme le réclament les Palestiniens.
Un élément clef porte aussi sur le processus de réconciliation interpalestinienne entre les principales factions, le Fatah du président de Mahmoud Abbas et le Hamas.
M. Ban doit entamer mercredi au Caire une tournée d'une semaine au Proche-Orient, qui le mènera ensuite en Jordanie, en Israël et dans les territoires occupés, en Turquie, au Liban, en Syrie et au Koweit, afin de discuter avec les responsables de la région des moyens d'obtenir un cessez-le-feu le plus tôt possible à Gaza.
La réunion du Conseil de sécurité, convoquée à l'initiative de la représentation palestinienne à l'ONU, était destinée à entendre M. Ban exposer les objectifs de cette tournée.
Le chef de l'ONU n'a pas fait de déclaration publique.
Source: Yahoo News
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