"BNP Paribas n'aura plus d'activité dans les paradis fiscaux qui resteront sur la liste grise", a déclaré Baudouin Prot, notant cependant que la liste des pays figurant sur cette liste rétrécissait progressivement grâce à la pression exercée par le G20.
"Je pense qu'on avait une demi-douzaine de filiales dans les paradis fiscaux, par exemple au Panama, et là nous avons décidé de fermer", a-t-il ajouté.
En avril, le sommet du G20 à Londres avait débouché sur un accord prévoyant d'identifier et de menacer de sanctions les pays et centres offshore non-coopératifs en matière de lutte contre l'évasion fiscale.
Alternatives Economiques avait épinglé en mars la banque de la rue d'Antin qui détenait selon le magazine 189 filiales actives dans des pays dont les réglementations en matière de transparence financière étaient particulièrement lâches.
"BNP Paribas est, de loin, le plus mauvais élève du secteur et du CAC 40. Pourquoi cette banque a-t-elle besoin d'une présence plus de trois fois plus importante que la Société générale dans ces territoires douteux?" s'interrogeait le magazine.
Source: Reuters via Yahoo News
"Je pense qu'on avait une demi-douzaine de filiales dans les paradis fiscaux, par exemple au Panama, et là nous avons décidé de fermer", a-t-il ajouté.
En avril, le sommet du G20 à Londres avait débouché sur un accord prévoyant d'identifier et de menacer de sanctions les pays et centres offshore non-coopératifs en matière de lutte contre l'évasion fiscale.
Alternatives Economiques avait épinglé en mars la banque de la rue d'Antin qui détenait selon le magazine 189 filiales actives dans des pays dont les réglementations en matière de transparence financière étaient particulièrement lâches.
"BNP Paribas est, de loin, le plus mauvais élève du secteur et du CAC 40. Pourquoi cette banque a-t-elle besoin d'une présence plus de trois fois plus importante que la Société générale dans ces territoires douteux?" s'interrogeait le magazine.
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