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Chirurgie Esthétique
17/02/2023 - 14:46

Augmentation mammaire Paris ? Vidéos, FAQ, Blog pour répondre à vos questions

Chers lecteurs et chères lectrices de Paris et de France. Ce nouvel article sur l'augmentation mammaire vous aidera à développer vos connaissances sur le sujet, nous en sommes sûrs. En Février 2023 c'est encore une prestation très demandée dans le monde de la chirurgie esthétique partout en France et surtout en île de France. Chez Editoweb nous aimons le sujet et vous proposerons régulièrement des articles sur l'augmentation mammaire et la chirurgie esthétique en France. Nous vous souhaitons une très bonne lecture chers lecteurs et chères lectrices !



L’augmentation mammaire est la chirurgie qui permet d’augmenter le volume des seins et d’améliorer leur forme. Avec ce type de chirurgie, dont l’histoire commence en 1895, il est possible de modifier la forme et la taille d’un sein trop petit ou de corriger une asymétrie mammaire en améliorant l’harmonie du corps et le sentiment d’estime de soi. L’hypotrophie mammaire (un sein mal développé) est généralement la première motivation des femmes pour subir cette opération, mais ce n’est pas la seule.

En fait, parmi les motivations les plus fréquentes, nous trouvons :

  1. Le sein vidé avec chute (ptose glandulaire mammaire) qui, dans la plupart des cas, survient après une forte perte de poids ou après l’allaitement ;
  2. Une perte de tonicité de la peau (ptose mammaire glandulaire) due à l’âge ou à une prédisposition génétique ;
  3. Enfin, l’asymétrie mammaire, caractérisée par une différence marquée dans le volume des deux seins et la position du complexe mamelon-aérole.

Afin de mieux répondre à ces besoins, les techniques de mastoplastie additive ont évolué rapidement ces derniers temps, devenant de plus en plus efficaces et sures. La méthode la plus innovante présente des avantages considérables par rapport aux techniques traditionnelles : elle peut être pratiquée toute l’année, même en été.
En effet, elle garantit des résultats satisfaisants avec des temps d’intervention et de récupération extrêmement courts, évitant les gênes postopératoires et permettant une récupération très rapide des activités quotidiennes habituelles.

COMMENT SE DÉROULE-T-ELLE ?

Dans la chirurgie d’augmentation mammaire, des implants mammaires contenant du gel de silicone sont placés sous la glande mammaire ou le grand muscle pectoral. Le chirurgien crée une poche pour accueillir l’implant mammaire choisi par une assez petite incision autour de l’aréole mammaire, dans le sillon sous-mammaire ou, plus rarement, au niveau de la cavité axillaire.
L’opération est pratiquée sous anesthésie locale et avec des techniques modernes de chirurgie plastique et dure environ 60 à 90 minutes.
POUR QUI EST-IL INDIQUÉ ?
La mastoplastie d’augmentation est utilisée pour augmenter le volume des seins et en améliorer la forme. Ce type de chirurgie est particulièrement indiqué pour un sein petit et sous-développé ou pour un sein qui a rétréci en volume et s’est légèrement relâché en raison de l’allaitement ou de l’âge.
Grâce à cette opération, il est possible d’obtenir un aspect plus tonique et un volume adapté aux proportions de votre corps, sans risque de cicatrice visible. Si le relâchement est excessif, un autre type d’intervention, la mastopexie, doit être utilisé même si les seins sont malformés, asymétriques ou doivent être relevés. La procédure est recommandée à partir de l’âge de 18 ans.

LE CHOIX DE LA PROTHÈSE

Une autre étape fondamentale pour la réussite de l’opération est le choix du type de prothèse à implanter. Le médecin le fait à partir d’une série de mesures statiques et dynamiques qui permettent de sélectionner une prothèse « sur mesure », parfaitement adaptée à la forme, au volume et à la taille de la poitrine du patient et à l’élasticité des tissus, un paramètre très important à prendre en compte pour faire le choix.
L’implantation d’une prothèse trop grande provoque des dommages irréparables dans le temps : en effet, la prothèse génère une pression qui, ajoutée au poids de l’implant lui-même, provoque une atrophie du tissu avec une chute importante du sein.
De plus, les prothèses surdimensionnées traumatisent les tissus lors de l’implantation et allongent le temps de récupération postopératoire. Le choix de la prothèse est une étape fondamentale non seulement pour le patient, mais aussi pour le chirurgien.

AVANT LA CHIRURGIE

Lors de la consultation préopératoire, le patient travaillera avec le chirurgien pour évaluer un certain nombre d’éléments et obtenir les informations correctes. Dans cette perspective, informer ne signifie pas seulement fournir des indications, des chiffres et des données, mais aussi impliquer le patient pour le meilleur résultat de l’opération.

L’évaluation des demandes : dans la phase préliminaire, la tâche principale du médecin est d’évaluer soigneusement les demandes du patient afin de les satisfaire sans compromettre le succès de l’opération. La demande de mesures irréalistes, par exemple, doit être évaluée avec une attention particulière, car elle peut causer des dommages esthétiques irréparables.
Examens préopératoires : la condition de base pour que la patiente soit opérée est qu’elle soit en bonne santé. Lors des contrôles préopératoires habituels, il est essentiel de porter son attention sur les tests de coagulation : si le patient prend des antiagrégants, il est nécessaire de les suspendre.
Préparation de la peau : l’une des complications les plus graves de l’intervention est la possibilité que la prothèse s’infecte. Si cela se produit, il est nécessaire de le remplacer, ce qui a un impact important sur le patient en termes d’effort physique et économique.
Afin de prévenir cette complication, le patient suivra un protocole préopératoire pour éliminer la charge bactérienne sur la peau.

DANS LA SALLE D’OPÉRATION

Un des objectifs de la méthode de mastoplastie additive est de réduire le temps de récupération en mettant en œuvre une série de mesures spéciales pendant l’intervention. Tout d’abord, les temps opératoires sont réduits à l’essentiel : plus l’intervention est longue, plus la dose de médicaments à administrer est élevée et plus la récupération postopératoire est lente.

Afin de réduire le temps d’opération en salle d’opération, il est essentiel que le chirurgien ait des compétences manuelles précises et rapides et que toute l’équipe travaille ensemble en parfaite coordination pour éviter la répétition de gestes qui prennent du temps. Dans la chirurgie d’augmentation mammaire classique, le chirurgien utilise généralement des prothèses d’essai pour vérifier la « taille » correcte de l’implant.
Cette étape est plutôt évitée dans la nouvelle technique, car la prothèse d’essai peut devenir un dangereux vecteur d’infection, augmenter le traumatisme et la durée de l’opération. De plus, avec les nouvelles méthodes, il est plus facile d’éviter les saignements : la pratique dans les procédures chirurgicales est que la phase de coagulation a lieu après l’incision.
Cela entraine des saignements qui, bien que minimes, provoquent une infiltration de sang dans les tissus : des hématomes et des gonflements douloureux et durables se forment et se résorbent ainsi, aggravant les conditions postopératoires.

Grâce à l’utilisation d’un équipement spécial et à la parfaite connaissance des points de saignement, la nouvelle méthode permet d’effectuer une hémostase (coagulation) « a priori », avant que les tissus ne commencent à saigner, afin d’obtenir une zone chirurgicale parfaitement propre, sans sang et sans hématomes. Cela permet, dans la plupart des cas, d’éliminer l’utilisation de drains qui compliquent le rétablissement après une opération et peuvent être une source supplémentaire d’infection.
L’équipement intervient également sur les terminaisons nerveuses avec un effet « antalgique » qui rend la phase postopératoire encore moins douloureuse.
En outre, les méthodes modernes permettent d’opérer avec précision : la « poche » que le chirurgien crée pour placer la prothèse doit être adaptée à l’implant, qui doit être inséré immédiatement pour éviter l’exposition à l’air et limiter encore le risque d’infection.
RISQUES
Le seul risque qui peut être encouru est l’épaississement et la contraction éventuelle de la capsule fibreuse souple que le corps construit autour de la prothèse. Le durcissement de la capsule peut rarement se produire. Si la contracture est forte, de sorte que la capsule devient épaisse et dure, il est nécessaire de retirer la capsule et de repositionner la prothèse. Le pourcentage de contrats est de 2,5 à 4,5 %. La mastoplastie en or présente un pourcentage inférieur à 0,5 %.

RÉSULTATS
Contrairement à d’autres méthodes non chirurgicales telles que la graisse autologue et les implants de collagène, la technique chirurgicale garantit des résultats esthétiquement optimaux qui ont le grand avantage de rester inchangés dans le temps.
La sécurité de l’implant est garantie par le large éventail d’applications et la haute qualité de la prothèse utilisée.
L’augmentation mammaire est la chirurgie qui permet d’augmenter le volume des seins et d’améliorer leur forme.
Avec ce type de chirurgie, dont l’histoire commence en 1895, il est possible de modifier la forme et la taille d’un sein trop petit ou de corriger une asymétrie mammaire en améliorant l’harmonie du corps et le sentiment d’estime de soi.
L’hypotrophie mammaire (un sein mal développé) est généralement la première motivation des femmes pour subir cette opération, mais ce n’est pas la seule.

En fait, parmi les motivations les plus fréquentes, nous trouvons

  1. seins vidés (ptose glandulaire mammaire) qui, dans la plupart des cas, survient après une forte perte de poids ou après l’allaitement ;
  2. une perte de tonicité de la peau (ptose mammaire glandulaire) due à l’âge ou à une prédisposition génétique ;
  3. enfin, l’asymétrie mammaire, caractérisée par une différence marquée dans le volume des deux seins et la position du complexe mamelon-aérole.

Afin de mieux répondre à ces besoins, les techniques de mastoplastie additive ont évolué rapidement ces derniers temps, devenant de plus en plus efficaces et sures. La méthode la plus innovante présente des avantages considérables par rapport aux techniques traditionnelles : elle peut être pratiquée toute l’année, même en été.
En effet, elle garantit des résultats satisfaisants avec des temps d’intervention et de récupération extrêmement courts, évitant les gênes postopératoires et permettant une récupération très rapide des activités quotidiennes habituelles.

COMMENT SE DÉROULE-T-ELLE ?

Dans la chirurgie d’augmentation mammaire, des implants mammaires contenant du gel de silicone sont placés sous la glande mammaire ou le grand muscle pectoral. Le chirurgien crée une poche pour accueillir l’implant mammaire choisi par une assez petite incision autour de l’aréole mammaire, dans le sillon sous-mammaire ou, plus rarement, au niveau de la cavité axillaire.
L’opération est pratiquée sous anesthésie locale et avec des techniques modernes de chirurgie plastique et dure environ 60 à 90 minutes.
POUR QUI EST-IL INDIQUÉ ?
L'augmentation mammaire est utilisée pour augmenter le volume des seins et en améliorer la forme. Ce type de chirurgie est particulièrement indiqué pour un sein petit et sous-développé ou pour un sein qui a rétréci en volume et s’est légèrement relâché en raison de l’allaitement ou de l’âge.
Grâce à cette opération, il est possible d’obtenir un aspect plus tonique et un volume adapté aux proportions de votre corps, sans risque de cicatrice visible. Si le relâchement est excessif, un autre type d’intervention, la mastopexie, doit être utilisé même si les seins sont malformés, asymétriques ou doivent être relevés. La procédure est recommandée à partir de l’âge de 18 ans.

LE CHOIX DE LA PROTHÈSE

Une autre étape fondamentale pour la réussite de l’opération est le choix du type de prothèse à implanter. Le médecin le fait à partir d’une série de mesures statiques et dynamiques qui permettent de sélectionner une prothèse « sur mesure », parfaitement adaptée à la forme, au volume et à la taille de la poitrine du patient et à l’élasticité des tissus, un paramètre très important à prendre en compte pour faire le choix.
L’implantation d’une prothèse trop grande provoque des dommages irréparables dans le temps : en effet, la prothèse génère une pression qui, ajoutée au poids de l’implant lui-même, provoque une atrophie du tissu avec une chute importante du sein.
De plus, les prothèses surdimensionnées traumatisent les tissus lors de l’implantation et allongent le temps de récupération postopératoire. Le choix de la prothèse est une étape fondamentale non seulement pour le patient, mais aussi pour le chirurgien.

AVANT LA CHIRURGIE

Lors de la consultation préopératoire, le patient travaillera avec le chirurgien pour évaluer un certain nombre d’éléments et obtenir les informations correctes. Dans cette perspective, informer ne signifie pas seulement fournir des indications, des chiffres et des données, mais aussi impliquer le patient pour le meilleur résultat de l’opération.

L’évaluation des demandes : dans la phase préliminaire, la tâche principale du médecin est d’évaluer soigneusement les demandes du patient afin de les satisfaire sans compromettre le succès de l’opération. La demande de mesures irréalistes, par exemple, doit être évaluée avec une attention particulière, car elle peut causer des dommages esthétiques irréparables.
Examens préopératoires : la condition de base pour que la patiente soit opérée est qu’elle soit en bonne santé. Lors des contrôles préopératoires habituels, il est essentiel de porter son attention sur les tests de coagulation : si le patient prend des antiagrégants, il est nécessaire de les suspendre.
Préparation de la peau : l’une des complications les plus graves de l’intervention est la possibilité que la prothèse s’infecte. Si cela se produit, il est nécessaire de le remplacer, ce qui a un impact important sur le patient en termes d’effort physique et économique.
Afin de prévenir cette complication, le patient suivra un protocole préopératoire pour éliminer la charge bactérienne sur la peau.

DANS LA SALLE D’OPÉRATION

Un des objectifs de la méthode de mastoplastie additive est de réduire le temps de récupération en mettant en œuvre une série de mesures spéciales pendant l’intervention. Tout d’abord, les temps opératoires sont réduits à l’essentiel : plus l’intervention est longue, plus la dose de médicaments à administrer est élevée et plus la récupération postopératoire est lente.

Afin de réduire le temps d’opération en salle d’opération, il est essentiel que le chirurgien ait des compétences manuelles précises et rapides et que toute l’équipe travaille ensemble en parfaite coordination pour éviter la répétition de gestes qui prennent du temps. Dans la chirurgie d’augmentation mammaire classique, le chirurgien utilise généralement des prothèses d’essai pour vérifier la « taille » correcte de l’implant.
Cette étape est plutôt évitée dans la nouvelle technique, car la prothèse d’essai peut devenir un dangereux vecteur d’infection, augmenter le traumatisme et la durée de l’opération. De plus, avec les nouvelles méthodes, il est plus facile d’éviter les saignements : la pratique dans les procédures chirurgicales est que la phase de coagulation a lieu après l’incision.
Cela entraîne des saignements qui, bien que minimes, provoquent une infiltration de sang dans les tissus : des hématomes et des gonflements douloureux et durables se forment et se résorbent ainsi, aggravant les conditions postopératoires.

Grâce à l’utilisation d’un équipement spécial et à la parfaite connaissance des points de saignement, la nouvelle méthode permet d’effectuer une hémostase (coagulation) « a priori », avant que les tissus ne commencent à saigner, afin d’obtenir une zone chirurgicale parfaitement propre, sans sang et sans hématomes. Cela permet, dans la plupart des cas, d’éliminer l’utilisation de drains qui compliquent le rétablissement après une opération et peuvent être une source supplémentaire d’infection.
L’équipement intervient également sur les terminaisons nerveuses avec un effet « antalgique » qui rend la phase postopératoire encore moins douloureuse.
En outre, les méthodes modernes permettent d’opérer avec précision : la « poche » que le chirurgien crée pour placer la prothèse doit être adaptée à l’implant, qui doit être inséré immédiatement pour éviter l’exposition à l’air et limiter encore le risque d’infection.
RISQUES
Le seul risque qui peut être encouru est l’épaississement et la contraction éventuelle de la capsule fibreuse souple que le corps construit autour de la prothèse. Le durcissement de la capsule peut rarement se produire. Si la contracture est forte, de sorte que la capsule devient épaisse et dure, il est nécessaire de retirer la capsule et de repositionner la prothèse. Le pourcentage de contrats est de 2,5 à 4,5 %. 
TEMPS DE RÉCUPÉRATION
 En 24 heures seulement, le patient sera en mesure d’effectuer les activités habituelles de la vie quotidienne.
RÉSULTATS
Contrairement à d’autres méthodes non chirurgicales telles que la graisse autologue et les implants de collagène, la technique chirurgicale garantit des résultats esthétiquement optimaux qui ont le grand avantage de rester inchangés dans le temps.
La sécurité de l’implant est garantie par le large éventail d’applications et la haute qualité de la prothèse utilisée.


Foire aux questions sur la chirurgie d'augmentation mammaire : Voici tout ce que vous devez savoir avant de subir votre opération mammaire tant désirée.


Vérité et préjugés sur l'intervention féminine la plus courante. Découvrons ensemble quelles sont les questions et les doutes classiques qui harcèlent toutes les femmes qui s'apprêtent à subir une opération. Des photos d'augmentation mammaire avant après de Paris vous aideront à choisir !


L'augmentation mammaire est-elle une procédure douloureuse ?

Grâce aux nouvelles techniques d'anesthésie locale avec sédation, et précisément en raison de l'utilisation d'anesthésiques locaux dans la zone traitée, la douleur post-opératoire est généralement modeste et très bien tolérée : la plupart des clients signalent une situation de tension dans la région pectorale, qui disparaît spontanément après quelques jours.

Est-il vrai que les implants mammaires augmentent le risque de cancer ?

Bien que le sujet ait fait couler beaucoup d'encre, des études menées dans plusieurs pays ont clairement montré que la dernière génération d'implants mammaires n'augmente pas le risque de cancer du sein. Toutefois, comme effet secondaire, on note que dans le cas du cancer du sein, les clientes ayant des implants mammaires le remarquent généralement à un stade plus précoce et plus curable, car elles sont plus fréquemment traitées et suivies que les autres femmes.

Est-il vrai que les implants doivent être remplacés au bout de quelques années ?

Faux ! La durée de l'implant mammaire doit être considérée comme permanente. Le sein conserve son anatomie naturelle intacte et peut donc changer au fil du temps, de sorte que souvent, vous devrez vous-même, environ 10 à 15 ans après l'opération, procéder à un remodelage du sein avec changement éventuel de prothèse. Cependant, de nombreux clients sont satisfaits de leurs résultats, même 30 ans après la première opération. La plupart des préjugés sur les risques des prothèses concernent des légendes urbaines et des incidents isolés liés à des implants de génération précédente. Les prothèses ont une durée illimitée. En fait, ils sont couverts par une garantie à vie de la société mère. Les rares cas de remplacement, outre qu'il s'agit en général de prothèses en silicone, et non de gel de silicone, comme ceux que nous utilisons couramment, ont pu être causés par la capsule fibreuse qui créait une gêne, ou parce qu'elle était inesthétique.

Est-il vrai que vous pouvez allaiter même après une opération ?

Il est certain que la prothèse est insérée sous la glande mammaire afin de ne pas gêner son développement pendant la grossesse. Vous pouvez donc continuer à allaiter normalement et, si vous rencontrez des problèmes d'allaitement, les causes ne seront pas trouvées lors de l'opération d'augmentation mammaire additive, mais seront d'une autre origine (par exemple hormonale).

Est-il vrai que la chirurgie d'augmentation mammaire permet de maintenir le volume des seins dans le temps ?

Il est vrai que, contrairement aux seins naturels, les implants mammaires ne changent pas en raison de la grossesse et de la perte de poids, par conséquent, le volume plus important obtenu grâce à l'intervention reste inchangé dans le temps.

La grossesse endommage-t-elle le sein avec des implants mammaires ?

Si le volume des seins est en grande partie dû à la prothèse, le risque de chute est beaucoup plus faible et le volume reste inchangé.

Est-il vrai que les implants en silicone peuvent exploser ?

Le gel de silicone ne peut en aucun cas être affecté par des variations de pression de quelque nature que ce soit. Les prothèses sont testées dans des conditions extrêmes. L'épisode auquel il est fait référence raconte l'explosion de prothèses dans un avion ; bien qu'il s'agisse d'une légende urbaine, en réalité, il s'agissait simplement d'un dégonflement de prothèses contenant de l'air : un accident causé par la fuite de la valve de fermeture. Les chirurgiens de la Clinique Dr.Urtis n'ont jamais utilisé ce type d'implants valvulaires, mais uniquement des implants mammaires sûrs avec du gel de silicone texturé cohésif, dont l'enveloppe de la couche barrière contient du gel de silicone et un degré élevé de polymérisation (grâce à ses caractéristiques spéciales, ce gel de silicone est proche du toucher et du mouvement naturels du sein).

Est-il vrai qu'un sein est toujours reconnaissable au toucher ?

Aujourd'hui, avec la dernière génération d'implants prothétiques, en particulier avec du silicone texturé, il y a une remarquable naturalité aussi au toucher.

Est-il vrai qu'il est toujours nécessaire d'opérer les deux seins ?

Les deux seins sont indépendants et peuvent être opérés individuellement, ou différemment entre eux, lorsqu'il est nécessaire de corriger une asymétrie, une différence de forme et de volume.

Voir aussi : https://goo.gl/maps/VSoLBWyMTXG2otbW7 avec beaucoup de post sur l'augmentation mammaire !

Marie Bonet



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