Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a appelé les organisations à reconsidérer leur décision de lancer une grève qui, à ses yeux, n'a pas de sens en pleine négociation.
"Je souhaite qu'elle n'ait pas lieu. Nous n'avons pas besoin d'une grève pour comprendre et entendre le message des agents", a-t-il déclaré sur Europe 1.
Les syndicalistes devaient se retrouver dans la journée pour arrêter le jour précis de cette "grève carrée", la date initiale du 12 décembre proposée aux organisations étant susceptible d'être repoussée.
Après le conflit qui avait perturbé les transports pendant neuf jours en novembre, les syndicats CGT, FO, CFE-CGC et Unsa semblent partants pour un mouvement limité à 24 heures afin de peser sur les négociations.
La CFTC consultait encore ses adhérents vendredi matin tandis que la CFDT a déjà fait savoir qu'elle ne participerait pas à une action immédiate afin de laisser toute sa place à la négociation, qui doit théoriquement s'achever le 18 décembre.
"Nous avions proposé jeudi un arrêt de travail le 18 décembre au soir", a expliqué Edgar Stemer, secrétaire général adjoint de la CFDT cheminots.
"PAS DE JUSTIFICATION"
Il a rappelé que son organisation avait également déposé un préavis de grève de 59 minutes le 20 décembre.
"On privilégie la négociation et on ne sent pas les cheminots prêts à repartir sans éléments nouveaux", a souligné Edgar Stemer.
A la Régie autonome des transports parisiens, la CGT a déposé un préavis de grève de 24 heures pour le 12 décembre.
En tout état de cause, les syndicats ont indiqué qu'ils n'entendaient pas perturber les fêtes de Noël et de fin d'année.
"Ce n'est pas un objectif en soi d'avoir une grève en fin d'année", a souligné Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT des cheminots.
"Cette grève, si elle est confirmée, n'a pas de sens, n'a pas de justification", a déclaré pour sa part Xavier Bertrand.
"On me dit que c'est pour peser sur les négociations, mais ça va peser sur le quotidien de millions de Français qui ont connu dix jours de grève en novembre", a-t-il ajouté.
L'ouverture de discussions à la SNCF le 21 novembre, parallèlement à celles menées à la RATP, a suivi une grève de neuf jours contre la réforme des régimes spéciaux de retraite sur le réseau ferroviaire et dans les transports parisiens.
Les syndicalistes reconnaissent des avancées de la part de la direction de la SNCF mais dénoncent l'absence de propositions nouvelles des représentants de l'Etat sur les thèmes clés de la décote et de l'indexation des pensions sur les prix.
Source: http://www.actualite.lycos.fr
"Je souhaite qu'elle n'ait pas lieu. Nous n'avons pas besoin d'une grève pour comprendre et entendre le message des agents", a-t-il déclaré sur Europe 1.
Les syndicalistes devaient se retrouver dans la journée pour arrêter le jour précis de cette "grève carrée", la date initiale du 12 décembre proposée aux organisations étant susceptible d'être repoussée.
Après le conflit qui avait perturbé les transports pendant neuf jours en novembre, les syndicats CGT, FO, CFE-CGC et Unsa semblent partants pour un mouvement limité à 24 heures afin de peser sur les négociations.
La CFTC consultait encore ses adhérents vendredi matin tandis que la CFDT a déjà fait savoir qu'elle ne participerait pas à une action immédiate afin de laisser toute sa place à la négociation, qui doit théoriquement s'achever le 18 décembre.
"Nous avions proposé jeudi un arrêt de travail le 18 décembre au soir", a expliqué Edgar Stemer, secrétaire général adjoint de la CFDT cheminots.
"PAS DE JUSTIFICATION"
Il a rappelé que son organisation avait également déposé un préavis de grève de 59 minutes le 20 décembre.
"On privilégie la négociation et on ne sent pas les cheminots prêts à repartir sans éléments nouveaux", a souligné Edgar Stemer.
A la Régie autonome des transports parisiens, la CGT a déposé un préavis de grève de 24 heures pour le 12 décembre.
En tout état de cause, les syndicats ont indiqué qu'ils n'entendaient pas perturber les fêtes de Noël et de fin d'année.
"Ce n'est pas un objectif en soi d'avoir une grève en fin d'année", a souligné Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT des cheminots.
"Cette grève, si elle est confirmée, n'a pas de sens, n'a pas de justification", a déclaré pour sa part Xavier Bertrand.
"On me dit que c'est pour peser sur les négociations, mais ça va peser sur le quotidien de millions de Français qui ont connu dix jours de grève en novembre", a-t-il ajouté.
L'ouverture de discussions à la SNCF le 21 novembre, parallèlement à celles menées à la RATP, a suivi une grève de neuf jours contre la réforme des régimes spéciaux de retraite sur le réseau ferroviaire et dans les transports parisiens.
Les syndicalistes reconnaissent des avancées de la part de la direction de la SNCF mais dénoncent l'absence de propositions nouvelles des représentants de l'Etat sur les thèmes clés de la décote et de l'indexation des pensions sur les prix.
Source: http://www.actualite.lycos.fr
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