Martine Aubry a balayé, ce vendredi, une exercice d'«autosatisfaction» qui ne colle guère au contexte politique, le Président étant, selon elle, rattrapé par «l'échec absolu de sa politique» qui nous «mène dans le mur». D'où sa crainte de la poursuite d'«une politique totalement libérale, quelles que soient les injustices que cela entraîne».
Blasée par les interviews présidentielles, la première secrétaire du PS ? «On a déjà entendu cela à la télévision pendant quarante minutes il y a maintenant trois semaines», lors de l'intervention télévisée du chef de l'Etat depuis New York. Et de se faire, ce vendredi matin sur France Inter, le porte-voix de «beaucoup de députés UMP [qui] doivent partager notre point de vue».
Le PCF dégaine sur le décalage entre Elysée et réalité, accusant Sarkozy de se situer «à mille lieues de ce que vit notre peuple, à mille lieues des réformes à mettre en œuvre pour sortir la France de la crise». «C'est une toute autre politique que notre peuple exige!», poursuivent les communistes, dans un communiqué, soulignant que «ce que le gouvernement doit comprendre, ce que Nicolas Sarkozy doit entendre, c'est le refus de sa politique par la population».
Même punition de la part de Jean-Marc Ayraut. Le président du groupe socialiste de l'Assemblée nationale ironise sur la «bulle présidentielle» et moque un chef de l'Etat n'hésitant pas à se jeter des fleurs: il «nous fait savoir qu'il est content de lui-même. [...]... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Blasée par les interviews présidentielles, la première secrétaire du PS ? «On a déjà entendu cela à la télévision pendant quarante minutes il y a maintenant trois semaines», lors de l'intervention télévisée du chef de l'Etat depuis New York. Et de se faire, ce vendredi matin sur France Inter, le porte-voix de «beaucoup de députés UMP [qui] doivent partager notre point de vue».
Le PCF dégaine sur le décalage entre Elysée et réalité, accusant Sarkozy de se situer «à mille lieues de ce que vit notre peuple, à mille lieues des réformes à mettre en œuvre pour sortir la France de la crise». «C'est une toute autre politique que notre peuple exige!», poursuivent les communistes, dans un communiqué, soulignant que «ce que le gouvernement doit comprendre, ce que Nicolas Sarkozy doit entendre, c'est le refus de sa politique par la population».
Même punition de la part de Jean-Marc Ayraut. Le président du groupe socialiste de l'Assemblée nationale ironise sur la «bulle présidentielle» et moque un chef de l'Etat n'hésitant pas à se jeter des fleurs: il «nous fait savoir qu'il est content de lui-même. [...]... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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