Son ambition est de faire monter en puissance la machine Caisses d'épargne et Banques populaires sur le marché de la banque de détail en France. En lui fixant notamment un objectif financier de bénéfice de 2 à 2,5 milliards d'euros à l'horizon 2012.
Mais avant de se projeter ainsi dans l'avenir, BPCE est confronté à des enjeux de court terme. L'équation que François Pérol doit résoudre consiste à rembourser, au moins en grande partie, l'État cette année sans dégrader la situation financière, encore fragile, de son groupe. Au total, les pouvoirs publics ont apporté 7 milliards d'euros au groupe bancaire, dont 4 milliards en titres subordonnés et 3 milliards en actions de préférence. BPCE est parvenu à rembourser 750 millions d'euros en novembre dernier. Mais, plus le temps passe, et plus la participation de l'État coûte cher en intérêts. D'où la volonté d'y substituer d'autres ressources.
Dans cette optique, et dans un souci de rationalisation du groupe, François Pérol va céder des actifs, parmi ceux que la revue stratégique entreprise depuis l'automne a classés en «participations financières», vendables donc, et non en «participations stratégiques». Le gestionnaire de biens Foncia, la banque spécialiste des PME Palatine, le courtier Meilleurtaux.com, la Coface et les activités de capital-investissement de Natixis sont concernés. Et François Pérol vient selon nos informations d'ajouter un élément de taille à cette liste : la Société marseillaise de crédit (SMC).
Source: Lefigaro.fr via Yahoo
Mais avant de se projeter ainsi dans l'avenir, BPCE est confronté à des enjeux de court terme. L'équation que François Pérol doit résoudre consiste à rembourser, au moins en grande partie, l'État cette année sans dégrader la situation financière, encore fragile, de son groupe. Au total, les pouvoirs publics ont apporté 7 milliards d'euros au groupe bancaire, dont 4 milliards en titres subordonnés et 3 milliards en actions de préférence. BPCE est parvenu à rembourser 750 millions d'euros en novembre dernier. Mais, plus le temps passe, et plus la participation de l'État coûte cher en intérêts. D'où la volonté d'y substituer d'autres ressources.
Dans cette optique, et dans un souci de rationalisation du groupe, François Pérol va céder des actifs, parmi ceux que la revue stratégique entreprise depuis l'automne a classés en «participations financières», vendables donc, et non en «participations stratégiques». Le gestionnaire de biens Foncia, la banque spécialiste des PME Palatine, le courtier Meilleurtaux.com, la Coface et les activités de capital-investissement de Natixis sont concernés. Et François Pérol vient selon nos informations d'ajouter un élément de taille à cette liste : la Société marseillaise de crédit (SMC).
Source: Lefigaro.fr via Yahoo